Devoir de Philosophie

Modèle de copie Word (à partir de la version 2007)

Publié le 14/06/2018

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Modèle de copie Word (à partir de la version 2007) Références du devoir Matière : Français Code de la matière : FR20 N° du devoir : devoir 3 (tel qu’il figure dans le fascicule devoirs) ! Pour les devoirs de langues étrangères, précisez LV1, LV2 ou LV3 : LV1 Vos coordonnées Indicatif :4059 Nom :Miranda Prénom :Victoria Ville de résidence :Bâle Pays (si vous ne résidez pas en France) :Suisse? Double-cliquez dans les zones bleues pour saisir les différentes informations demandées puis commencez à saisir votre devoir en page 2. Nom du professeur correcteur : Note : Observations générales du correcteur : !1 Modèle de copie Word (à partir de la version 2007) 1- Les deux textes sont issus du roman de Balzac, Le Colonel Chabert. Ce roman paru en 1832 peu à près la seconde révolution française. Le texte A fait parti de la seconde partie du roman alors que le texte B fait partie du dernier chapitre. Nous allons pars la suite analyser la place d’un des personnages principaux, Derville lors de ces deux extraits. Les deux textes sont écrit avec le point de Derville. Dans le premier texte Derville observe et évalué la comtesse. On le remarque par l’emploi du gérondif. Le second texte est lui un discours rapporté. c’est les mots exacte prononcé par Derville. Vu que ce passage est excipit du roman ce discours est les derniers mots de Derville dans le roman. Ce personnage sert une fois de plus d’interprète de l’auteur. C’est donc l’avocat ou autrement dit l’avoué qui conclut le roman. Dans cet excipit Derville expose sa misérable vie en insistant sur le cycle complexe que forme sa vie avec sa fâcheuse tendance à renoncer au néant pour y retourner continuellement. Il parle aussi de la plaisanterie que représente la vie du colonel, c’était un homme reconnu qui avait un rôle importants dans l’histoire de la France et il ?nit comme un indigent perdu et invisible: « Quelle destinée! s’écria Derville. Sorti de l’hospice des Enfants trouvés, il revient mourir à l’hospice de la Vieillesse, après avoir, dans l’intervalle, aidé Napoléon à conquérir l’Égypte et l’Europe ». Derville est évidemment le seul a pouvoir dire ça puisque il est le seul a connaitre chaque événement de la vie du Colonel. L’avoué en étant le porte-parole de l’auteur il a une certain in?uence sur le dénouement du roman c’est pour ça qu’on peut observer plusieurs anticipations dans le roman. Dans le texte A Derville prédit dans le mode de la certitude l’échec futur. « La morale de ceci est qu’une jolie femme ne voudra jamais reconnaître son mari, ni même son amant dans un homme en vieux carrick, en perruque de chiendent et en bottes percées. » Derville fait partie des témoins de la déclinaison du monde en étant un avocat. C’est donc pour ça que c’est le personnage le plus apte a décrire l’état de la société dans laquelle ils vivent et du même coup de parler au nom de l’écrivain. C’est un ainsi que Balzac fait habilement le rapprochement avec la ?ction de son roman et les fonds réaliste qu’il représente: « En?n, toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours audessous de la vérité ». !2 Modèle de copie Word (à partir de la version 2007) 2- Les deux textes proposent une vision réprobatrice de la société parisienne lors du retour de souveraineté et plus particulièrement les hommes de cette époque grâce a l’intermédiaire de l’avocat Derville. « Un homme si bien placé pour connaître le fond des choses » avec cette phrase Balzac montre l’avoué comme un homme intelligent et donc son point de vue est celui dans un homme ingénieux qui sait débus...

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