LAIS MARIE DE FRANCE
Publié le 28/11/2012
Extrait du document
«
toujours d'accepter son identité jusqu'à ce qu'elle révèle la ceinture de chasteté.
Elle lui dit alors de son voyage
douloureux.
Mériaduc tente de garder la reine sous son contrôle, mais il est contrarié et finalement tué par
Guigemar.
"Équitan" est un lai breton, un type de poème narratif, écrit par Marie de France dans le courant du 12ème siècle.
Le poème fait partie de ce qui est collectivement connus comme Les Lais de Marie de France.
Comme les autres
lais dans la collecte, Équitan est écrit dans la langue anglo-normande, un dialecte de l'ancien français, en rime
octosyllabique.
Dans ce poème 320 lignes, l'auteur met en garde contre ceux qui complotent de nuire à une autre
personne mai ne trouve que leur propre malheur.
Équitan, le roi de Nanz, tombe amoureux de la belle femme de son sénéchal.
Le roi agonise entre ses sentiments
pour elle et sa loyauté envers le sénéchal.
Lorsque Équitan déclare ses sentiments pour elle, elle est incrédule à
cause de la différence de rang entre eux.
Il convainc que ses sentiments sont authentiques et qu'il serait prêt pour
être son serviteur.
Le couple commence leur affaire.
Comme l'affaire progresse, les conseillers Équitan pression de se marier.
Un jour, la femme du sénéchal du roi
tearily demande si elle veut un jour être écartée au profit d'une autre, plus hautement né femme qui peut devenir
son épouse.
Le roi lui dit qu'elle est son seul amour, et qu'il allait l'épouser si elle n'est pas pour son mari.
La
femme suggère l'idée de tuer le sénéchal en préparant un bain d'eau bouillante.
Son idée est que le roi et son mari
va prendre un bain, et alors le roi va prétendre que le sénéchal mort mystérieusement pendant le bain.
Plus tard, le roi et le sénéchal aller à la chasse.
Ils séjournent dans une auberge où il ya deux baignoires côte à côte
dans la chambre.
Lorsque le sénéchal sort pour chercher quelque chose, le roi et la femme de préparer leur piège,
alors qu'ils ont des rapports sexuels.
Les rendements sénéchal à la loge et trouve la porte de la chambre fermée à
clé.
Il frappe à la porte avec tant d'insistance que la porte s'ouvre, montrant le couple dans chaque bras de l'autre.
Le roi, honteux de sa nudité, essaie de se cacher et s'exécute directement dans le bain d'eau bouillante.
Le
sénéchal, irrité par l'infidélité de sa femme, la rejette dans la baignoire aussi, et le couple infidèle sont échaudés à la
mort.
Le but de Équitan semble être didactique.
Résumés Marie la leçon des laïcs, «Celui qui veut entendre quelques
bons conseils / peut tirer profit de cet exemple: il / elle qui planifie le mal pour un autre / mai ont du mal que le
rebond de retour sur lui» (lignes 307-310).
La cuve d'ébullition de l'eau devient un symbole, selon les érudits
Hanning et Ferrante, "de l'escroc joué, et de l'amant immodérée mortellement brûlé par sa passion sans frein»
(Marie de France 69).
L'amour décrit est irresponsable parce que les amateurs de céder à la passion, tout en connaissant les conséquences
négatives, il est déséquilibré, et il empêche le roi d'avoir un héritier légitime, une cause d'insécurité sociale.
Il est
inopportun parce qu'il cause le roi de rompre le lien de la fidélité à son sénéchal et l'épouse de rompre les vœux du
mariage avec son mari sans raison valable.
"Le Fresne" est l'un des Lais de Marie de France.
Il est probable écrit dans la fin du 12e siècle.
En Lai Breton, il
est un exemple de la littérature anglo-normande.
Le Fresne commence par deux chevaliers époux.
La femme d'un chevalier donne naissance à des jumeaux, et après
avoir entendu un message en ce sens, l'autre femme déclare que, afin d'avoir deux enfants en même temps, une
femme doit avoir couché avec deux hommes.
Beaucoup considèrent ce commentaire à l'être diffamatoire, et le
mari de la femme qui a donné naissance à des jumeaux, elle s'arrête là.
De manière appropriée, la femme qui a fait
le commentaire sur les jumeaux étant une marque d'adultère donne naissance, à son tour, ses deux filles jumelles.
Plus disposés à faire amende honorable auprès de Dieu que la honte elle-même, l'épouse secrètement l'intention de
tuer l'enfant d'appoint et de nier son existence.
Une servante propose de le cacher à la place.
Après un brocart
fleuri est liée au bras du bébé signifiant sa noble lignée, la servante comme le laisse à l'extérieur de frêne d'une
abbaye.
Un porteur trouve la jeune fille et son nom Le Fresne (Frêne français moderne, «frêne»), et lui donne à
une abbesse doux à élever.
Le Fresne se développe en une femme très belle, et un seigneur respecté nommé Gurun s'éprend d'elle.
Gurun fait
un don à l'abbaye grand comme une excuse pour ses visites constant, et gagne secrètement l'amour de Le Fresne.
Craignant la colère de l'abbesse si Le Fresne seraient tombées enceintes dans sa maison, Gurun convainc de
s'enfuir avec lui, faisant d'elle sa concubine.
Chevaliers Gurun deviennent concernés que s'il ne se marient pas une noble dame pour l'amour d'un héritier
légitime, ses terres et de la lignée sera perdu à sa mort.
Ils trouvent une noble et belle femme nommée La Codre
(Coudrier française moderne, «noisetier»).
Gurun chevaliers de le convaincre que, par souci de servir sa noble.
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