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Publié le 18/12/2012

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Introduction : Marie LAPORTE et Laurent MARECHAL sont deux personnes que tout oppose: la couleur de peau, les centres d’intérêt… Ils n’ont rien du tout en commun MAIS rien QU’UNE SEULE CHOSE va les rendre compréhensibles l’un envers l’autre: leur handicap. 27 novembre 2012, je rentre à l’hôpital pour problèmes psychologiques liés à l’humeur. Suis-je fou? Je ne sais point, seuls vous pouvez en juger. Pour moi rentrer à l’hôpital c’était la pire chose qui pouvait m’arriver, je prenais ceci comme un genre de punition. J’étais en colère, et j’en voulais à toutes les personnes de ce monde. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire j’étais déjà arrivé dans le service pédiatrique. Terrifié, je posais mes pieds l’un après l’autre. Je ne savais pas quoi faire. A cet instant précis je me sentais faible, désarmé de toutes mes forces. Avais-je une issue de sortie? Non. Aucune échappatoire n’était possible. C’était fini, je devais me résoudre à rester à l’hôpital pendant un bon bout de temps. Je n’avais qu’un choix possible: rester. Je n’ai donc pas rétorqué, et j’ai assumé ma peine. Mon oncle et ma grand-mère m’abandonnaient derrière eux, aussi touchés que moi à l’idée de me laisser dans cet endroit inconnu d’eux et de moi. De toute manière, j’étais obligé de rester. Un jour, deux jours passèrent et ainsi de suite pendant un mois. Je me suis dit que, en restant ici, autant se faire des amis pour faire passer le temps. Je me sentais si seul. C’est pendant cet instant que j’ai compris l’importance de mes proches et amis. Au fur et à mesure les enfants défilaient dans le service de pédiatrie. Je les voyais venir, partir et ceci me décourageait car je me disais que je ne sortirai jamais de cette endroit cruel où les enfants souffrent, sans leurs parents et leurs êtres chers. Tout était chamboulé dans mon cerveau. Je ne pouvais plus rester enfermé dans le service. J’envisageais la fuite. Mais comment faire? Ceci m’était-il possible ? Non. Les infirmières étaient gentilles avec moi, je ne pouvais rien leur reprocher, elles étaient compréhensibles, attentionnées, marrantes, et j’en passe.. Mais malgré ça, j’avais quand même du mal a me dire que tout cela avait été fait pour mon bien.  J’étais loin de mes amis, de ma famille et ils me manquaient terriblement. Mais comme le dit mon proverbe « Qu’est-ce que je peux y faire «  Comme il n’y avait rien à faire je m’amusais à trouver des surnoms aux nouveaux patients. Ceci était fort amusant. Je me divertissais grâce à ce petit jeu. Rien ne pouvait m’arrêter. Le surnom que j’aimais bien par rapport à tous les autres était : la chèvre. La chèvre c’était une fille qui respirait fort et bizarrement et donc sa respiration me faisait penser a une chèvre. Enfin bref, j’avais rencontré une fille qui a première vu était normale. Avant de lui donner un nom, il me devait de la demander pour quelle raison elle était ici elle me répondit sans plaisir. On aurait cru que me dire pourquoi elle était la était trop dur pour elle. J’attendais sa réponse impatiemment. Je l’avais eue ma réponse, mais la façon dont elle me l’avait dit été provoquant. Elle était anorexique. Ceci était incroyable elle ne paraissait pas du tout anorexique. Je pensais que c’était une blague. Je lui reposais une deuxième fois ma question. Elle me répondit encore plus sauvagement, en me rétorquant la même réponse. J’étais en colère à cause de la façon dont elle m’avait répondu. Je m’en allais dans ma chambre en réfléchissant à un surnom pour elle. Le lendemain lors du petit déjeuner, pour me venger de la façon dont elle m’avait parlé je lui avait trouvé un surnom qui lui allait comme un gant : le « skeleton. « Je me demandais moi même d’où je trouve toute cette imagination ! Elle pouvait être joyeuse je m’étais cassé la tête à lui trouver un nom pendant la nuit. Quelle chance elle avait ! Je me suis empressé d’utiliser ce nouveau petit surnom que je le lui avais trouvé -« Alors skeleton on a passé une bonne nuit ? « -« Oui et toi patate ? « J’étais tout retourné en entendant ce surnom qu’elle m’avait donné. D’une part j’étais content car ceci prouvait qu’elle avait aussi pensé à moi la nuit dernière, et d’autre part vexé tout simplement parce que ce surnom était vrai. Je l’avoue je suis un peu gras et je n’aimais pas du tout qu’on me le fasse remarquer. C’était mon point faible. Mais de toute manière en la voyant face à moi je me suis dit que il vaut mieux être gros que maigre. Ce que j’avais dit était vrai mais si j’était maigre je ne le regretterai pas non plus. Elle et moi on se bagarrait tout le temps. Sur n’importe quel sujet on se querellait pour savoir qui avait raison, et chacun de nous voulait tout le temps avoir le dernier mot. Ceci avait duré pendant 2 semaines. Mais un jour je la vis pleurer seule dans sa chambre. J’avais alors pensé que tout ceci était de ma faute. Si c’était le cas je me serais excusé mais, comme j’avais trop peur de lui demandé pourquoi elle était triste, je ne lui demandai pas la cause de sa tristesse.  Mais avec tout ça j’avais complètement oublié de lui demander son vrai prénom, elle me répondit avec satisfaction, ce qui me paraissait étrange, mais bon autant partir sur de bonnes bases. Ce n’est pas pour autant qu’on avait arrêté de se battre. Elle s’appelait Marie. Très joli prénom pour une fille qui avait le don de me à taquiner a n’importe quel moment. Je ne sais pas pourquoi mais je la détestais. Elle m’énervait, elle avait une de ces arrogance ! Je ne pourrais même pas vous l’expliquer. Elle se croyait supérieure, elle voulait toujours avoir raison même quand elle avait tort. Alors qu’elle était maigre, tellement maigre que je pouvais voir ses os à travers son corps. Lors de la semaine suivante, je ne pouvais pas oublier cette scène où Marie pleurait seule dans sa chambre. J’ai alors pris mon courage entre mes deux mains moites à cause de la peur, et je lui ai demandé pourquoi elle avait pleuré la semaine dernière, elle avait beaucoup de mal à me répondre. -« Salut Marie tu vas bien ? « -« A bizarre, Monsieur la patate m’a appelé par mon prénom ! C’est bien tu fais des progrès ! Continue à bien parler et peut-être, et je dis bien peut-être tu maigriras. -« Oui et toi économise ta salive et tu grossiras peut-être. Bon je ne suis pas venu pour me battre mais par contre, je suis venu jusqu'à ta chambre pour te poser une question....

« faire des amis pour faire passer le temps.

Je me sentais si seul.

C'est pendant cet instant que j'ai compris l'importance de mes proches et amis.

Au fur et à mesure les enfants défilaient dans le service de pédiatrie.

Je les voyais venir, partir et ceci me décourageait car je me disais que je ne sortirai jamais de cette endroit cruel où les enfants souffrent, sans leurs parents et leurs êtres chers.

Tout était chamboulé dans mon cerveau.

Je ne pouvais plus rester enfermé dans le service.

J'envisageais la fuite.

Mais comment faire? Ceci m'était-il possible ? Non. Les infirmières étaient gentilles avec moi, je ne pouvais rien leur reprocher, elles étaient compréhensibles, attentionnées, marrantes, et j'en passe..

Mais malgré ça, j'avais quand même du mal a me dire que tout cela avait été fait pour mon bien.  J'étais loin de mes amis, de ma famille et ils me manquaient terriblement.

Mais comme le dit mon proverbe « Qu'est-ce que je peux y faire »  Comme il n'y avait rien à faire je m'amusais à trouver des surnoms aux nouveaux patients.

Ceci était fort amusant.

Je me divertissais grâce à ce petit jeu.

Rien ne pouvait m'arrêter.

Le surnom que j'aimais bien par rapport à tous les autres était : la chèvre.

La chèvre c'était une fille qui respirait fort et bizarrement et donc sa respiration me faisait penser a une chèvre.

Enfin bref, j'avais rencontré une fille qui a première vu était normale. Avant de lui donner un nom, il me devait de la demander pour quelle raison elle était ici elle me répondit sans plaisir.

On aurait cru que me dire pourquoi elle était la était trop dur pour elle.

J'attendais sa réponse impatiemment.

Je l'avais eue ma réponse, mais la façon dont elle me l'avait dit été provoquant.

Elle était anorexique.

Ceci était incroyable elle ne paraissait pas du tout anorexique.

Je pensais que c'était une blague. Je lui reposais une deuxième fois ma question.

Elle me répondit encore plus sauvagement, en me rétorquant la même réponse.

J'étais en colère à cause de la façon dont elle m'avait répondu.

Je m'en allais dans ma chambre en réfléchissant à un surnom pour elle. Le lendemain lors du petit déjeuner, pour me venger de la façon dont elle m'avait parlé je lui avait trouvé un surnom qui lui allait comme un gant : le « skeleton.

» Je me demandais moi même d'où je trouve toute cette imagination ! Elle pouvait être joyeuse je m'étais cassé la tête à lui trouver un nom pendant la nuit.

Quelle chance elle avait ! Je me suis empressé d'utiliser ce nouveau petit surnom que je le lui avais trouvé. »

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