Devoir de Philosophie

Eloge de la lecture

Publié le 23/04/2014

Extrait du document

lecture
Français : écriture Eloge de la lecture Au cours du temps et des époques, les connaissances du monde se sont accumulées mais elles auraient été oubliées et notre monde n'aurait pas évolué pour devenir tes qu'il et si nous n'avions pas inventé, dans un élan de génie, l'écriture et donc cette chose merveilleuse qu'est la lecture ? Cette dernière, auparavant réservée aux riches ou aux intellectuels mais enseignée à tous de nos jours, a tenu un grand rôle dans l'histoire, la transmission des connaissances ou la réflexion des hommes. Nous allons donc résumer en quelques pages tous les bienfaits de la lecture qui nous a apporté la connaissance, a développé notre imagination et nous a appris à réfléchir. Tout d'abord, la lecture est notre bien avec l'histoire de notre monde et nous permet d'enrichir notre culture et de rester informé sur le monde d'hier et d'aujourd'hui. Grâce aux livres des époques anciennes, les savoirs et la et les pensées de nos ancêtres ne se sont pas perdus et nous ont permis d'évoluer. Notre culture générale, qui nous éloigne de l'ignorance, se nourrit de livres et c'est grâce aux personnes cultivées que nos connaissances ont pu être transmises. E. Gombrich, un homme à la culture vaste, a écrit un libre nommé « La Brève Histoire du Monde » qui retrace l'histoire...
lecture

« L i re c’est voyager, on peu t le fa i re pou r découv r i r u n l ieu où on i ra, ou si l’on ne peu t pas le v is i te r soi-même, le découv r i r sans y a l ler.

Les gu ides tou r is t iques, eff icaces, te l que le « M ichel i n » pe rmet ten t de connaî t re les l ieux i mpo r ta n ts et les décr iven t de façon object ive et cela est fo r t p ra t iques si l’on comp te v is i te r ces end roi ts dans u n f u t u r p roche ma is p l us passionnan ts encore son t les réci ts de voyages où les au teu rs décr iven t u ne v is ion pa r m i t a n t d’au t res d’un l ieu qu i les a ma rqués.

Lo rsqu’on les l i t, on est t r a nspo r tés avec le na r ra teu r dans ce voyage pa lp i ta n t.

Pa r exemp le, quand on l i t J.

de Lé ry, son réci t de voyage est u n ique, avec l u i on t raverse l’océan et ses colères, avec l u i on découv re le B rési l, non te l qu’ i l est au jou rd’h u i ma is te l qu’i l l’é ta i t à u ne époque.

E t cela nous ne pouvons le découv r i r sans le l i re, c’est u n sen t i men t u n ique. Non seu lemen t l a lectu re pe rmet de voyager en u n l ieu concret ma is el le nous t r a nspo r te aussi d’un monde à l’au t re, nous fa isan t oub l ie r la réa l i té, pa r fois du re, du monde dans lequel nous v ivons.

E l le nous amène au g ré de l’ i nsp i ra t ion de l’au teur, de la Te r re du M i l ieu eu monde my t h ique de Poud la rd.

Lo rsqu’on l i t u n l i v re fan tas t ique comme « Le Seigneu r des A n neaux » de To l k ien, on n’est p l us dans not re t r is te monde, on est dans u n monde de mag ie, d’elfes, de na i ns avec des ba ta i l les épiques, des gue r r ie rs p l us que b raves, des mag iciens aux pouvoi rs i m menses… On est l i bé ré de l a réa l i té et u n sen t i men t de cou rage et de bonheu r nous envah i t.

On est en suspension en a t tendan t le dénouemen t, su rsau ta n t à chaque coup de t héâ t re : nous ne sommes p l us les fa ib les h u ma i ns p iégés dans la réa l i té, nous sommes l i b res. E n ou t re, les l i v res fan tas t iques ne son t pas les seuls à nous fa i re v i v re des aven t u res.

Selon le gen re que l’on p réfère et qu i nous t r anspo r te le p l us, on peu t choisi r u n l i v re pol ic ier, de science-f ic t ion ou, si l’on ai me découv r i r d’au t res époques de no t re monde, u n l i v re h is to r iq ue, car la lectu re est r iche et va r iée en gen res et s’adap te donc aux goû ts de chacun.

L i re le « Ch ien Jau ne » ou « Sher lock Ho l mes » pou r résoud re u n mystè re avec l’enquê teur, en suspens et ne pouvan t a t tend re de connaî t re le coupable ou l i re « D u nes », « Fah renhei t 451 » où nous découv rons u ne v is ion f u t u r is te du monde, dans tous les cas, on s’iden t i f ie au hé ros et à t rave rs les pé r i ls et les aven t u res on le su i t, le souf f le coupé, s’enfonçan t dans l’h is to i re sans en émerger j usqu’à la f i n. L i re peu t cer tes fa i re t rava i l le r l’ i mag i na t ion ma is en p l us cela peu t amener le lec teu r à ré f léch i r su r u ne société ou u n p rob lème et le rend re p l us ma t u re. E n nous rendan t mo ins igno ran ts, l a lectu re nous app rend à penser pa r nous-mêmes.

On peu t comp rend re la v is ion de l’au teur.

Les ph i losophes des L u m iè res réussi ren t à « révei l le r » les gens qu i comp r i ren t les défau ts de l a société et essayèren t d’y reméd ie r en fa isan t l a révol u t ion.

L’E ncyclopédie, concen t ré de savoi rs, leu r app r i t l a v is ion qu’ava ien t les L u m iè res de leu r socié té.

A i ns i les lec teu rs p r i ren t conscience de l’esclavage, de la gue r re, des pouvoi rs des nobles et bien d’au t res choses t rès i mpo r ta n tes.

Dans les u top ies ou d is top ies te l les que l’E l Do rado dans « Cand ide » ou « Fah renhei t 451 », cr i t iq ues de la société, nous app rennen t les défau ts des hommes et nous poussen t à deveni r mei l leu rs. L a lectu re pe r me t donc de changer l a psychologie des homes en leu r fa isan t p rend re conscience de leu rs t a res.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles