Mens Sana in Corpore Sano

« suivants sont des démonstrations de la symbiose entre corps et âme, les débuts sont similaires (rejet de ladistinction). Dans le dernier paragraphe d'Holbach annonce que l'âme est une fonction des parties du corps : sentir, toucher.

Iloppose ensuite l'idée que nous sommes soumis aux influences extérieures.

Il affirme que les façons de réagir sontdifférentes.

Dans le deuxième paragraphe il montre que vouloir diviser l'homme reviendrait vouloir distinguer soncerveau lui-même.

Nous sommes dans le plus concret de la démonstration.

Il montre le cerveau comme un centrenévralgique.

Il explique que le cerveau c'est le point commun où tout aboutit, il montre aussi que le cerveaucommande la réaction.

C'est à l'aide de cet organe qui est le siège de nos pensées mais aussi de nos réactionsnerveuses et une grande variété de mouvements : « agir, réagir » que l'homme est caractérisé. c) L'emploi des personnes grammaticales Le pronom employé le plus souvent par d'Holbach est « nous », il l'utilise dans l'ensemble du texte.

Il se désigne parce « nous » mais aussi les autres hommes des lumières.

Il soutient l'idée d'une action commune.

Il renforce cettepersonne par les déterminants possessifs « nos » C'est un groupe qui réfléchit et non une personne isolée.

L'objetd'étude de ce groupe c'est l'homme lui-même auquel on attache des éléments : son moral, son âme, sa nature, sonorganisation. Face à ce « nous » il y a une troisième personne qui est une sorte d'ennemi, d'opposant l5 « qu'on » ou plus loin l11« on repait » nos esprits, cet ennemi représente les opposants aux lumières, notamment l'église chrétienne.

Ilemploie ensuite un pronom de généralisation l25 « ceux qui ont séparé l'âme du corps » d) Les choix rhétoriques La construction de certaines phrases donne de l'ampleur au discours : rythme quaternaire (en quatre sections) oubien rythme ternaire.

Il utilise également des successions d'adjectifs renforcées par des relatives : « sain,bienheureux… Il utilise un rythme croissant de nombreuses phrases, un jeu de répétition et de synonymie.

Il y a une certaineconstruction du texte et une clarté du propos qui permettent à d'Holbach d'exposer sa théorie efficacement et desidées propres aux philosophes des lumières. 2 Un texte des Lumières Nombre de philosophes des lumières étaient athées ou matérialistes, d'Holbach en est l'un des plus violents.

Pour luila religion est rejetée car elle ne doit pas interférer dans les domaines politiques et sociaux.

Pour lui la sciencedonne un modèle plus objectif, il s'en inspire et met en avant les idées les plus naturelles.

Les matérialistesreprésentent l'univers comme une horloge, une sorte de machinerie parfaite. a) La dénonciation de l'obscurantisme Le préalable à tout changement bénéfique c'est de rejeter toutes les superstitions : "soumettons la […] aveugler",les verbes écarter, déchirer, ..

rejettent ce qui a précédé ce sont des verbes de combat; il se bat contre latromperie, l'erreur: l2 "préjugés,conjectures (au sens infondé) " l11 "chimères".

Son attaque est ciblée contre lareligion, l2 "théologique" et la métaphore "voile sacré".

Contre ces ténèbres, le philosophe propose des idées clairesqui s'opposent à l'aveuglement. b) Le modèle scientifique D'Holbach dit que pour réfléchir à ce qu'est notre esprit, il faut suivre un raisonnement logique, en se fondant surl'observation.

Champ lexical de la science, appel aux médecins, physiciens, anatomistes.

Il nomme des spécialistesde la matière pour définir l'esprit.

La démarche proposée par d'Holbach se base sur leurs observations.

Il se place du. »