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Commentaire composé, Le Clezio, les fumées.

Publié le 17/09/2012

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clezio

Le phoenix symbolise les

cycles de la mort et de la résurrection, puisque celui-ci, représente un oiseau fabuleux, doué de longévité et

caractérisé par son pouvoir de renaître après s'être consumé sous l'effet de sa propre chaleur.

Par ces métaphores l’auteur insiste sur la pensé philosophique du texte qui pousse le lecteur a approfondir

sa réflexion sur la condition de l’Homme dans cette infinis. Enfin Le Clezio fait réfléchir le lecteur sur un

méditation métaphysique qu’a largement approfondie Pascale, dans son oeuvre posthum : Pensées. Cette

réflexion montre l’Homme comme petit par rapport au monde mais comme grand grâce a sa pensée.

L’auteur associe l’Homme a un paysage sans véritable limite, d’où sa petitesse, mais en parallèle il réfléchit

a sa place dans l’univers.

clezio

« les fumées.

De la civilisation Romaine où les divinités étaient censés ce nourrir de la fumée des viandes.

Où encore les Incas qui fesaient brûler des encens pour leurs déités.

Sur tous les continents la fumée a toujours eu une connotation sacrée.

L’auteur fait également référence a l’éternité, en effet il fait ressortir « d’étranges fantômes, des génies familiers » cette métaphore fait penser a un être mythologique comme le phoenix, puisque qu’il décrit ces être familier comme étant « apaisants comme la cendre » Le phoenix symbolise les cycles de la mort et de la résurrection, puisque celui-ci, représente un oiseau fabuleux, doué de longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître après s'être consumé sous l'effet de sa propre chaleur.

Par ces métaphores l’auteur insiste sur la pensé philosophique du texte qui pousse le lecteur a approfondir sa réflexion sur la condition de l’Homme dans cette infinis.

Enfin Le Clezio fait réfléchir le lecteur sur un méditation métaphysique qu’a largement approfondie Pascale, dans son œuvre posthum : Pensées.

Cette réflexion montre l’Homme comme petit par rapport au monde mais comme grand grâce a sa pensée. L’auteur associe l’Homme a un paysage sans véritable limite, d’où sa petitesse, mais en parallèle il réfléchit a sa place dans l’univers. Ainsi, c’est plus en philosophe qu’en écrivain que Le Clezio a écrit ce texte.

Malgré une écriture simple et humble la réflexion cacher derrière ce texte permet au lecteur de se poser des questions sur la place de l’Homme et du cycle de la vie.

Ces questions n’ont-elle pas étais méditer par les Hommes depuis la nuit des temps. »

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