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Le mariage de figaro: la scène d'exposition

Publié le 12/03/2022

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mariage

« Intro : Quelques années avant la Revolution francaise, les tensions economiques,politiques et sociales s’accroissent peu a peu.

En 1784, en plein essort du mouvement philosophique et culturel des Lumiere ,Beaumarchais, écrivain, dramaturge et musicien francais publie Le mariage de figaro.

Ce roman est un de ses plus connus avec Le barbier de Seville.

Dans cette pièce, beaumarchais critique notamment les privilèges de la noblesse .

cet acte dexposition met en scene les noces de jeunes fiancés qui se voient preter une chambre par leur compte. Pb : En quoi cette scène d’exposition annonce-t-elle les évènements à venir ? I/ Une scene dexposition paratexte jusqua l l6 II/Un couple amoureux l6-l29 III/La dénonciation des privilèges l29- l37 Didascalie « chambre à demi-démeublée » « un grand fauteuil de malade » « une glace » → Les objets semblent avoir une fonction symbolique.

Le fauteuil annonce la scène du procès de Figaro dans laquelle le Comte est assis sur un grand fauteuil.

Le fauteuil symbolise le pouvoir du Comte.

Le miroir, quant à lui, est symbole de beauté et de jeunesse.

Il peut évoquer la problématique de la Comtesse qui est triste d’avoir perdue sa beauté et sa jeunesse ce qui fait que le Comte se désintéresse d’elle. CCL « dix neuf pieds sur vingt six » « ici » « dans cette chambre » « la chambre la plus commode et qui tien le milieu des deux appartements » « à ma porte » « au château » « ce logement » →la chambre se situe au centre de l’espace tout comme l’amour de Figaro et Suzanne ve être au centre de l’intrigue.

On comprend aussi qu’il existe un lien très fort Maître/ valet puisque les histoires de Figaro/Suzanne vont se retrouver mêlées à celles du Comte et de la Comtesse. CCT « le matin de mes noces » →l’action débute au matin,, juste avant les noces et rappelle le deuxième titre de la pièce « la folle journée ». Un début « in medias res » Stichotymies sur plusieurs répliques→ renforcent le dynamisme de cette pièce d’exposition Interrogative de Suzanne « Que mesures-tu donc là » →permet d’entrer tout de suite dans le vif du sujet Les tournures négatives de Suzanne qui forment une accumulation « je n’en veux point », « je n’en veux pas dire » →suspense qui va crescendo, le spectateur est pris par le mouvement et attend avec impatience la découverte de l’intrigue. Parallélisme « prouver que j’ai raison… » →Suzanne manie les mots avec beaucoup de finesse.

Elle a un très bon sens de la répartie. La chambre comme symbole de l’intrigue Le superlatif de supériorité « la plus commode » →est dissonant avec l’adjectif « incommodée » qui caractérise la Comtesse dans la réplique de. »

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