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Le soleil de Baudelaire

Publié le 09/12/2015

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1)L’allégorie: 3eme strophe: rôle du soleil activité humaines. 17: "Ainsi qu'un poète" -) comparaison + allégorie. Renvoie debut poème: soleil = poète: même nature, rayons capricieux. Parler du Soleil c'est parler du Poète.
2)Le rôle du poète: transformer la boue en or: poesie tel que soleil transforme ce qu'elle touche (18) + assonance i. Role poète: révéler la beauté de toutes choses + sordide: "Il descend dans les villes" pour extraire beauté invisible au commun des mortels. -) deviens "roi" propre aux alchimiste: celui qui détiens la magie de l'art. -)Pour conclure, Baudelaire évoque le projet du poète et nous fait par...

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« «ruche de miel» transformer la boueen or parallèle au poète    Le rôle du poète Parallèle entre la venu du soleil et la mise au travail de l'artiste Le soleil est le déclencheur de l'activité poétique Un hommage à la poésie qui donne au poète l'accès à l'idéal   Le Soleil Il apparaît comme un personnage capital ici, comme de nombreux autres poèmes de Baudelaire. Personnifié, il est décrit comme le « père nourricier (v 9) »  maître de Paris, il a accès à tout v3 : « Le soleil cruel » : il va au-delà des apparences, il montre au grand jour les Etre et non, les Paraître.

(cf. v19 : « Et, s'introduisit en roi, sans bruit et sans valets, dans tous les hôpitaux et dans tous les palais.

» Le soleil a une place dominante dans les poèmes de Baudelaire.

Il transperce les âmes et va au-delà de l'apparence et de la Beauté physique.   Le soleil, allégorie de la parole poétique tâchant d'embellir ou de donner vie à ce qu'elle touche,   Mais la substitution de l'un par l'autre doit attirer notre attention sur la différence opérée dans la représentation allégorique du poète.

« Le Soleil » fait parler le poète du soleil, « ce père nourricier » qui « fait s'évaporer les soucis vers le ciel », en lequel il trouve un double : Quand, ainsi qu'un poète, il descend dans les villes, Il ennoblit le sort des choses les plus viles, Et s'introduit en roi, sans bruit et sans valets, Dans tous les hôpitaux et dans tous les palais.

(OC I, 83). »

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