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Le Mal d’Arthur Rimbaud

Publié le 02/04/2024

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« Oral: le Mal : Introduction : Arthur Rimbaud avait 16 ans quand il écrivit les Cahiers de Douai, recueil de vingt-deux poêmes, répartis en deux liasses. C'est son professeur de rhétorique Georges Izambard puis le poète Paul Démeny qui recueillent le jeune adolescent révolté lors de ses fugues. En 1870, Arthur Rimbaud découvre les horreurs de la guerre franco-prussienne que le poème « Le Dormeur du Val » révèle avec simplicité et force. Ce sonnet descriptif est indéniablement ancré dans la mémoire collective. Le mal est un sonnet en alexandrin composé de rimes croisé et embrasser.

Ce poèmes est dénonciateur de la guerre et une attaque à l’église catholique. Problématique Ainsi, nous pouvons nous demander comment Rimbaud dénonce t il la guerre et le comportement de l’église vis à vis de celle ci ? Dans un premier temps nous allons étudier les champs de bataille. Puis dans un deuxièmes temps nous allons voir comment Rimbaud dénonce l’inaction de l’église Et pour finir nous allons étudier le fait que l’église ce montre opportuniste. Tout d’abord ce poème est dénonciateur de l’atrocité de la guerre et cela dès le premier vers avec « crachat rouges de la mitraille » cette métaphore fait référence au sang ou encore au feu des enfers de part la couleur rouge.

De plus dans ce vers nous pouvons voir une allitération en [r] ce qui peut renvoyer à la mécanique des armes. A la place des oiseux qui chante dans le ciel il y a les balles qui sifflent. On peu voir cela avec le verbe « sifflent » mais aussi avec l’allitération en [f] dans les 2 quatrains faisant donc référence aux balles qui fondent l’air. On peut remarquer la métonymie au vers 3 avec écartâtes renvoyant donc au uniforme français et verts renvoyant au uniforme prussiens cela fait donc référence à la guerre franco-prussienne. Ce poème en plus de dénoncer la guerre dénonce également leur instigateur donc napoleon 3 ou encore Bismarck. On peut le voir au vers 3 avec du roi qui est d’ailleurs employer au singulier ils sont donc décrit comme des tyrans. L’enfer des froid à la guerre représenter à la fin du premier quatrains avec « croulent les bataillons en masse dans le feu » on voit donc une véritable intention de montrer que les soldats sont indénombrable et qui vivent l’es horreur de la guerre. Par la suite au début du deuxième quatrains la périphrase « une folie épouvantable » désigne la guerre qui est même personnifiée avec broie. Donc la guerre devient un personnage qui réduit les gens en miette et les déshumanisent. On peut notamment encore le souligner au vers 6 avec le passage brutal entre « cent milliers d’hommes à un tas fumant » qui donc continue d’appuyer la violence de la guerre lorsque que ces jeunes hommes fraîchement mort sont indiscernables. La tonalité pathétique « pauvre morts» au vers 7 est elle encore la conséquence de la batailles mais aussi une insulte à la nature avec l’énumération « été; herbe; joie; nature ».

La guerre donc viendrait salir cette nature.

Et cette même nature associer à l’adverbe de manier « saintement ».... »

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