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Le Horla

Publié le 22/01/2013

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Biographie Guy de Maupassant   : Issue de la petite noblesse, Guy de Maupassant est né en 1850 en Normandie. En 1860, après la séparation de ses parents, il va vivre avec sa mère. En grandissant, il entre au lycée de Rouen et y rencontre Gustave Flaubert, personnage très important pour Maupassant. Il en ressort bachelier en 1869 ! Arrivé à Paris  pour continuer ses études de droit, il va être interrompu par la guerre franco-prussienne. Il en ressortira profondément blessé et transformé par son expérience. Il aura même une haine immense contre les militaires pour le reste de sa vie. Après cet épisode, il travaillera comme fonctionnaire à Paris et retrouvera Flaubert  pour son apprentissage d‘écrivain. Après un essai aux poèmes comme « Au bord de l‘eau « , il finira par se tourné vers l’écriture de nouvelle en 1875. En 1880, il fréquente une école de naturalisme et rencontrera Zola. Grace à « Boule de suif «, nouvelle connue, il pourra vivre de sa plume. Entre 1880 et 1891, il écrira plus de 300 nouvelles réunie en 18volumes et 6 romans dont « Une Vie « en 1883. Maupassant aime mettre en scène la méchanceté humaine et l’horreur ordinaire. Il connaitra de nombreux succès comme avec «...
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« L'histoire est sous forme d'un journal, daté du 8 Mai au 10 Septembre, il n'y pas d'année précise.

Il est tenu par un homme, on ne sait pas plus de précision sur son âge et sa situation.

On pourrait penser que le roman est autobiographique car Maupassant à écrit ce roman dans ses moments de démence, à la fin de sa vie, rongé par la maladie.

Histoire : C'est un homme qui écrit un journal où il raconte ce qu'il fait de ses journées et autres notes, quasi quotidienne.

On débute le roman le 8 mai, il nous décrit une vie simple à coté de Rouen.

Après seulement quelques jours, le 12 mai plus précisément, il explique sa théorie sur un monde invisible.

A la fin du moi de mai, le personnage nous apprend qu'il est malade.

Ces symptômes sont la fièvre, l'énervement et des insomnies. Après plusieurs jours de traitement, rien ne disparait.

Il dort mal et subit des craintes, ce sont en quelques sortes des terreurs nocturnes.

Le 2 juin, il nous raconte une balade dans une forêt, il est seul mais ressent une présence, il en devient presque paranoïaque.

Après cet épisode, des plus étrange, il décide de partir un mois au mont-st-Michel, il espère y trouver le repos.

Une fois là-bas, il rencontre un moine qui lui fait un raisonnement étonnant sur les forces invisibles qui les entourent, le religieux prend comme exemple le vent, qui est d'une extrême puissance mais invisible.

On voit que cette hypothèse ne laisse pas indifférent le narrateur.

Après être rentré, il se dit guéri.

Mais la nuit d'après, les cauchemars réapparaissent , il compare ce mal à une sangsue qui lui puise son énergie.

Le 5 juillet, une événement marquant se déroule, alors que le personnage emmène une carafe pleine d'eau dans sa chambre et qu'il boit la moitié de celle-ci avant de s'endormir, quand il se réveille deux heures après pour reboire, il se rend compte que la carafe est vide.

Le narrateur pense tout de suite au somnambulisme et se teste avec des épreuves.

L'une d'entre elle consiste à entouré la carafe d'un drap blanc et lui, se barbouille de mine de plomb (poudre noir) mais à son réveil, le drap qu'il se trouve autour de la carafe est immaculé et pourtant la carafe est vide.  Il en vient à la conclusion que quelqu'un est présent dans sa chambre chaque nuit.

Ensuite, il. »

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