Commentaire de "La Parure" de Maupassant

« Monsieur Loisel se réveille et c'est ici que commence la description des péripéties.

L'auteur crée une atmosphère deréveille.

Après avoir décrit l'inutilité du mari, Maupassant commence directement avec ‘Il jeta sur les épaules'.

Ledébut de cette phrase semble un peu violent.

Le rêve à été interrompu, on peut distinguer par le champ lexical, dès quela fête se termine et donc M Loisel se réveille, un vocabulaire plus froid se présente.

Le champ lexical de la pauvretés'installe ‘modeste' ‘pauvreté'.

La fin de la soirée est un retour à la vie, réelle froide.

Maupassant mentionne même ‘de la vie ordinaire' dans cette phrase ces mots sont utilisés avec une forte négativité.

Après cette phrase MadameLoisel exprime un sentiment clé à comprendre la scène ‘Elle le sentit et voulu s'enfuir'.

Ses mots décriventparfaitement la situation ou elle est, même la protagoniste se sent secouée par la réalité, elle veut retourné au bal,dans son monde idéal. Dans les lignes suivantes, le champ lexical de la misère se réintroduit ‘désespérés', ‘grelottants' quand ils cherchentune voiture. Le couple prend un ‘coupé noctambules ‘ ce qui montre un autre aspect pauvre de la fin de la soirée.

Ils rentrent chezeux ‘ rue des martyres' nom assez ironiques vu qu'ils viennent juste de revenir d'une fête pour se retrouver dans leurmodestie.

La dernière phrase du passage démontre confirmation du destin misérable de Mme Loisel, comme si elle serendait compte que le bal , que son ‘rêve' n'était qu'une rêverie singulière ‘C'était fini, pour elle.' Le point à la fin decette phrase accentue son désespoir.

Le mari par-contre, ‘songeait lui, qu'il faudrait être au Ministère à dix heures'.Ceci-ci est parfaitement content avec la soirée, surtout parce qu'il a dormit toute la fête et il n'était pas le centre decette soirée. Cet extrait de la Parure montre un vrai aspect de contradiction .Le bal étant un rêve formidable que le champ lexicalvague et frivole insinue, et non seulement le mari mais aussi la fin de la soirée qui réveille nôtre protagoniste.

Dèslors le vocabulaire et même l'ensemble des émotions que l'on ressent en lissant.

Les lignes sont froides et cruelles etle champ lexical démontre un retour à la réalité cruelle.. »