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L'influence du christianisme sur la littérature française au Moyen Âge

Publié le 21/11/2011

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3.1 La présentation de la littérature courtoise  La littérature courtoise est la réunion de la poésie courtoise et la roman courtoise.  Les œuvres courtoises expriment l'idéal chevaleresque, mais elles contiennent une nouvelle valeur : le service amoureux. L'appellation « courtoise « vient du mot « court « qui, en ancien français, désignait la cour seigneuriale. La cour imaginaire du roi Arthur dans les romans de la Table Ronde devient l'idéal des cours réelles : les habitudes raffinées et les beaux usages s'y imposent comme règle. La fidélité à une Dame, l'art de bien parler et chanter, la politesse, la générosité s'opposent, d'une part, aux manières grossières des guerriers et, d'autre part, deviennent signe de reconnaissance de la classe aristocratique. Aussi, les aristocrates, commencent-ils à s'orienter vers une littérature plus attentive au cœur et à l'esprit.   

« Les raisons que l'épopée est influencé par le christianisme sont divers.

Tout d'abord, le processus de la propagationde l'épopée, c'est juste le processus de l'émission du christianisme, c'est inévitable pour l'épopée d'affecter par lechristianisme.

Ensuite, l'épopée est transformée de littérature orale à littérature écrite par le clergé, pendant cecours, le clergé peut ajouter des pensés religieuse.2.3 Le réunion de l'humanité et de la divinité.Pendant le Moyen Âge, le dieu représente la puissance.

Les héros dans les épopées, comme une symbole idéale deroi, ils doivent avoir la divinité, en même temps, ils doivent aussi avoir les bonnes qualités de l'humanité.

À cause del'influence de christianisme, les épopées ont eu une double nature. 3 La littérature courtoise. 3.1 La présentation de la littérature courtoiseLa littérature courtoise est la réunion de la poésie courtoise et la roman courtoise.Les œuvres courtoises expriment l'idéal chevaleresque, mais elles contiennent une nouvelle valeur : le serviceamoureux.

L'appellation « courtoise » vient du mot « court » qui, en ancien français, désignait la cour seigneuriale.La cour imaginaire du roi Arthur dans les romans de la Table Ronde devient l'idéal des cours réelles : les habitudesraffinées et les beaux usages s'y imposent comme règle.

La fidélité à une Dame, l'art de bien parler et chanter, lapolitesse, la générosité s'opposent, d'une part, aux manières grossières des guerriers et, d'autre part, deviennentsigne de reconnaissance de la classe aristocratique.

Aussi, les aristocrates, commencent-ils à s'orienter vers unelittérature plus attentive au cœur et à l'esprit. 3.2 La chevalerieLe mot chevalerie est un dérivé du mot cheval.

Le terme sous-entend une forte distinction entre les chevaliers,combattants professionnels d'élite montés à cheval, et les paysans et les bourgeois, souvent considérés commemédiocres combattants, qui fournissaient la masse de l'infanterie, et, plus tard, de l'artillerie.La chevalerie a peu à peu développé ses valeurs et ses coutumes propres, sous l'influence notamment de l'Église etde la « courtoisie » des troubadours et trouvères, eux-mêmes fréquemment issus de la noblesse.

D'unefonction militaire au service de l'aristocratie terrienne, la chevalerie est devenue une fraternité, puis un groupesocial, enfin une institution.

Certaines traditions sont remarquables, notamment la cérémonie de l'adoubement.

Lesvertus traditionnelles de la chevalerie, vues par le prisme de la littérature, sont de nobles sentiments tels la piété,l'humilité, la bravoure, la courtoisie, la foi et l'honneur.La littérature courtoise est un produit de la chevalerie européenne, c'est aussi une phénomène littéraire unique enEurope.

Le système féodal en Europe est strict.

Dans le haut Moyen Age, la position des chevaliers est très faible.La littérature courtoise n'a pas de base sociale de germer.

Toutefois, la situation a beaucoup changé à cause duchristianisme.

Pour vaincre les païens, l'Eglise catholique a organisé huit grand Croisades.

Grâce à ces Croisades, lachevalerie devient la class la plus puissante, la littérature courtoise a donc commencé à développer.

La guerre duchristianisme a crée un nouveau monde pour la littérature française.Bien que l'origine de la littérature courtoise dû à christianisme, elle a quelques particularités qui vont au-delà de ladoctrine chrétienne, par exemple, l'amour. 3.3 L'amour—la côte de la nature humaine de la chevalerie.Dans de différents œuvres de la littérature courtoise, l'amour est toujours un thème important.

Selon la demande deChristian, le chevalier qui sert dévotement le christianisme doit poursuivre l'ascétisme, mais ce n'est pas le fait.

Lechevalier loue l'amour, poursuis l'amour.

Dans les principes du chevalier, la Dame domine parfois le dieu.

Ça c'est labeauté de la littérature courtoise—la nature humaine.

L'ouvrage le plus typique est « Tristan et Iseut ».Dans la tradition courtoise, le désir est unilatéral (de l'homme vers la femme) et est absolument maîtrisé et canalisédans le but de produire le discours amoureux qui constitue la matière même de l'œuvre.

Or ce qui fonde Tristan etIseut au-delà la légende, c'est l'incapacité des deux amants à maîtriser leur désir.

Quand le désir dans la traditioncourtoise est fécond parce qu'il n'est jamais réalisé et permet au poète de chanter son amour, le désir dans lesromans de Tristan est toujours déjà réalisé.

Ceci est une forte résistance de la doctrine chrétienne.

Cet esprit derésistance est la part la plus précieuse de la littérature courtoise. 4 D'autre littérature séculièreÀ partir de la fin du 12e siècle, les bourgeois obtiennent, grâce à l'essor de la manufacture, des privilègeséconomiques et juridiques qui concurrencent les pouvoirs seigneuriaux.

On voit apparaitre alors de nouvelles formesplus satiriques comme dans le Roman de RenartIl existe aussi une poésie politique, particulièrement vers la fin de cette période, et la forme goliardique est utiliséeaussi bien par les auteurs séculiers que par les clercs.La littérature de voyage est très prisée durant tout le Moyen Âge : les récits fantastiques de terres lointaines(souvent embellis ou entièrement inventés) divertissent une société où les gens, pour la plupart, passent toute leurvie dans la zone où ils sont nés.

Les récits de Jean de Mandeville par exemple, traduits en de nombreuses langues,eurent beaucoup d'influence pendant toute la fin du Moyen Âge.Toutes ces formes littéraires ont une relation étroite avec la lutte urbaine, elles adaptent aux demandesd'amusement des citadins.

La plupart de ces ouvrages est folklore, elle a une forte esprit de réalisme et d'optimisme.On sait que pendant le Moyen Âge, sous la domination de l'Eglise catholique, c'est difficile pour les citadins detrouver un façon d'amusement, l'ombre de christianisme couvre tous les choses.

La naissance de la nouvelle formelittéraire est une résistance inévitable contre l'oppression de l'Eglise catholique. Conclusion. »

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