LA LÉGENDE DES SIÈCLES DE 1882 de Victor HUGO
Publié le 17/07/2011
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La philosophie reprend tous ses droits dans la troisième Légende des Siècles, publiée en 1883.
Le livre est enclos dans deux déclarations déistes :
L'une au prologue :
Je ne me sentais plus vivant...
Je reviens à mon oeuvre. Et j'offre à cette bouche
Qui s'ouvre obscurément dans toute âme farouche,
Aux noirs désespérés errants sans feu, ni lieu
Un peu de vie à boire, et ce verre d'eau : Dieu.
L'autre à l'épilogue :
O Dieu, dont l'oeuvre va plus loin que notre rêve,
Créateur qui n'a pas de relâche et de trêve.
OEil sans paupière et sans sommeil,
Eternel jet de vie! Ame jamais fermée!
Gouffre mystérieux d'où sort une fumée
D'hommes, d'êtres et de soleil !
Les quatre poèmes des Grandes Lois qui ouvrent le recueil, constituent au seuil de la troisième légende une profession de foi spiritualiste.
Le premier couplet est un rappel de l'ascension de l'homme vers Dieu par l'échelle de la douleur et de l'amour...
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