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Parodie d'un roman de chevalerie, écriture d'invention.

Publié le 04/01/2013

Extrait du document

            Ce soir là, dans la taverne du quartier, il y avait un ivrogne qui tenta malgré son ébriété, de conter son extraordinaire aventure à ses compagnons. Celle-ci paraissait au premier abord fabuleuse et admirable, il y faisait apparaître sans ménagement son courage hors du commun, et son exceptionnelle aptitude au combat. Mais, quelques instants plus tard, alors que celui-ci n'avait pas fini de narrer sa belle histoire, un jeune homme sorti de l'ombre. C'était le plus jeune frère de l'ivrogne. Il expliqua alors comment c'était vraiment déroulé les événements plus tôt dans la semaine.    Je décidai de partir en quête d'aventure dans la forêt, quand mon frère, éternel débauché, décida de quitter son litron de vin, pour faire un bout de chemin avec moi afin de cueillir quelques champignons pour le dîner. Je parti donc à cheval avec pour seul bagage, ma cape, ma dague et mon frère qui subissait encore les effets de l'alcool. Nous nous engageâmes sur un petit sentier, lorsque mon frère trébuchât sur une racine qui sortait du sol, celui-ci c'était foulé la cheville et se mit à sangloter comme un bambin réclamant sa mère. Comme nous nous étions engagé trop loin dans la forêt, je décidai d'installer mon frère sur un rocher et partit chercher de l'aide, me souvenant qu'il y avait une demeure non loin de là. Lorsque que je fut arrivé à la dite demeure, j'aperçus un gentilhomme qui n'était autre que le propriétaire des lieux, je lui demanda alors s'il pouvait nous venir en aide mais celui-ci me répondit à peine, et quand j'insistai il menaça de m'assommer avec une pelle et me dit de déguerpir. C'est alors que surgit une jeune femme qui ne pouvait être autre que la fille du gentilhomme par  leurs ressemblances. Elle était disgracieuse et repoussante, le sourire qu'elle m'adressa laissa apparaître ses dents jaunit, elle s'avança vers moi d'une démarche mal assurée et me proposa aussitôt son aide. J'acceptai volontiers et nous partîmes chercher mon fr&egrav...

« Nous arrivâmes enfin et à mon grand soulagement où mon frère était resté.

Nous l'installâmes sur mon cheval et repartîmes en direction du manoir où il fut soigné par la fille du gentilhomme qui renversa au passage du vin sur ma cape.

Vin qu'avait réclamé mon frère pour le consoler de tous ses malheurs.

Le père n'était pas ravit que nous nous trouvions là mais la jeune femme nous proposa quand même l'hospitalité.

Avant même je n'eut le temps de refuser, mon frère accepta, à mon plus grand mécontentement puisque je désirais continuer ma quête.

Je lui dit de faire un choix entre me suivre et rester là à boire et à ma plus grande surprise, il décida de me suivre.

Il dit qu'il avait peur de rebrousser chemin seul avec tout les bruits étranges qu'il avait entendu plus tôt et n'avait d'autre choix que de rester avec moi.

Je les remerciai chaleureusement et je les recommandai tout deux au Saint-Esprit tandis que mon frère leur demandai s'il pouvait emporter un peu de vin pour le voyage. Nous prîmes alors congé de tout le monde et nous partîmes aussitôt.      Nous nous étions guère éloigné du manoir que nous vîmes dans une petite clairière, des taureaux sauvages surexcités qui, tous, se battaient entre eux.

Ils faisaient un si grand bruit et manifestaient une telle férocité que, pour dire vrai, je reculai de peur.

Mon frère quant à lui était près à s'enfuir à toutes jambes et je dut le retenir par le col de son veston.

Un rustre qui ressemblait à un ogre des contes visant à faire peur aux enfants, se tenait là. Il était immense et hideux à l'extrême, assis sur une souche, une grande massue a en faire pâlir le plus preux des chevaliers, à la main.

Tandis que je m'approchais, mon frère laissa échapper un cri et défaillit.

Je le secouai, le remit sur pied et continuai à m'approcher.

Je vis alors qu'il avait la tête plus grosse que celle d'un cheval de somme, ou de n'importe quelle autre bête; les cheveux en désordre, un immense front pelé, de grandes oreilles velues comme celle d'un éléphant, de gros sourcils et un visage plat.

Il avait également une barbe sombre très dense et en bataille, le menton soudé à la poitrine avec une longue échine déformée et bossue.

Je le saluait alors qu'il s'approchait également, tandis que mon frère se cachait, effrayé, derrière moi, me chuchotant qu'on ne devrait pas s'avancer davantage.

Malgré son physique atypique et sa carrure quelque peu impressionnante il ne faisait nul doute que celui-ci fut un homme mais mon frère ne put s'empêcher de lui demander quel genre de créature il était, a mon plus grand désespoir.

Nous discutâmes alors quelques instants, mon frère toujours en retrait, et nous apprîmes alors qu'il était le gardien des taureaux qui avaient tant effrayé mon frère.

Le rustre me questionna ensuite sur mes intentions, je lui répondit alors que j'étais en quête. »

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