Jean-Luc Seylaz
Publié le 23/01/2013
Extrait du document
«
Paradoxalement c’est cette même intelligence, volonté de puissance qui les conduira à leur
destruction.
Valmont se fait tuer par Danceny et Mme de Merteuil est humiliée.
Cette
méchanceté se retourne finalement contre eux.
Aussi, cher Valmont, contrairement à Mme de Merteuil, il montre ses limites dans sa
méchanceté.
Dans la lettre 99, Valmont a eut pitié de Mme de Tourvel.
Dans la lettre 81, on
voit bien que contrairement à lui, elle est sans pitié et se moque même de lui d’avoir eut pitié
d’une conquête (lettre 100)
Pour conclure, je dans l’ensemble d’accord avec les propos de l’auteur de la citation, Seylaz.
Il est difficile d’être en désaccord avec l’auteur, puisque le mal pure est le point de départ des
actions du roman.
Le lecteur ne peut qu’être dans la fascination et l’admiration des ses deux
personnages « supérieurs ».
»
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