Lamartine, dans son poème de La Vigne et la Maison, où il glorifie la famille, semble caractériser celle-ci en disant que le père commande, la mère aime et prie ... et dans ses petits fils, l'aïeule est réjouie de vqir multiplier son sein. - N'est-ce pas là, en effet, comme un fidèle aperçu de l'ensemble harmonieux formé par une famille ?

« -f4- par exemple, quand Ghrysale, par failbless-e de caractère, par égoïsme, par lâcheté , ne sail .pas se faire obéir chez lui, tou1e sa maison est à l'e nv•ers, sa femme nég li ge son . intérioor, un e d es fililes est mal éie:vée, et l'au tre, malheureuse.

Enfin, la p1ace des grnnds-p'fl.rents ·est marqué -e au foyer familial.

En les voyant aimés, res'P'ec lés, honor és par Ieurs parents, -les e:n(ants app-rennent e-ux al\lssi à éprouver de te·ls S•entiments ..

Le vieux fabliau d ·e la « Hou sse partie » rrrwntre avec jruste rai -son qu 'un fiJ.s ingrat ne p-eut s'attend -re, de la part de son p.rop.re .enf' d e vie aux ·quell es la fami.lle •doit s'alimenter, si elli e veut être bénie par lli·en, si ene veut dm'el' e t prospérer.. »