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L'oeuvre d'Apollinaire

Publié le 21/02/2012

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apollinaire

LA POÉSIE SYMBOLISTE (1909)

L'ENCHANTEUR POURRISSANT (1909)

L'HÉRÉSIARQUE ET CIE (1910)

LE BESTIAIRE OU CORTÈGE D'ORPHÉE (1911)

LES PEINTRES CUBISTES (1913)

ALCOOLS (1913)

LE POÈTE ASSASSINÉ (1916)

VITAM IMPENDERE AMORI (1917)

CALLIGRAMMES (1918)

LE FLÂNEUR DES DEUX RIVES (1918)

COULEUR DU TEMPS (1918)

LES MAMELLES DE TIRÉSIAS (1918)

LA FEMME ASSISE (POSTHUME, 1920)

IL Y A... (1925)

ANECDOTIQUES (1926)

LETTRES A SA MARRAINE 1915-1918 (1948)

OMBRE DE MON AMOUR (1948)

TENDRE COMME LE SOUVENIR (1952)

LE GUETTEUR MÉLANCOLIQUE (1952)

CASANOVA (Comédie parodique, 1952)

 

Apollinaire est aussi l'auteur de nombreuses préfaces dans la collection

des Maîtres de l'amour, et d'œuvres érotiques publiées sous le manteau.

apollinaire

« Sa vie, son oeuvre Un apprentissage cosmopolite Guillaume Apollinaire de Kostrowitzky est ne a Rome le26 aoiit 1880.

Fils d'une Polonaise fantasque et d'un Italien qui fut sans doute un officier de l'armee italienne, Apollinaire est lui-meme francais par la langue, la culture et le cceur.

Apres de bonnes etudes dans des colleges religieux a Monaco, puis a Cannes et a Nice, it se rend en 1899 a Paris. Photo collechon Lausat / Explorer En 1901, it est engage comme precepteur en Rhenanie.

Il est seduit par les endroits pittoresques qu'il decouvre en Allemagne mais aussi dans les pays d'Europe centrale qu'il visite alors.

Il lui en restera des images et des sensations qui peupleront ses poemes.

Par ailleurs, it s'eprend d'Annie Playden, gouvernante anglaise de son eleve, mais celle-ci le repousse.

La rupture definitive de toute relation entre Apol- Pour faire piece au linaire et la jeune fille, en 1904, affecte profondement le realisme d'un monde poete qui exprimera son desespoir dans La Chanson du mal- suranne qui n'a pas su eviter la guerre, aime. Apollinaire inventa en 1917 le terme de La vie artistique parisienne "surrealisme" pour designer Part de son temps, dont it fut le defenseur et le poete r e retour a Paris, employe de banque pour vivre, I-, Apollinaire frequente certains milieux litteraires.

Il se lie avec Jarry, Max Jacob, Andre Salomon.

Avec ce dernier, it plus que le theori- fonde une revue ephemere, le Festin d'Esope.

Il rencontre den.

aussi des peintres : Derain et Vlaminck en 1904, Picasso en 1905 dont it loue la periode bleue.

Sa rencontre en 1907 avec Marie Laurencin insufflera une nouvelle inspiration amou- reuse au poete qui ecrit alors Onirocritique et Le Brasier. En 1910, parait son premier livre, L'Enchanteur pourrissant. Ses activites de journaliste et d'ecrivain se developpent peu a peu.

Ne vivant desormais plus que de sa plume, it entre a l'Intransigeant comme critique d'art, collabore a Paris- Journal, fait paraitre un roman, L'Heresiarque et Cie, qui obtient des voix au prix Goncourt.

En 1911, it inaugure la rubrique de La Vie anecdotique au Mercure de France, publie ., Le Bestiaire, ou Cortege d'Orphee, illustre par Dufy.

La meme armee, a la suite de vols au musee du Louvre, Apol- linaire est incarcere a la prison de la Sante sous l'inculpation Photo Bemat / Slpa-Icon de recel.

Ce sejour en prison, qui s'acheve par un non-lieu, Photo co1lection Lausat 1 Explorer Pour faire pièce au réalisme d'un monde suranné qui n'a pas su éviter la guerre, Apollinaire inventa en 1917 le terme de "surréalisme" pour désigner l'art de son temps, dont il fut le défenseur et le poète plus que le théori­ cien.

Photo Beinat 1 Sipa-Icono Sa vie, son œuvre Un apprentissage cosmopolite G uillaume Apollinaire de Kostrowitzky est né à Rome le 26 août 1880.

Fils d'une Polonaise fantasque et d'un Italien qui fut sans doute un officier de l'armée italienne, Apollinaire est lui-même français par la langue, la culture et le cœur.

Après de bonnes études dans des collèges religieux à Monaco, puis à Cannes et à Nice, il se rend en 1899 à Paris.

En 1901, il est engagé comme précepteur en Rhénanie.

Il est séduit par les endroits pittoresques qu'il découvre en Allemagne mais aussi dans les pays d'Europe centrale qu'il visite alors.

Il lui en restera des images et des sensations qui peupleront ses poèmes.

Par ailleurs, il s'éprend d'Annie Playden, gouvernante anglaise de son élève, mais celle-ci le repousse.

La rupture définitive de toute relation entre Apol­ linaire et la jeune fille, en 1904, affecte profondément le poète qui exprimera son désespoir dans La Chanson du mal­ aimé.

La vie artistique parisienne D e retour à Paris, employé de banque pour vivre, Apollinaire fréquente certains milieux littéraires.

Il se lie avec Jarry, Max Jacob, André Salomon.

Avec ce dernier, il fonde une revue éphémère, le Festin d'Ésope.

Il rencontre aussi des peintres : Derain et Vlaminck en 1904, Picasso en 1905 dont il loue la période bleue.

Sa rencontre en 1907 avec Marie Laurencin insufflera une nouvelle inspiration amou­ reuse au poète qui écrit alors Onirocritique et Le Brasier.

En 1910, paraît son premier livre, L'Enchanteur pourrissant.

Ses activités de journaliste et d'écrivain se développent peu à peu.

Ne vivant désormais plus que de sa plume, il entre à l'Intransigeant comme critique d'art, collabore à Paris­ Journal, fait paraître un roman, L'Hérésiarque et Cie, qui obtient des voix au prix Goncourt.

En 1911, il inaugure la rubrique de La Vie anecdotique au Mercure de France, publie Le Bestiaire, ou Cortège d'Orphée, illustré par Dufy.

La même année, à la suite de vols au musée du Louvre, Apol­ linaire est incarcéré à la prison de la Santé sous l'inculpation de recel.

Ce séjour en prison, qui s'achève par un non-lieu,. »

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