LES CHRONIQUEURS DU MOYEN AGE: VILLEHARDOUIN
Publié le 22/06/2011
Extrait du document
Les origines. — On n'a jamais cessé d'écrire l'histoire, même dans les temps les plus troublés. — Aux vie et vile siècles, no trouvons des rédactions latines, dont les plus célèbres sont celle de Grégoire de Tours (1595) et de Frédégaire (1660). Dans les couvents, on enregistre les faits et l'on compose au jour le jour d Chroniques, qui aboutissent, au XIIIe siècle, aux Grandes Chronique de Saint-Denis, dont la collection complète nous mène jusqu'à Louis XI. — D'autre part, on possède des chroniques en vers français, dès le XIIe siècle, en particulier deux immenses poèmes ( 15.000 vers chacun, par Robert Wace : le Brut (histoire des Breton et le Brut (histoire des Normands). — Mais l'histoire de la littérature n'a retenu que quelques noms parmi les très nombreux rédacteurs de chroniques en prose, du XIIe au XVIe siècle, ceux des quai grands chroniqueurs, qui sont morts environ à un siècle d'intervalle Villehardouin est mort en 1213; Joinville, en 1317; Froissart, en 1410; Commines, en 1511.
Liens utiles
- Romanciers et Chroniqueurs au Moyen-Age
- LA MUSIQUE AU MOYEN AGE
- L’Europe à la fin du Moyen-Age (fin du XIIIème – fin XVème siècle)
- Le Moyen Age : tendances générales en philosophie
- Texte n°1: Ferdinand Lot, « La fin du monde antique et le début du Moyen Age »