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Maupassant: la peur : danger réel ou danger imaginé ?

Publié le 06/10/2018

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peur veut dire. Après étudier ces anecdotes on découvre que dans la premiere anecdote il est question d’un danger imaginé, tandis qu’à la deuxième il est question d’un danger réel. Maintenant on peut répondre à les deux question principales : Pourquoi le narrateur a raconté deux anecdotes et pourquoi on ne peut qu’éprouver la peur dans un cas surnaturel ? Le narrateur a raconté deux anecdotes pour indiquer les deux sortes de danger qu’on peut épouvrer dans notre vie. L’une est un bon exemple du danger imaginé, tandis que l’autre exprime bien le danger réel. La peur est donc un cas du surnaturel. Seulement quand on croit au surnaturel on peut avoir peur de quelque chose ce qui à faire avec cela. Sinon on essaye d’expliquer tous les éléments qui nous essaient de faire peur. Quand on croit au surnaturel on essaye d’éclaircir toutes les choses ce qui nous font peur avec le surnaturel et cela fait la peur plus grande.

tout, car pendant cette nuit il n’y a pas de preuve que le revenant est vraiment revenu. A la fin la mort du chien est découvert ce qui indique le vrai retour du revenant. La superstition semblait d’abord quelque chose qui n’existe pas, mais comment la mort du chien pourrait être expliquée dans ce conte? Ce qui paraissait comme un danger imaginé est paru comme un danger réel. La superstition est normalément transmise comme ridicule, mais dans ce conte elle est donc transmise comme mystérieux, quelque chose qu’on ne peut pas éclaircir.

 

Pour conclure le conte « La Peur » appartient au genre fantastique. On peut le reconnaître par les mots qui contiennent la peur et le surnaturel qui est décrit dans ce conte. Le narrateur utilise des mots différents pour la peur, mais il n’y a aucun mot qui a le même sens si fort comme la peur. La définition de la peur donne deux possibilités de dangers : à savoir le danger réel et le danger imaginé. Le narrateur raconte deux anecdotes pour expliquer ce que la

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« différence entre ces mots.

Quand on demande conseil au Petit Robert il devient en effet clair que les mots n’ont pas le même sens.

Le Petit Robert donne pour le mot ‘agiter’ le sens suivant : « Remuer vivement en divers sens, en déterminant des mouvements irréguliers [3]».

Ce sens ou un synonyme de ce mot est brièvement ‘trembler’.

On peut conclure que ce mot a quelque chose à faire à la peur, mais ne décrit pas la peur elle-même.

Ce n’est qu’un sens léger de la peur.

Quand on cherche le mot ‘la peur’ dans le Petit Robert, on découvre que ce mot a un sens plus fort : « Phénomène psychologique à caractère affectif marqué, qui accompagne la prise de conscience d’un danger réel ou imaginé, d’une ménace [4]».

Il est remarquable que dans la description n’en est pas seulement question d’un danger réel, mais il est aussi question d’un danger imaginé.

Alors, cette description ne veut pas seulement dire qu’il y a une certaine réaction sur un danger qui existe vraiment, mais aussi sur un danger qui est provoqué par un facteur imaginé.

Surtout ce danger imaginé est reconnaissable dans ce conte, mais cela sera traité plus loin dans cette dissertation. Pour revenir à la définition du mot ‘la peur’ on peut donc conclure qu’elle a quelque chose à faire au danger et qu’elle provoque une réaction psychologique.

Sur ce point on peut conclure que, quand on lit les définitions des deux mots qui sont donnés, le mot ‘la peur’ ne peut utiliser que quand il est question d’un danger, tandis qu’un mot comme ‘agiter’ on peut l’utiliser pour exprimer toutes autres choses qui ressemblent à la peur, mais qui n’ont pas vraiment le même sens si fort. La personne qui explique ce que c’est la peur c’est la narrateur.

Il essaye d’expliquer avec deux exemples dans quelle situation on peut parler de la vraie peur.

En référant une histoire d’un autre homme qui explique qu’il avait peur pendant une voyage à son navire, le narrateur essaye de convaincre cet homme qu’il n’a jamais eu peur par raconter deux anecdotes qui contiennent la peur.

Le narrateur définit la peur comme quelque chose qui « a lieu dans certaines circonstances anormales et la vraie peur est quand l’homme croit aux revenants et qui s’imagine apercevoir un spectre dans la nuit [5]».La question est pourquoi il a décidé de raconter deux anecdotes et pas un seul.

En même temps que cette question sera traité, le danger imaginé sera traité aussi.

La première anecdote se situe en Afrique.

Il explique qu’il était dans le Sahara avec deux amis.

Ils ne parlions plus, accablés de chaleur, de fatigue, et desséchés de soif comme ce désert ardent[6].

En fait par tout cela, ils ne pouvaient plus refléchir bien.

C’est pourquoi le danger imaginé va jouer un rôle dans cette anecdote.

A savoir les hommes attendent un mystérieux tambour, parfois « distinctement, tantôt plus vibrant, tantôt affaibli, arrêtant, puis reprenant son roulement fantastique[7] ».

Les Arabes étaient surs que ‘la mort était sur eux’.

Le tambour laissait senter le narrateur la vraie peur.

Après il apprenait que le tambour était une sorte de mirage du son.

Cela est -ce qu’il a quelque chose à faire avec le surnaturel ? Probablement non.

Cependant ce qui est important ici c’est le danger imaginé.

Les Arabes croyaient qu’ils se trouvaient dans une situation dangereuse.

Ils se rendaient fous, mais en fait il n’y avait aucun danger.

Pour conclure cette anecdote n’est qu’un exemple du danger imaginé. La deuxième anecdote semble aussi un danger imaginé, mais quand on lit la fin on découvre qu’il est question d’un danger réel. Cette anecdote se trouve dans une forêt du nord -est de la France en hiver.

Le narrateur marche avec un guide qui propose d’aller coucher chez un garde forestier.

Dans la maison le vieux homme explique qu’il a tué un homme,voilà deux ans, mais dans cette nuit.

L’autre année, il est revenu d’appeler le vieux homme et ce soir l’homme entend le tué encore.

Cet homme parle donc d’un revenant.

Le revenant est un terme qui appartient à la superstition.

On croit donc que l’homme qui est tué, reviendra tout les ans dans la nuit qu’il a été tué.

Il est logique qu’on pense immédiatement qu’il est question d’un danger imaginé.

Les revenants n’existent pas et cela est aussi la réaction du narrateur.

Pourtant les gens dans cette maison sont dérangés par ce revenant et encore le narrateur explique qu’il a senti la peur.

On peut croire que le narrateur s’a imaginé tout, car pendant cette nuit il n’y a pas de preuve que le revenant est vraiment revenu.

A la fin la mort du chien est découvert ce qui indique le vrai retour du revenant.

La superstition semblait d’abord quelque chose qui n’existe pas, mais comment la mort du chien pourrait être expliquée dans ce conte? Ce qui paraissait comme un danger imaginé est paru comme un danger réel.

La superstition est normalément transmise comme ridicule, mais dans ce conte elle est donc transmise comme mystérieux, quelque chose qu’on ne peut pas éclaircir. Pour conclure le conte « La Peur » appartient au genre fantastique.

On peut le reconnaître par les mots qui contiennent la peur et le surnaturel qui est décrit dans ce conte.

Le narrateur utilise des mots différents pour la peur, mais il n’y a aucun mot qui a le même sens si fort comme la peur.

La définition de la peur donne deux possibilités de dangers : à savoir le danger réel et le danger imaginé.

Le narrateur raconte deux anecdotes pour expliquer ce que la. »

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