Dissertation sur Colette - Texte 10 : parcours associé > « on purge bébé » G. Feydeau

« Texte 10 : parcours associé > « on purge bébé » G.

Feydeau Introduction: Georges feydeau est un auteur dramaturge de la fin du 20 e siècle, mais également un peintre collectionneur français dès le plus jeune âge il a négligé ses études pour le théâtre il est principalement connu pour « purge bébé » mais aussi « monsieur chasse « ses pièces vont surtout servir à critiquer la société correspondant à un miroir éritique de la société il utilise principalement le genre de vaudeville qui est un genre théâtral qui se réfère à la comédie d’intrigue, une pièce comique et légère dans un milieu bourgeois où il en fait une satire. « On purge bébé » est une pièce composé d’un seul acte seulement, écrit en 1990 et il est une de ses œuvres les plus connu et dans cette extrait en particulier ils s‘agit de la scène d’exposition composé d’un riche bourgeois et de sa servante, on y retrouve le thème de la scène de ménage Problématique : En quoi cette scène de comédie est elle satirique ? 1 mvt > l1-l44 : l’appel a l’aide de Follavoine 2 mvt > l45-95 : dialogue de sourds 3 mvt > l96-l106 : le portrait d’un bourgeois Conclu : Cette extrait de la scène d’exposition celle ci semble inhabituelle puisqu’elle ne présente que 2 personnages la servante et le bourgeois dans celui ci ainsi que dans la majorité des œuvre de feydeau on y remarque une satire et des quiproquos qui semble clairement dénoncer critiquer la classe sociale de la bourgeoise et dans cette extrait en particulier celui ci est marquant et on peut se demander quand le bébé du titre de celui ci va être introduit dans la pièce On peut rapprocher cet extrait avec les pièces de Molière notamment le malade imaginaire avec la servante toinette qui tient elle aussi un rôle important dans l’histoire mais elle semble plus intelligente que ses maîtres et ne se laisse pas faire ou également rapprocher cette scène au théâtre engagé de beaumarché qui lui aussi dénonce de nombreux mœurs de la société. Texte 11: Alcools > « zone » Apollinaire Introduction: Apollinaire issu d’une famille polonaise, grand voyageur et grand ami de Picasso il est un grand et célèbre auteur poète écrivain du 19e siècle et début 20e siècle, il est associé à la modernité poétique, mais il est aussi le précurseur du surréalisme il a donc vécu lors de la belle époque avec ses inventions et améliorations.

Il a donc écrit en 1913 le recueil de poème Alcools composé de 42 poèmes écrit entre 1898 et 1912, ils ont des formes et thèmes complètement différents n’ayant aucune chronologie ni ponctuation et exclusivement en vers libres s’affranchissant de toutes règles ce qui met en avant la modernité du recueil qui est son thème principal Le poème « Zone » introduit alors ce recueil mais paradoxalement c’est le dernier qu’a écrit apollinaire.

Dans celui ci il évoque principalement la ville et sa modernité rejetant le passé, il oscille donc entre tradition et modernité, où se mêle présent et passé il s’agit de la déambulation dans Paris du poète Problématique : En quoi ce poème est il un hymne à la modernité ? 1 mvt > v1-v10 : confrontation passé/présent 2 mvt > v11-v24 : paysage urbain Conclu : Le poème « Zone » véritable symbole de la modernité, d’à ce celui ci i, manifeste alors une certaine lassitude a l’égard de la poésie traditionnelle et du monde ancien en général.

Il utilise d’ailleurs des procédés traditionnels avec des procédés nouveaux.Apollinaire a travers le poème montre sa fascination pour la modernité pour la Ville, porte un regard enchanté sur le quotidien et la rue en lui fesant une certaine éloge.

C’est d’ailleurs l’un des seule poète à se servir de l’ordinaire pour en faire une poésie, il redéfinit alors sa poésie selon lui L’espace urbain sert de décor à plusieurs poèmes d’Alcools comme sous le Pont Mirabeau qui parle de Paris et son pont métallique emblème de la modernité Texte 12: Alcools > « le Pont Mirabeau » Apollinaire Introduction : Apollinaire issu d’une famille polonaise, grand voyageur et grand ami de Picasso il est un grand et célèbre auteur poète écrivain du 19e siècle et début 20e siècle, il est associé à la modernité poétique, mais il est aussi le précurseur du surréalisme il a donc vécu lors de la belle époque avec ses inventions et améliorations.

Il a donc écrit en 1913 le recueil de poème Alcools composé de 42 poèmes écrit entre 1898 et 1912, ils ont des formes et thèmes complètement différents n’ayant aucune chronologie ni ponctuation et exclusivement en vers libres s’affranchissant de toute règles ce qui met en avant la modernité du recueil qui est son thème principal Ce deuxième poème du recueil évoque quand à lui la rupture du poète avec la peintre Marié Laurencin, caractérisé comme un poème lyrique et romantique évoquant avec nostalgie un amour passé mais présent dans le souvenir qui s’efface pour laisser place à l’inspiration poétique Problématique : Comment Apollinaire réussit modernisé l’écriture d’une rupture amoureuse ? il a 1mvt > v1-v6 : souvenir 2mvt > v7-v12 : amour fusionnelle et regretter 3mvt > v13-v24 : désespoir du poète, le désespoir de l’amour perdu Conclusion : Dans « le Pont Mirabeau » se présente sous les traits d’un poème d’amour mais aussi d’un poème de rupture.

Apollinaire reprend le thème littéraire traditionnel de la fuite du temps et le lyrisme amoureux apparaît tout au long du poème à travers la nostalgie du temps passé et de l’amour malheureux.

Il s’agit d’un texte moderne dans son écriture ou sa présentation.

L’image du Pont Mirabeau symbole de modernité est une manière de faire le pont entre l’ancien et la modernité et de sublimer l’union perdu entre le poète et le peintre Marie. Dès le 16 e siècle le lyrisme amoureux était un thème récurrent à travers les poésies et notamment ceux de ronsard mais d’une façon différente il déplorait le temps qui passe trop vite tandis que apollianire, lui voulait que le temps passe plus vite pour que son mal être disparaisse plus vite. Texte 13: Alcools > « Automne Malade » Apollinaire Introduction : Apollinaire issu d’une famille polonaise, grand voyageur et grand ami de Picasso il est un grand et célèbre auteur poète écrivain du 19e siècle et début 20e siècle, il est associé à la modernité poétique, mais il est aussi le précurseur du surréalisme il a donc vécu lors de la belle époque avec ses inventions et améliorations.

Il a donc écrit en 1913 le recueil de poème Alcools composé de 42 poèmes écrit entre 1898 et 1912, ils ont des formes et thèmes complètement différents n’ayant aucune chronologie ni ponctuation et exclusivement en vers libres s’affranchissant de toute règles ce qui met en avant la modernité du recueil qui est son thème principal. Dans ce poème en particulier celui-ci est écrit en vers libres il reprend un thème important de la poésie : l’automne afin d’évoquer sa rupture avec Annie Playden mais au fil du poème Apollinaire s’éloigne de la tradition et propose un poème dont la structure est très originale Problématique : Comment Apollinaire fait il coexister tradition et modernité dans ce poème ? 1mvt > v1-v13 : mort de l’automne 2mvt > v14-v23 : le paysage automnale pour évoquer l’amour douloureux Conclusion : Apollinaire propose ici un poème qui s’inscrit dans la tradition poétique et surtout lyrique des poètes romantiques avec comme thème principal l’automne cependant les derniers vers s’affranchissant de tout codes peuvent alors relever la modernité de ce poème.

A travers la mort d’une saison Apollinaire partage ses émotions et sensations.

On peut aussi apercevoir durant le poème d’autres thèmes de la poésie classique comme la fuite du temps et de amours malheureux, perdus Par sa richesse sonore, ses effets de rythme, ses images simples suggestives se rapproche d’une chanson , c’est donc pour cela que Léo Ferré a repris le poème en chanson en 1990 accompagné d’un violon. Texte 14: parcours associé > les Fleurs du Mal > « A une passante » Baudelaire Introduction : Charles Baudelaire célèbre poète du 19 e siècle pour avoir révolutionné la poésie insufflant le symbolisme ayant pour concept central le spleen il remet aussi le sonnet au goût du jour et c’est en 1857 qu’il publie l’un des plus célèbres de ses ouvrages : les fleurs du mal.

Dans celui ci il va consacré dans un tableau parisien de 18 poèmes.... »