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Commentaire Harpagon (de l'axe 1 )

Publié le 09/02/2013

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                    La comedie a étè jugé dès l'antiquiter comme pouvant avoir un double rôle : celui de distraire les spéctateurs , de provoquer le rire , grâce aux actions et réactions des personnages , mais aussi celui de faire réflechire , de critiquer ou de corriger les  moeurs  des Hommes .Comme dans la plupart de ses pièces, . C'est ce que l'on peut voire dans le texte de Moliere , l'Avare , dans l'acte IV scene 7 , lors du fameux monologue d'Harpagon .Dans lequel l'avare se lamente sur la cassette d'argent qui lui a été dérobée . Celui-ci est effondré et, se retrouvant seul, se livre à un monologue où il semble perdre la raison. Cette scéne est la plus connue de la pièce et est une des raison de l'engoument des acteurs pour le rôle d'Harpagon , tenu par Molière lui-même lors de la création.  Le texte nous présente donc un personnage au bord de la folie , qui s'éxprime dans un monologue comique , mais se monologue est aussi un crie de douleur.                          Dans son monolgue , Moliere nous présente d'abord un personnage tombé dans la folie . Ce personnage semble fou  et perdus , car il est très aggité. Dès les premiers lignes nous remarqu'on un rythmes binaire ce qui provoque un effet d'intensité, de mouvement et de déplacement , c'est ce qui nous montre que le personnage est perdus , ne c'est plus où il se trouve , il est dans un etat second . Cela se voit tout d'abord par , dés le debut du texte , l'utilisation de nombreuses phrases nominals qui nous démontre que le pers...

« d'Harpagon est ici à son comble : ayant perdu le sens de sa vie, il a aussi perdu le sens des autres.

Il ne voit plus les frontières entre lui et les autres : « je veux aller quérir la justice, faire donner la question  à toute ma maison, à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi »  ; « je veux faire pendre tout le monde ; et si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après » .

En  emploiyant  des interjectons tels que : >, > >, >   Moliere nous montre sont désèspoire , sa surprise .

Il utilise aussi , dans son texte , beaucoup de figure de style comme quelques antitheses : > , >  La première montre que Harpagon est perdus , agité et suggère des mouvements .

La seconde montre la perte des repères , le dèplacement , le personnage est donc contradictoire , désequilibré .Nous imaginons très bien le personnage, tournant sur lui même, regardant à droite puis à gauche, dans l'espoir de retrouver son bien.

Il débite ses questions avec une grande rapidité sans en attendre de réponse ce qui montre bien le côté nerveux  et impulsif du protagoniste.

Harpagon ne réfléchit pas : il s'agite dans tous les sens  et s'épuise avec un effet de rupture significatif au milieu du texte.

 Au lieu de se concentrer sur lui-même, Harpagon demande de l'aide au public, recherche activement son voleur à force de questions soupçonneuses.

Cette adresse au public rompt la convention du monologue qui veut que le personnage s'adresse uniquement à lui-même, sans aucun souci d'être écouté ni regardé.                                         Il semble subire une sorte de perte d'identité , sa folie le dépasse , il semble s'adrésser à une autre personne que lui .

Comme une sorte de dédoublement de sa personne , il fait les questions et les reponse tels que >.

Mais  Le signe le plus expressif de la perte d'identité se situe lorsqu' Harpagon s'attrape le bras en croyant tenir son voleur.

A ce moment il exprime clairement sa folie : « Rends-moi mon argent, coquin...

[Il se prend lui-même le bras] Ah, c'est moi.

Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais » .

Il ne c'est plus ou il se situe.

Cette perte de reperes le menne a une   paranoïa total .

IL prend tout le monde pour coupable et se sans le centre de toutes les convoitises : « je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons, et tout me semble mon voleur »  Cette paranoïa devient menaçante dans la mesure où Harpagon est le maître dans sa maison et veut faire appel à la justice pour trouver son argent.

Fût-ce au prix de la torture et de la peine de mort : « faire donner la question à toute ma maison », « je veux faire pendre tout le monde ».

Son jugement. »

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