Etude Linéaire Olympe de Gouge le Préambule

« Etude Bac 15 : Olympe de Gouge Le Préambule et les 3 premiers articles : Introduction : La Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne est une réécriture publié en 1791 de La Déclaration de Droits de l’Homme et du citoyen écrit lors du contexte révolutionnaire alors que la femme, qui pourtant à participer à la révolution est exclue de la déclaration originale.

Cette réécriture de la DDHC est une façons de contester celle-ci, car les hommes veulent l’égalité de tous mais il oublient les femmes.

Ce texte est un pastiche de la DDHC et est également un texte à tonalité polémique. Présentation de Passage : Le texte étudié ici est le préambule, c’est un texte qui précède une œuvre pour en expliquer le but.

Ici, l’ensemble du texte s’adresse aux députés à l’assemblé. Problématique : Nous nous demanderons en quoi le réécriture du préambule de la DDHC est mise au service du combat pour l’égalité homme/ femme. Nous verrons ce texte en deux mouvements, premièrement le préambule où elle expose sa thèse et deuxièmement les trois articles qui sont les conséquences de sa thèse. Nous passons donc à la première partie : Dans le premier paragraphe ligne 1 et 2 : Elle expose sa thèse en disant “les mères, les filles, les sœurs”, elle énumère des noms féminins au plurielle, donc elle parle au nom de toute les femme, elle se fait porte-parole de celle-ci mais ce qui est étonnant c’est qu’elle ne dit pas le mot “femme” donc elle replace celles-ci dans la famille.

Ors, c’est la place que leur laisse les hommes. Avec “représentante de la Nation” elle veut dire que la Nation c’est l’ensemble du peuple et les femmes sont 50% de celle-ci donc elles veulent être représenté, elles veulent participer aux projet Républicains, de plus elles ont participer à la révolution.

Avec “demande” qui n’est pas dans le texte original, elle réclame, cela sous entend que jusqu’ici elle n’avait pas le droit de monter à la tribune et qu’elle faisait juste du tricot, ce qui leur à value le surnom de “tricoteuse”. Dans les deuxième paragraphe : Une très longue phrase avec une proposition subordonné de cause introduite par “considérant que” qui est une formulation administrative, plus officielle. Ensuite il y a une énumération de 3 termes péjoratifs, c’est un gradation avec “l’ignorance, l’oublie ou le mépris” ce qui signifie qu’il sont déjà présent dans la DDHC et sous-entendait que le roi écrasait ses sujets MAIS comme elle a rajouté de la “femme” signifie qu’aujourd’hui celui qui oublie, méprise c’est maintenant l’homme ( père, frère, mari ).

Il y a ensuite une proposition principale avec les sous-entendu avec “elles” donc les femmes énumérées avant par rapport au texte original elle a juste rajouté “femmes” avec “révolu” ont voit qu’elles sont déterminées à faire valoir leurs “droits” en plus avec “déclarer” c’est quelque chose d’officiel.

Ensuite avec “droit naturels” elle rajoute aux idées des lumières, l’égalité des femmes.

Ensuite “sacrés” relève de la volonté divine et on ne peut pas le remettre en cause augmenter par “inaliénable” . Ensuite il y a 3 proposition subordonnés de But : Premièrement : Cette déclaration tous le monde et tout le temps avec l’adverbe de temps “constamment” et “sans cesse”.

Ensuite “droit” et “devoirs” sont liés par le “et” donc grâce à la Nation on a des droits mais en retour on a des devoirs donc elle protège la liberté de chacun. Ensuite la deuxième proposition : commence par la répétition de “afin que”. Elle a remplacé “pouvoir législatif” par “pouvoir des femmes” et “pouvoir exécutif”par “pouvoir des hommes” donc elle rappelle que la Nation repose sur un équilibre entre l’action citoyenne des hommes et des femme. Enfin la troisième proposition : Le terme “citoyenne” rappelle que les femmes doivent et peuvent avoir des droits dans la vie politique.

Elle étaient considérés comme des citoyennes passives, pour elle donner des droit aux citoyennes permet de garantir la “Constitution”.... »