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Commentaire les liaisons dangereuses

Publié le 29/05/2014

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liaisons dangereuses
Introduction: Cécile de Volanges ,agée de 15 ans débute le roman par une lettre destiné à sa correspondante. Cécile a été élevée dans un couvent. A l'époque, on pensait que mettre les jeunes filles dans un couvent,les couver, leurs empêcheraient de subir les moeurs de la société. Cette première lettre montre la première victime des libertins. Lettre divisée en 2 parties : - Sa vie (général). -Son entrevue avec le cordonnier. L'intérêt du texte : Nous apprendre ce que c'est la vie d'une jeune aristocrate et voir qu'elle est la proie rêvé d'un libertin. Plan : 1 - Les activités de Cécile 2 - Les visites de Cécile 3 - La personnalité de Cécile I - Les activités de Cécile o Cécile s'occupe en priorité de sa parure : L.1 : « les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps » L.2-3 : « J'ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble » HyperboleL.9 : « Qu'il suffisait que je fusse coiffée pour dîner » L.17 : « Et la quantité d'ouvrières qui viennent toutes pour moi » L.22 : « Je ne suis pas habillée » N'à pas la bonne tenue pour allez rencontrer l'homme...
liaisons dangereuses

« L.17 : « La quantité d’ouvrières qui viennent toutes pour moi, je croirais qu’on ne songe pas à me marier » L’énonciation : qui parle ? (pronoms de la 1°, 3° pers…) A qui ? « On » = La mère • Elle en déduit qu’on va la marié L.18 : « c’est un radotage de plus de la bonne Joséphine » (Elle s’appuie sur les paroles de Joséphine,la femme qui s’occupait de son éducation quand elle était encore au couvent.) Elle est si ignorante qu’elle s’imagine beaucoup de chose et ne connaît pas le nom de son mari (Ex : Prendre le cordonnier pour son mari) Il n’y a pas de tendresse.

Dans cette lettre, aucun geste, aucune parole de tendresse entre la mère et la fille. II La personnalité de Cécile C’est une fille ignorante de : - Son sort (Ne sait rien de son avenir,de son mariage et époux) - intellectuellement (On ne leurs apprenait rien au couvent,ignorante de la vie) es livres du convent ne leurs apprenaient rien sur la vie. -Usage de la bonne société (Si elle avait prêter garde au titre du cordonnier,de sa classe social,son allure ...

Elle ne l’aurais pas confondu avec son futur époux.) L.37« En effet, ma chère amie, le monsieur était un cordonnier » Antithèse : « Conviens que nous voilà bien savantes ! » Dans l’ignorance. Elle est pleine d’illusion,naïve : -Dans sa situation : Illusion de liberté L.6 : « Maman m’a consultée sur tout » Elle se croit adulte. L.7 : « Elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par le passé » L.7 : « J’ai » « je dispose » Illusion de tout avoir,de tout faire. L.7 : « J’ai une » « Je veux.» L.8 : « Dont on m’a remis la clef » Illusion de liberté/Traité en adulte L.15-16« Voilà bien du temps » Hâte de se marier.

Futur Illusion L.24 : « Oh ! je crois que c’est lui » Elle est restée petite fille : « Maman » « gronder » L.3-5 : « Je crois que la superbe Tanville aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu’elle n’a cru nous en faire toutes les fois qu’elle est venue nous voir dans son in fiocchi » - Petite rivalité enfantine Elle se montre sincère envers Sophie.

Elle dit tout ce qu’elle ressent ; L.22 : « La main me tremble et le cœur me bât » Pour preuve, avec le cordonnier,la réaction qu’elle aura et qu’elle décrira.. »

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