commentaire de texte Tamango

« Commentaire sur le texte de Tamango Publier en 1829, la nouvelle de Mérimée raconte le douloureux itinéraire de Tamango, guerrier d’Afrique, de la liberté sur sa terre du Sénégal à l’esclavage, et sa révolte sur un bateau négrier. Monté à bord du navire négrier pour reprendre son épouse, Ayché qu’il a céder au Capitaine Ledoux, il est lui-même devenu esclave mais souhaite retrouver sa liberté. Comment Tamango va-t-il réaliser sa révolte ? Après avoir étudier l’habilité du héros, il s’agira de démontrer en quoi il est question d’une révolte sans fin. Dans un premier temps, nous analyserons le plan des négriers. Tout d’abord, nous remarquerons cette locution adverbale : Tout à coup qui directement nous prépare pour l’action qui va suivre, cette locution démontre qu’il s’agira d’une action inattendue : il pousse un cri de signal.

Ce cri qui va marquer le début de la guerre entre nèrgres et l’équipage blanc.

Suite à ce cri, Tamango, libéré de ses chaines, entame une succession d’action (L.11 – 15) : « il tire violemment par les jambes le matelot, le culbute, lui arrache son fusil et s’en sert pour tuer l’officier de quart ».

Cette succession d’action qui est au présent est placer à cette endroit pour monter la violence extrême de cette scène, elle prouve également que les nègres n’ont aucune pitié envers l’équipage blanc.

Il y a effectivement le champs l’lexical de la violence de la line 11 a la fin de l’extrait.

Quasiment tous les passages du texte sont représentés par la violence (L106-107) « En même temps, chaque matelot de garde est assailli, désarmé et aussitôt égorger… ») Malgré tout cette violence. On rappelle que tout le texte est en focalisation omnisciente, l’auteur a choisi cette focalisation pour pouvoir inclure le plus de détails possible sur ce texte mais également pour avoir aucun avis sur tout ce qu’il a écrit. Cette focalisation nous permet aussi de nous faire remarquer l’esprit guerrier de Tamango avec ce nom : « cri » qui sert de signal de début de ces hostilités, quand Tamango poussa ce cri, il annonça le commencement de la guerre contre l’équipage du Capitaine Ledoux, la naissance de cette scène de massacre.

Ensuite nous nous interrogeons sur le fait qu’il n’est pas oublier ces origines guerrières, il en a gardé le courage, la force d’âme de l’homme qui est prêt à tout pour vaincre, L. »