commentaire L'enfant anonyme

« de l'ordre » (l40).

C'est un être inoffensif qui va être, lui et d'autres enfants, tués cruellement par des personnes beaucoup plus capable qu'eux pour aucune raison valable car effectivement le seul crime de cet enfant et de « ses camarades » (l37) fût de « lever le poing » (l38). Tahar Ben Jelloun nous expose donc là le cas d'un petit « enfant », faible,il fait accroître notre affection pour ce personnage sans défense pour ensuite le faire assassiner par des être beaucoup plus puissant que lui qui plus est pour un crime totalement bénin.     Pour montrer la fatalité que représente « les forces de l'ordre », l'auteur va tout d'abord amener dès les premières lignes un registres tragique.

Effectivement, on voit dans la première strophe la révélation de la mort de l'enfant à travers tout d'abord la métaphore de s'être « endormi dans un lit de poussière » qui révèle la mort de l'enfant.

On à ensuite dans cette même strophe le terme « transparent » qui va évoquer l'idée de disparition, d'effacement chez le lecteur.

Une autre stratégie qu'utilise Tahar Ben Jelloun pour nous informer de la mort certaine de son personnage se trouve dans le choix des temps qu'il va utiliser.

On constate que lorsque l'auteur parle des actions de l'enfant le temps utiliser est l'imparfait comme « il se prenait » l7 ou le passé simple : « il descendit » l37 alors que pour les descriptions d'objet il va utiliser le présent : 5eme strophe « une cage recouverte » ou « c'est une chambre ». Ainsi afin d'insister sur le danger que représente les force publique, l'écrivain va instaurer un registre tragique par l'intermédiaire des conjugaison et de termes révélateurs, qui transcrit dans ce poème la menace omniprésente qu'ils représentent pour les habitants.     Les registres tragique et pathétique ne sont pas les seuls outils que l'écrivain utilise pour critiquer la tyrannie et l'injustice exercer dans les pays.

Pour faire la critique des autorité il va aussi révéler les mesures draconiennes prise par les pays comme le fait de supprimer tout forme de rébellion comme révélé par la mort. »