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George Sand : sa vie et son oeuvre

Publié le 14/11/2018

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Aurore donne le jour à une fille, Solange (1828-1899), dont le père serait Stéphane Ajasson de Crandsagne, un voisin de Nohant.

 

À Nohant, Aurore renoue avec ses amis d'enfance républicains, qui resteront très proches d'elle durant toute sa vie : Charles Duvernet, Gustave Papet, Jules Fleury. Ils alternent promenades nocturnes, sciences naturelles, conversations politiques. Casimir lui, préfère les beuveries et les amours ancillaires.

 

Aurore entame ses premiers essais littéraires (Voyage en Auvergne et un roman, La Marraine). Ils ne seront publiés qu'après sa mort.

 

À l'été 1830, Aurore tombe amoureuse de Jules Sandeau (18111883), un jeune écrivain. Elle décide de le rejoindre à Paris. Mais son statut de femme mariée ne lui accorde aucun droit, pas même sur sa propre fortune. Casimir lui octroie néanmoins l'autorisation de passer six mois de l'année à Paris avec une rente annuelle de 3 000 francs.

LIBRE ET ENGAGÉE

Passée d'abord à la postérité pour ses nombreux amants, pour le port du costume masculin dans sa jeunesse et pour quelques romans champêtres, George Sand (1804 -1876) reprend peu à peu sa place parmi les grands écrivains du XIXe siècle. Échafaudant une œuvre romanesque aussi considérable que celle de Balzac, engagée politiquement dans son siècle, elle a acquis au fil des années une posture d'autorité qui en a fait dès la IIIe République une figure essentielle de la nation.

UNE ENFANCE MOROSE ET ATYPIQUE

Une métisse sociale

• Amandine Lucie Aurore Dupin, née le 1er juillet 1804, est l'enfant

d'une mésalliance. Sa mère, Sophie Victoire Delaborde (1773-1837), d'origine modeste, est la fille d'un oiseleur parisien ; d'une première liaison, elle a déjà une fille, Caroline. Son père, Maurice Dupin (17781808), est l'arrière-petit-fils d'Aurore de Kônigsmark (1662-1728) et de Frédéric de Saxe (1670-1733), électeur de Saxe et roi de Pologne. Maurice a déjà un fils naturel, Hippolyte Chatiron (1799-1848).

• Le mariage entre Maurice et Sophie, tenu secret, est conclu à l'insu de la famille du marié.

Mme Dupin du Francueil (1748- 1821), propriétaire d'un vaste domaine dans le Berry, à Nohant (aujourd'hui dans l'Indre), n'acceptera de recevoir la petite Aurore qu'en 1805, au cours d'une grande scène pathétique.

• Au printemps 1808, Maurice Dupin, aide de camp du prince Murat, accompagne celui-ci en

Espagne. Sa femme, à nouveau enceinte, décide de le rejoindre. Elle accouche le 12 juin 1808 d'un enfant aveugle prénommé Auguste. Quinze jours plus tard, les troupes de Murat se replient, et la famille rejoint Nohant dans des conditions épouvantables. Ils souffrent de la chaleur et de la faim. Le petit Auguste meurt le 8 septembre.

Nohant

Le 15 septembre 1808, le père d'Aurore se tue dans un accident de cheval. Il laisse deux femmes inconsolables, sa mère et sa femme, mais aussi deux rivales. Elles ne sont pas de la même origine sociale et se détestent. Aurore est l'enjeu de leur affrontement.

Le conflit dure plusieurs mois. Mme Dupin du Francueil souhaite être l’unique responsable de l’éducation d'Aurore, qu'elle a les moyens d'élever. Elle refuse par ailleurs de recevoir à Nohant la demi-sœur d'Aurore, Caroline. Sophie est forcée de céder et de laisser sa fille cadette à Nohant.

L'éducation d'Aurore est confiée à Deschartres, l'ancien précepteur de Maurice Dupin. Il dispense à la fille la même éducation qu'au père.

À douze ans, Aurore lit le Tasse et Homère, et manifeste un réel talent au piano. Mais les tensions avec sa grand-mère s'exacerbent.

Une adolescence houleuse

Le 12 janvier 1818, Aurore entre au couvent des Augustines. Elle y mène pendant deux ans une vie heureuse et apaisée. Elle commence à écrire. Puis elle devient très mystique et souhaite prendre le voile. Alarmée, sa grand-mère la retire du couvent

Aurore retourne à Nohant en 1820. Sa mère refuse de l'y accompagner. Dorénavant, leurs relations sont marquées par une série de brouilles et de déconvenues. Aurore se rapproche de sa grand-mère et de son demi-frère. Elle bénéficie d’une liberté complète et fort choquante pour une jeune fille de bonne famille de l’époque. Elle monte à cheval, habillée en garçon, sort librement et lit à volonté (Aristote, Locke, Leibniz, Chateaubriand, Byron, Shakespeare, etc.). À cette époque, elle se plonge dans l'étude de celui qui devient son inspirateur essentiel : Jean-Jacques Rousseau. La grand-mère d'Aurore meurt le 26 décembre 1821 en léguant Nohant à sa petite-fille.

 

Malgré l'existence d’un tuteur officiel, le cousin René de Villeneuve, Sophie récupère sa fille et l'emmène à Paris. Elle n'a que mépris pour son originalité et la persécute. Au printemps 1822, chez des amis, la jeune fille rencontre

GEORCE SAND ET SES ÉDITEURS Au xixe siècle, le problème de l'édition est capital pour des écrivains qui ne vivent plus du mécénat, mais de la vente de leurs livres. À partir de 1836, les journaux ouvrent leurs colonnes à des romans inédits «à suivre» : c'est l'invention du roman-feuilleton, qui fait la fortune de certains écrivains comme Eugène Sue. Sand publie beaucoup de tels romans (Le Péché de Monsieur Antoine dans L'Époque, Jeanne dans Le Constitutionnel, La Petite Fadette dans Le Crédit) dans des journaux même conservateurs. Mais elle trouve d'autres ressources dès 1833, bénéficiant d'un contrat régulier d'auteur avec la plus prestigieuse revue

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« À la tête de son domaine et en charge de sa famille, souvent sollicitée par des miséreux et prête à soutenir les mouvements socialistes, George Sand doit écrire sans rel�che pour subvenir à ses besoins.

En 1837, elle fait paraître l'un de ses plus beaux romans, Mauprat.

Elle écrit également Les Maïtres mosaistes (1837) et La Dernière Aldini (1837).

• En 1838, George Sand reçoit la visite de Balzac à Nohant De cette entrevue de trois jours, ce dernier tire la matière pour une fiction assez méchante : Béatrix.

L'ENGAGEMENT SOCIALiffi • En 1840 commence véritablement l'engagement politique.

Après sa rencontre avec Agricol Perdiguier, George Sand écrit Le Compagnon du tour de France, roman plaidoyer en faveur de la classe populaire.

Elle rompt avec Buloz, qui la juge trop socialiste et lui demande des modifications pour la publication de son roman Horace.

George Sand dénonce alors son contrat avec la Revue des Deux Mondes, pourtant gage de confort et de sécurité.

• Elle se lance une première fois dans l'aventure du thé�tre et essuie un échec retentissant avec Cosimo au Théâtre­ Français en 1840.

Elle fonde la Revue indépendante avec Pierre Leroux e� en 1841-1842, y publie des articles engagés et y fait découvrir les poètes populaires.

Elle se lance surtout dans la publication en feuilleton d'un grand roman sur la musique, Consuelo, qui va connaître un immense succès.

Elle en donne la suite avec La Comtesse de Rudolstadt {1843).

Elle devient un symbole européen de la lutte en faveur des opprimés.

• En 1843, témoin d'une injustice sociale, George Sand prend fait et cause publiquement pour Fanchette, une pauvre fille recueillie à l'hospice puis abandonnée sur les routes sur ordre des sœurs de La Châtre.

Ce fait divers renforce son engagement social.

En 1844, elle décide de fonder un journal hebdomadaire, L'Éclaireur de l'Indre, dans lequel elle publie des articles de plus en plus engagés : "Lettre d'un paysan de la vallée noire», «Lettre à propos des ouvriers boulangers», «La politique et le socialisme>>, etc.

l'écriture sociale passe aussi par l'écriture de romans, tel Le Péché de Monsieur Antoine (1845).

• C'est le début des récits dits champêtres dont l'action se passe généralement dans la campagne berrichonne.

Cette appellation réunit des textes hétéroclites, Man au diable (1846), ----- François le Champi (1847), La Petite Fadette (1849), et se terminera par un chef­ d'œuvre, Les Maitres sonneurs (1853).

LE CERCU INTIME • En avril 1838, George Sand est devenue la maîtresse du pianiste polonais Frédéric Chopin (1810-1849).

Pour soigner la phtisie du musicien, ils sont partis pour Majorque avec les deux enfants de George Sand, Maurice et Solange.

Tandis que Chopin compose ballades et préludes, elle écrit en 1839 un grand roman mystique, Spiridion, et la deuxième version de Lélio.

• À leur retour d'Espagne, Chopin s'installe avec Sand.

Ils alternent séjours à Nohant et passages à Paris, en fonction des nécessités professionnelles de chacun.

Vont suivre quelques années de stabilité familiale pour Sand.

Sans doute Chopin n'est-il pas un amant passionné, mais ils trouvent ensemble une forme d'équilibre.

• En 1846, George Sand connaît une grave crise familiale.

Ses relations depuis toujours difficiles avec Solange se durcissent brutalement.

Chopin prend parti pour la fille de Sand.

Il quitte Nohant pour n'y jamais revenir.

Solange épouse le sculpteur Auguste Clesinger (1814-1883).

Entre la mère et la fille, les relations sont plus que tendues.

Sand publie toujours romans (Lucrézia Floriani en 1847, Le Piccinino en 1848) et articles.

LA RBfOLIITION DE 1848 • En 1848, l'annonce de la révolution réjouit Sand, qui se précipite à Paris en mars.

Proche du gouvernement provisoire et de Ledru-Rollin, ministre de l'Intérieur, elle rédige anonymement plusieurs des journaux officiels du gouvernemen� appelés Bulletins de la République, et fonde sur ses propres deniers un hebdomadaire, La Cause du peuple, qu'elle rédige quasi intégralement.

Elle s'engage aussi au côté du journaliste Théophile Thoré et publie des articles dans son journal, La Vraie République.

• Le Bulletin no 16, où Sand suggère qu'en cas de victoire de la réaction aux élections législatives le peuple aurait le droit d'insurrection pour défendre la révolution, déclenche un véritable scandale.

• Après l'insurrection du 15 mai qui tourne à l'émeute, elle se réfugie à Nohant, dont Maurice est devenu maire.

Ses amis Barbès, Blanqui et Leroux sont arrêtés.

Louis Blanc s'exile.

En juin, le désespoir accable George Sand devant la faillite de la révolution.

LE «RETOUR À SES MOUTONSn L'IMPULSION THtÂTRAU • Malgré les désillusions politiques, la vie continue à Nohant.

Sand décide d'arrêter l'activisme politique e� selon sa propre formule, de «retourner à ses moutons».

Elle inaugure une nouvelle salle de théâtre dans sa propriété.

Le théâtre (décors, costumes, mise en scène, rédaction de pièces, confection de marionnettes) devient un des loisirs principaux à Nohant Parallèlemen� François le Champi est joué à Paris, au Thé�tre de l'Odéon, en 1849.

• Parallèlement à cette carrière théâtrale, sous contrat avec La Presse, Sand continue ses Mémoires, ébauchés dès 1847 :ils paraîtront en feuilletons en 1854 sous le titre Histoire de ma vie.

• Le théâtre devient une source d'inspiration constante.

En 1851, George Sand fait paraître un roman thé�tral, Le Château des désertes, et fait jouer trois de ses pièces : Claudie à la porte Saint-Martin, Molière au théâtre de la Gaieté, Le Mariage de Victorine au théâtre du Gymnase.

• En 1851, elle signe également avec l'éditeur Hetzel (1814-1886), opposant au régime, un contrat pour une édition illustrée accessible aux plus démunis.

En 1852, elle profite de son influence pour rencontrer Napoléon Ill à Paris et obtenir la gr�ce de plusieurs républicains de ses amis.

Elle obtient l'aide amicale du prince Jérôme Bonaparte.

Cette attitude est contestée au sein de la communauté républicaine.

Elle fait jouer Les Vacances de Pandolphe et Le Démon du foyer au Gymnase en 1852 et Le Pressoir dans le même thé�tre en 1853.

• Durant toutes ses années, l'œuvn romanesque s'accroît régulièrement : (1.1 \KI� ll.l.l.::iTa.Cr ..

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IUt �·-"'" Mont-Revêche {1852), La Filleule et Les Maitres sonneurs (1853) etAdriani (1854).

BONHEURS ET DRAME ·Le bonheur familial s'est de nouveau installé à Nohant En 1849, Maurice Sand y a accueilli pour des vacances son ami Alexandre Manceau, un graveur, qui devient en 1850 le compagnon et le secrétaire de George Sand.

• Celle-ci s'occupe beaucoup de sa petite-fille, Jeanne Clesinger, dite Nini, née en 1849 et délaissée par ses parents.

• En 1853, les Clesinger se séparent et se disputent la garde de Nini.

Les tribunaux confient l'enfant à sa grand­ mère.

Mais la fillette, entre-temps mise en pension par son père, meurt de la scarlatine.

George Sand, qui avait reporté sur l'enfant l'amour déçu pour sa fille, en éprouve un immense chagrin.

Elle écrit peu en 1855-1856 et voyage en Italie.

LE RETOUR AU ROMAN • l'inspiration romanesque revient.

En 1857, La Daniella, roman ultramontain, paraît en feuilleton dans La Presse, qui est interdit l'impératrice Eugénie, sur demande de Sand, intervient pour rétablir la publication du quotidien.

Suivent Les Dornes vertes, récit fantastique, Les Beaux Messieurs de Bois-Doré (1857) et L'Homme de neige.

Ce dernier roman reparaît dans la Revue des Deux Mondes de Buloz, avec qui George Sand se réconcilie en 1858.

• Une polémique naît en 1859 au moment de la parution d'Elle et Lui, version romanesque des amours de George Sand avec Musset.

Le frère de celui-ci, Paul, publie un Lui et Elle vengeur.

Louise Cole� autorisée à prendre parti par sa liaison avec Musse� publie un Lui.

• George Sand publie Ravie et Constance Verrier en 1859, La Ville noire (premier roman ouvrier) et Le Marquis de Villemer en 1860.

Elle fait jouer Le Pavé au Gymnase et Les Messieurs de Bois-Doré à l'Ambigu-Comique en 1862.

Une grande amitié commence avec Alexandt'fl DutniiS fils.

• En 1863 paraît un roman très anticlérical, Mademoiselle de la Quintinie, qui déclenche une nouvelle polémique.

Viennent ensuite plusieurs romans : Monsieur Sylvestre (1865), Le Dernier Amour (1866), Mademoiselle Merquem (1868), Pierre qui roule {1869), Le Beou Laurence (1869).

LE DIALOGUE AVEC SON SIÈCU • En 1857, George Sand rencontre Gustave Flaubert, dont Madame Bovary vient de paraître.

C'est le début d'une amitié sans faille, malgré les différences de style et d'âge entre les deux écrivains.

Une longue liaison épistolaire s'installe.

• George Sand fréquente les dîners littéraires Magny, où elle est la seule femme admise aux côtés des Goncourt, de Taine, de Gautier, de Raubert.

• En 1867, elle encourage les débuts fracassants et militants de la romancière Juliette Adam (1836-1936).

Elle séjourne chez elle pendant l'hiver 1867-1868 et en rend compte dans les Nouvelles Lettres d'un voyageur.

INTIMITtS • George Sand et Manceau achètent une demeure à Gargilesse; la maîtresse de maison, férue de randonnées, fait le panégyrique de la région dans Promenades autour d'un vi/loge (1857).

• En 1862, Maurice épouse Lina Cala matta {1842-1901 ), la fille d'un ami de George Sand.

Marc-Antoine naît en 1863 et disparaît en 1864.

Le ménage se dispute avec Manceau.

Sand et Manceau partent vivre à Palaiseau en 1864, jusqu'à la mort de Manceau en 1865.

Sand revient en 1866 à Nohant.

Elle s'occupe de l'éducation de ses deux petites-filles, Aurore (1866-1961) et Gabrielle (1868-1909 ).

Pour elles, elle invente les Contes d'une grand-mère, qui seront publiés en 1873.

LA u BONNE DAME DE NOHANTI> L'AMBIGUÏrt POUTIQUE • Face à la guerre franco-allemande, l'attitude de Sand est ambiguë: elle exprime sa peur dans le Journal d'un voyageur pendant/a guerre {1871).

Surtout, par haine de la violence, elle se pose comme adversaire de la Commune.

En juin 1871, elle doit se justifier et proclamer dans Le Temps une inébranlable foi dans une démocratie progressive et éducative.

• Connue mondialemen� «la bonne dame de Nohant» écrit de moins en r--------------'-----------------i moins.

GEORGE SAND ET SES ÉDITEURS Au XIX' siècle, le problème de l'édition est capital pour des écrivains qui ne vivent plus du mécén� mais de la vente de leurs livres.

À partir de 1836, les journaux ouvrent leurs colonnes à des romans inédits "à suivre» : c'est !Invention du roman-feuilleton, qui fait la fortune de certains écrivains comme Eugène Sue.

Sand publie beaucoup de tels romans (Le Péché de Monsieur Antoine dans L'Époque, Jeanne dans Le Constitutionnel, La Petite Fadette dans Le Crédif) dans des journaux même conservateurs.

Mais elle trouve d'autres ressources dés 1833, bénéficiant d'un contrat régulier d'auteur avec la plus prestigieuse revue du siécle, la Revue des Deux Mondes.

Elle y publie trente-cinq romans et d1nnombrables articles critiques.

Sand traite aussi avec les plus grands éditeurs du siècle.

Hetzel, l'éditeur de Jules Verne et de Victor Hugo, devient même un ami alors qu'ils préparent ensemble, à partir de 1851, une édition populaire, illustrée par Maurice Sand et Tony Johannot Son dernier éditeur, à partir de 1860, est Michel Lévy, grand créateur d'éditions populaires.

il invente notamment le livre à 1 franc, collection dans laquelle sont publiés nombre d'œuvres de Sand.

À la fin du siècle, l'œuvre complet est publié en 110 volumes chez Cal mann-Lévy.

LES DERNIÈRES ŒUVRES • En 1872 paraît un roman sur la révolution, Nanan.

George Sand publie dans Le Temps des feuilletons­ chroniques, Impressions et Souvenirs, où elle prend nettement position sur les problèmes de son époque, des romans comme Ma sœur Jeanne (1874), Ramarande et Les Deux Frères (1875).

• Elle meurt le 7 juin 1876, laissant un roman inachevé, Albine.. »

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