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l'impasse

Publié le 29/11/2012

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Migel-Victor Després Dissertation sur Prévert et Daudet Pendant le 19e et le 20e siècle, il y a eu plusieurs changements et le respect d'autrui est devenu de plus en plus important. Dans le recueil d'histoires Lettres de mon moulin, l'auteur réaliste Alphonse Daudet met en oeuvre plusieurs histoires qui défendent à sa manière le plus faible. C'est également le cas de l'auteur surréaliste Jaques Prévert qui à son tour défend le plus petit et le « pas normal « dans son recueil de poème Paroles. Dans cette analyse, les deux auteurs montrent un personnage influencé par une figure supérieure et dénoncent les mauvaises conditions du peuple, mais de manières différentes. Tout d'abord, dans le poème « Chasse à ...

« peine.

Ce que l’auteur montre dans l’histoire est une femme qui est supérieure et un mari qui est soumis à sa femme.

Donc, les deux auteurs montrent que les personnages sont influencés par une figure plus puissante. Dans un autre ordre d’idée, Prévert et Daudet dénoncent les mauvaises conditions du peuple, mais de manières différentes.

Dans « Le paysage changeur » Prévert se porte à la défense des travailleurs dans la misère.

Il utilise beaucoup de mots qui signifient la misère de ces pauvres gens.

C’est avec le champ lexical suivant que l’auteur montre leur pénible vie: «prison», «sans air», «sans lumière», «exploité», «affamé», «sans rien», «poussière».

Il dénonce les conditions des travailleurs et leur routine qui est misérable.

C’est donc en dénonçant ces conditions de vie que Prévert défend les plus faibles.

Puis, comme Prévert, Daudet se porte à la défense du plus faible.

Dans « Le secret de maître Cornille », l’auteur montre un homme qui s’acharne à faire marcher son moulin : «Le mistral avait beau souffler, les ailes restaient immobiles…»(P.31) Dans cette métaphore, il est possible de reconnaître deux significations différentes.

Le vent a beau être présent pour faire fonctionner le moulin, mais l’élément essentiel qui est le blé n’y est pas.

Le maître Cornille ne peut rien y faire.

Aussi, cela illustre l’acharnement de Cornille qui tente de convaincre le peuple que son moulin est meilleur que les minoteries à vapeur, mais malgré cela aucun de ses efforts n’est récompensé.

Bref, les deux auteurs montrent la misère des travailleurs dans des contextes différents. En conclusion, Jacques Prévert ainsi que Alphonse Daudet montrent un personnage influencé par une figure supérieure et dénoncent les mauvaises conditions du peuple, ce qui prouve qu’il se porte à la défense du plus faible.

C’est en dénonçant ces faits que le respect d’autrui est devenu de plus en plus présent et que les auteurs sont devenus des modèles pour les gens du peuple.. »

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