commentaire sur les vieux singes
Publié le 29/05/2023
Extrait du document
«
LA13 les vieux singes
Selon Eugène Ionesco “le comique étant l’intuition de l’absurde,
il me semble plus désespérant que le tragique.” La comédie
social fait passer indirectement des messages ou plutôt des
problématiques présentes dans la société, mais d’une manière
comique.
C’est pour cela qu’Ionesco critique la comédie social
puisque elle fait rire le publique sur leurs propres problèmes
qu’ils confrontent mais souffre aussi.
Joachim Du Bellay était
un écrivain et poète français de la Renaissance.
Il a rejoint le
cercle littéraire de La Pléiade et a étudié en Italie.
Il est surtout
connu pour son recueil de poèmes "Les Regrets".
Du Bellay a
également travaillé pour la reine Catherine de Médicis et a
influencé la jadresser à dieu ou nous pouvons distinguer qu’il
s’adresse à quelqu’un du niveau supérieur dans l’état ou
autrement dit à un aristocrate.
De plus, nous pouvons remarquer le sentiment de colères
présentes dans ses paroles ceci est incarnée par la négation
« je ne saurais regarder d’un bon œil » (v.1) qui montre son
refus de la situation.
De surcroit, du Bellay utilise une métaphore descriptif et
hyperbolique en même temps « ces vieux singe de cour » qui a
pour buts de reprendre le thème de la colère et l’aversion
envers ces personnes.
Le terme péjoratif a titre d’exemple
« vieux singes » marque le dérangement et qu’il voit que les
courtisans et ce qui travaille dans le cours royale sont inferieur
et refuser par le poète à cause de leur comportement qui est
devenu une habitude.
Qui est l’imitation ridicule.
Du Bellay affirme son point de vue par l’utilisation du présent
de vérité général a titre d’exemple qui ne savent rien faire » et
qui met en lumière encore une fois le thème de la supériorité et
leur inutilité.
Ensuite, dans le troisième et le quatrième vers (enjambement)
du Bellay illustre le caractères imitateur de leur maitre qui est
dans cette situation le prince citons « sinon en leur marcher les
princes contrefaire» les courtisans donc imite et supporte toute
la décision du prise même si il sont fausse « contrefaire ».de
même il imite même l’habillement par exemple « se vêtir »,
l’imitation est accentue pa l’outil de comparaison « comme ».
Dans tous ce premier quatrain du Bellay met en lumières le
priorité donne par les courtisans a l’apparence ou plutôt
d’imiter l’apparence de leur seigneur.
Le persiflage (gossip) est mis en lumière par l’allitération
en « S » a titre d’exemple
« seigneur ,saurais,singes,savent,sinon »
Dans le cinquième vers le terme utilise qui est plus fort de
prince qui est « maitre » qui marque le manque de liberté pour
le courtisant et presqu’un animal.
De même, la litote citons « s’il ment, ce ne sont eux qui diront
le contraire »qui sert a illustrer la lâcheté des courtisans qui ne
peuvent s’opposer a leur maitre.
Pour terminer le quatrain les deux dernier vers ont pour but de
monter leur servilité a titre d’exemple « afin de lui complaire »
(v.7) le complément circonstancielle de but confirme leur quête
de se rendre agréable a leur maitre par n’importe quel moyen
même les plus ridicules.
Enfin, du Bellay dénoncé dans ce premier mouvement l’inutilité
des courtisans qui sont des imitateurs de leur maitre et qu’ils
n’ont pas le maitrise de soi.
Second mouvement l’hypocrisie des courtisans :
D’abord, le poète fait une transition de point de vue comme
« si quelqu’un devant eux reçois un bon visage »
Mais l’imitation reste présente à titre d’illustration ils vont le
caresser, bien qu’ils crèvent de rage ».
Le complément
circonstanciel d’opposition.
« Bien qu'il crève de rage » illustre
la différence entre les sentiments qui ressenti et l'apparence et
les masques qu'ils portent ils imitent leur maître par exemple
« le caresser ensuite ».
la locution....
»
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