Le Mal de Rimbaud

« « Crouler » (v.4) => Hommes assimilées à des choses, avec l'image des soldats de plomb. « Un tas » (v.6)  => Identification d'Hommes à un tas => Frappe davantage « Broie » (v.5) => Guerre assimilée à une machine => Hommes victimes d'une gigantesque absurdité. « Crachent » (v.1) => Machines de guerre personnifiées.   Rimbaud fait appel au 5 sens -Vue : Avec un travail sur les couleurs. « Crachats rouges » (v.1)  => Couleur du sang « écarlates ou vert » (v.3) => les uniformes rouges (Français) les uniformes verts(Prussiens) « ciel bleu » (v.2) ; « le feu » (v.4) ; « Un tas fumant » (v.6) -Ouïe : « sifflent » (v.2) ; « mitraille » (v.1) -Odorat: « Tas fumant » (v.6) ; « mitraille » (v.1) -Toucher: « crachat » (v.1) ; « feu » (v.4) ; « broie » (v.5)   ll-Les autres critères 1)      La politique « Près du roi qui les raille » (v.3) : Les dirigeants se moquent de leurs soldats. Rimbaud ne peut que les plaindre => « -Pauvres morts » (tiret = marque d'émotion) Les rois ne font pas ce qu'ils devraient faire, ils sont donc inutiles, et ce du côté des deux armées (Française & Prussienne) Rimbaud est POUR le gouvernement et non la royauté. 2)      La religion Le verbe "rire" (v.9) de Dieu se rapproche du verbe "railler" (v.3) du Roi.  « Ces hommes saintement! ; - Il est un Dieu » : L'indifférence de la religion est soulignée par la rupture entre le vers 8 et le vers 9 et par le système de ponctuation, ainsi que par l'expression impersonnelle. « Ramassées dans l'angoisse; gros sou lié dans leur mouchoir » : Pathétique exacerbé des mères, humbles et. »