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Commentaire sur Entre Mythe Et Politique de Jean Pierre Vernant

Publié le 16/10/2011

Extrait du document

L'auteur nous fait part de son sentiments mais aussi pour convaincre les gens sur une amitié qui dit que un choix ne dépend pas de soi mais on a le sentiment de choisir ses amis et que l'on ne choisis pas n'importe qui comme amis. Mais n'oublions pas que l'auteur nous fait par aussi d'un point de vue social et personnel sur l'éloge de l'amitié.    Dans un premier temps, L'auteur nous fait part d'un point de vue social grâce au champ lexical des liens sociaux et de le communauté (l.21) «d'un autre côté, la solidarité familiale évoque aussi l'idée de clan, et le clan suppose l'exclusion, le secret«(l.19) «Si on y pense tout seul, on ne sait même pas s'il est vrai, mais, à partir du moment ou il est intégré au folklore familial, il devient une partie de votre histoire« et (l.1) «Le sentiment de communauté qui est au coeur de l'amitié se retrouve également dans le lien familial.«

« l'exclusion, le secret»(l.19) «Si on y pense tout seul, on ne sait même pas s'il est vrai, mais, à partir du moment ou ilest intégré au folklore familial, il devient une partie de votre histoire» et (l.1) «Le sentiment de communauté qui estau coeur de l'amitié se retrouve également dans le lien familial.» il utilise aussi le champ lexical de la mémoirecommune et des souvenirs(l.16) «on est plus le même, les choses se défont, et on refait son tissu personnel avec laprésence de ceux qu'on n'a pas vus depuis longtemps, quand on peut évoquer avec eux toute une série de souvenirauxquels on ne pense jamais.» cela nous donne une idée de souvenir commun qui vas soudé les gens ensemble quivas renforcé les liens.

On trouve aussi le champ lexical du partage (l.1et 2) «Le sentiment de communauté qui estau coeur de l'amitié se retrouve également dans le lien familial.

Pour un grec, il y a dans l'amitié civique quelquechose d'assez semblable à la famille.» le partage permet de montrer des liens fusionnelle entre les personnes dumême clan.

Il utilise aussi une métaphore filée (dans le tire l.1) «Tisser l'amitié» «Le sentiments de communauté quiest au coeur de l'amitié se retrouve également dans le liens familial» (l.16) «on n'est plus le même, les choses sedéfont, et on refait son tissu, personnel, avec la présence de ceux qu'on n'a pas vus depuis longtemps».

Celamontre les liens entre les amis et la famille que avec le temps on vas construire une amitié et que l'on crée un liensamical avec une personne.

Il vas employé aussi la première personne au style direct (l.7) «J'éprouve un sentimentd'appartenance analogue à celui que je peux avoir en retrouvant un arrière-cousin: «il est des nôtres...».

» Lapremière personne nous fait réfléchir à l'histoire commune est permet de dépassé l'histoire commune.

Dans unsecond temps, d'un point de vue personnel à la répétition du mot «choix» et «choisir» (l.23 et 25) «puisqu'il ne s'agitpas d'un rapport généalogique, mais d'un choix.» «on a quand même le sentiment de choisir ses amis».l'auteur veutnous faire passé que l'on choisi son amis par l'essentiel et que on ne prend pas le premier venus qui semble sympa etgentil car les apparence son parfois trompeuse.

On trouve aussi une répétition de mot changé plus une analeptse decomplément circonstanciel de temps (l.30-31-32) «L'amitié a aussi ceci de particuliers qu'elle nous change.[...]oumême qui avaient été membres de l'action française.».Elle nous fait évolué, il parle d'évolution avant et pendant laguerre afin de marqué un changment.

Il veut nous dire que la résistance et la guerre fais changé la personnalité desgens.

On remarque aussi la présence de deux antithèse (l.19-20) «Si on y pense tout seul, on ne sait même pas s'ilest vrai, à partir du moment ou il est intégré au folklore familial, il devient une partie de votre histoire».

Et (l.43-44)«Et l'amitié c'est aussi cela: s'accorder avec quelqu'un qui est différent de soi pour construire quelque chose decommun.» Seul les souvenirs ne peuvent partir de vous si il sont partagé , l'amitié permet de dépassé les typesd'opposition.

Il y a aussi la présence d'une autre figure de style dans l'essais qui est une métaphore historique (l.49-50) «ceux qui n'acceptent pas l'idée que le changement est une manière de constituer sa propre identité édifientautour d'eux des murs de Berlin.».la métaphore que les gens s'enferme eux même avec leur esprit et les opinions ilse condamne.

Il présente 2 verbe à connotation de la construction (l.12-14) « les racines communes, les liensfamiliaux viennent tout d'un coup renforcer votre identité et on se reconstruit soi même en retrouvant des membresde la famille à laquelle on appartient».les liens familiaux nous font construire un nouvel esprit une nouvelle identitégrâce a la famille que nous faisont partis avec laquelle nous avons des liens fort .

Il y a aussi le champ lexical del'amour (l.10-12) «Quand quelqu'un s'y inscrit, cela signifie pas que ce soit un amis ou un copain ni qu'on ait enviede précipiter dans ses bras, mais on l'embrasse quand même sur les deux joues, ce qui est une façons de lereconnaître comme proche».ce qui nous montre les liens très fusionnel au niveau familial et amitié que chacunéprouve un sentiment d'amour.

La présence d'un négation forte «ne plus» (l.46-47) « ils ne pouvaient plus voir leschoses comme auparavant».

Cela nous fait marqué un changement d'idée. Cet extrait rempli donc bien sa fonction d'apologue car il se présente sous la forme de deux partie ou l'auteur faitparvenir ses souvenir au lecteur mais aussi sa connaissance sur l'amitié à l'antiquité grec qui donne un essai avecune argumentation direct qui nous énoncé et convaincre sur l'amitié de il y a plusieurs année a maintenant qui restelà même pour les philosophes avec des champ lexicaux qui sont de rassembler des gens de partagé des souvenir, dechanger des personnes et être plus tolérant avec les gens qui nous entour de choir nos amis a l'essentiel et nouspar hasard, pour dire que nous avons un amis qui n'est en quelque sorte votre amis si il y a aucun liens de parole etde souvenir commun.

Cela me fait pensé beaucoup au parole porté par le petit prince dans le livre le petit prince deAntoine de Saint-Exupéry.

Quand le petit prince dit « on ne voit bien que par le coeur, l'essentiel est invisible pourles yeux».

Cette citations célèbres sont le fruit de l'expérience qui nous enseigne les rudiments de la vie,indispensables à son existence futur et à la nôtre.Cela nous laisse pensé a une structure maître/élève ou père/filsqui veut nous enseigné un aléa de la vie dont tout le monde connais.. »

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