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L'odyssée d'homere, étude de la condition humaine

Publié le 22/09/2018

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homere

D’autant plus qu’Ulysse s’est retrouvé sur deux îles utopiques.

En effet, l’île d’Ogygie, ou vit Calypso, a toute les caractéristiques d’une utopie, tout comme la Phéacie. 

Ce sont deux endroits forts prospères, « un bois avait poussé près de la grotte avec richesse », « quatre sources surgissaient en même lieu », « La fut aussi planté une vigne opulente », etc. 

En outre ces deux iles sont difficiles d’accès, et toujours très éloignées d’un endroit connu. Ogygie est qualifiée « d’ile très lointaine », et Ulysse manque de mourir écrasé contre des écueils en arrivant en Phéacie, « une lame vint l’entraîner vers des rochers ».

 

Mais ceslieux utopiques ne sont pas les seuls endroits qu’Ulysse ai visité. On ne peut s’empêcher de constater que ces utopies sont habités pas des personnes accueillantes, ce qui n’est pas le cas pour d’autres endroit, comme par exemple l’île des géants, « cette ile ne connait ni le bétail ni la charrue », cette description montrant clairement la barbarie de ces êtres. 

Ainsi le temps, notamment le temps qui passe, et les lieux sont très important dans le récit, d’une part pour maintenir une unicité dans le texte, d’autre part pour permettre au lecteur de mieux comprendre les aventures d’Ulysse.

 

En conclusion, L’Odyssée d’Homère dévoile un Ulysse plus humain, moins guerrier que dans L’Illiade. On voit également ses nombreuses qualités, ce qui le rend plus proche du lecteur. 

Ensuite de thèmes principaux se dégagent de la partie de l’œuvre étudiée, le voyage et le retour, qui sont très liés a la fois entre eux, et a Ulysse, puisque le retour a sa patrie est l’objectif d’Ulysse, et le voyage est indissociable a ce retour.

Enfin l’étude du temps et des lieux permet de maintenir un continuité dans le récit, et de découvrir deux utopies.

Ces éléments font de cette œuvre un récit original et un reflet de l’époque.

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« faut donner de son attachem ent à la bonne cause.

Cependant, bien qu'il ait renié ses amis d'autref ois, coupa bles d'être restés attachés à l'empereur, M.

de Rênal occupe une situation précaire dans un régime où triomphe le despoti sme de la congrég ation.

Il sera facile de trouver pour le remplacer, un homme plus ambi­ tieux et plus zélé.

Le person nage que Stendhal décrit sous ces traits est M.

Valenod, directeur du dépôt de mendicité, « le jésuit e de robe courte », que ses projets ambitieux porteront à la baronie et à la Chambre des députés.

La disg râce frappe impitoyablement sans le moindre égard à l'â ge des victi mes.

C' est ainsi que l'abbé Chélan, le bon vieux curé de Verrières, est relevé de ses fonctions de prêtr e , et que l' abbé Pirard qui dirigeait le séminaire de Besançon doit soudain quitt er son poste.

Tous deux sont suspects de jans énism e aux yeux des tout-puissants jésuites qui les chassent pour les rem placer par quelqu 'un des leurs.

Car le clergé est fourbe, des jeun es sémina­ ristes au terrible abbé Frilair, pour qui seul l'int érêt compte : n' est-il pas prêt à aider ses ennemis dans l'espoir d'obtenir u n évêché ? Le clergé est souverain.

La cong régat ion, dont un des chefs est l'espion Castanède, s'insinue dans tous les milieux, a la mainmise sur le gouvernement et l'aristocratie.

C'est le clergé qui domine toute la société de 1830 ainsi que le soulig ne M.

Maurice Bardèche lorsqu'il écrit : « L'aristo cratie a choisi pour moyen de gouvernement la dictature du parti clérical .

» L'a ristocrat ie parisi enne C'est cette aristocratie que Stendhal va peindre dans la second e partie de son roman.

Cette vieille noblesse du fau­ bourg Saint-Germain, qui compte parmi ses ancêtres d'anciens croisés, se plaît à en évoquer le souv enir.

Personnag es importants du royaume, ces nobles , exilés pour la plupart pendant la Révo­ lution et l'Empi re, sont revenus occuper les premi ères places aupr ès du roi, bien que la monarchie de la Charte leur laisse la nos talgie de l'ancien régime.

M.

de La Mol e est le type même de ces nobles.

Il en existe une autre catégorie, formée par les fils des précéde nts, ceux qui, comme M.

de Luz, M.

de Caylus, Norbert de La Mole fréquentent les salons et les bals, aiment à briller aux yeux des femmes par une conversation spirituelle qui dissimule mal 1 'a bsence de pensée.

A travers ces personnag es on peut deviner les vices d'un gouv ernement qui récompense la bassesse et encour age la flatterie, dispensant ses croix à ceux qui o nt su manœ uvrer et s'imposer vingt ans de cour assidue dans le dessein d'arracher un poste de préfet.

Mais Stendhal ne se. »

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