« Il faut permettre au peuple la satire et la plainte : la haine renfermée est plus dangereuse que la haine ouverte ». (Denis Diderot).
Publié le 24/12/2012
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Pour terminer ne serait-il pas préférable de ne pas tomber dans l’excès et d’essayer de vivre dans une
certaine harmonie où tout le monde
aurait la parole d’une manière temporisée, en faisant en sorte que le dialogue soit toujours de mise et
constructif dans le but de minimiser les conflits, de laisser le choix aux communautés, aux gens,
d’exprimer ce qu’ils ressentent. Que l’on puisse être à l’écoute de ce qu’ils désirent ou encore de leurs
mécontentements.
En effet, cela permettra à chacun de vivre en paix, en libre arbitre, car chaque personne qui forme cette
communauté reste avant tout un être humain, un être qui dispose donc de sentiments.
Nous avons donc montré qu’au plus les hommes exhalent leur haine et leur mécontentement, moins ils
en retiennent dans leur coeur.
Il faut donc laisser au peuple le droit de s’exprimer ou de se moquer pour qu’il puisse avoir une certaine
liberté.

«
En première partie de cette analyse, mettons-nous à la place d’un dictateur dirigeant son pays d’une
main de fer.
Sa volonté principale est de contrôler tout le territoire dont il dispose et de la manière qu’il
souhaite.
Il agira donc sans aucune morale.
Il agira uniquement dans le but de tirer un maximum de profit en sa
faveur.
Que se passera-t-il si l’on donne la possibilité au peuple de se plaindre ou de se moquer ?
Quelles seront les conséquences sur le règne de ce dictateur si tout un peuple se dresse contre lui ?
Il est donc dans l’intérêt de celui-ci de ne pas permettre cette liberté d’expression et donc d’opprimer son
peuple, sans quoi la foule exprimera sa haine ouvertement, se dressera contre lui et donc avec violence.
Prenons l’exemple du règne de Joseph Staline, secrétaire
général du parti communiste de l’union soviétique et dirigeant de l’Union des Républiques Socialistes
Soviétiques (U.R.S.S) à partir de la fin des années 1920 jusqu’à sa mort, qui imposa un pouvoir personnel
absolu et transforma l’U.R.S.S en un régime de type totalitaire dont le culte obligatoire rendu à sa propre
personne fût un des traits les plus marquants.
Son long règne fût également marqué par un régime de terreur, de délation et par la mise à mort ou
l’envoi au camp de travail de millions de personnes.
Le peuple était donc totalement brimé, sans aucune
liberté.
Il n’y avait plus de limites.
En deuxième partie de cette analyse mettons-nous à la place d’un peuple qui se sent profondément dans
l’injustice, qui ne peut admettre des lois qui vont à l’encontre de ses idéologies.
IL aura donc le sentiment
exacerbé de haine ouverte.
Prenons l’exemple du conflit des Palestiniens de la bande de
Gaza contre Israel qui revendiquent leur terres envers cet état.
Cela engendre donc une violence
journalière jusqu’au au point d’utiliser des armes puissantes.
Telle sera la prise de conscience à avoir en observant cette communauté à qui on laisse libre cours de
ses actes violents.
Pour terminer ne serait -il pas préférable de ne pas tomber dans l’excès et d’essayer de vivre dans une
certaine harmonie où tout le monde
aurait la parole d’une manière temporisée, en faisant en sorte que le dialogue soit toujours de mise et
constructif dans le but de minimiser les conflits, de laisser le choix aux communautés, aux gens,
d’exprimer ce qu’ils ressentent.
Que l’on puisse être à l’écoute de ce qu’ils désirent ou encore de leurs
mécontentements.
En effet, cela permettra à chacun de vivre en paix, en libre arbitre, car chaque personne qui forme cette
communauté reste avant tout un être humain, un être qui dispose donc de sentiments.
Nous avons donc montré qu’au plus les hommes exhalent leur haine et leur mécontentement, moins ils
en retiennent dans leur cœur.
Il faut donc laisser au peuple le droit de s’exprimer ou de se moquer pour qu’il puisse avoir une certaine
liberté.
Néanmoins, si on lui laisse trop de liberté et pas assez d’encadrement, ce peuple affirmera avec fermeté
sa haine qui porte en elle un ferment de violence et de discorde qui engendrera destructions et conflits.
Mais pourquoi l’être humain se nourrit-t-il de haine ?
Pourquoi ne pas tout lui donner, pour qu’il ne ressente pas ce sentiment de frustration qui mène à la.
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