Pastiche inspiré du courant littérairele réalisme.

« l’humidité de l’endroit, qui a peine à s’ouvrir.

Si la première odeur était acre la seconde lorsque l’on visite le jardin des dieux, est plutôt d’origine cadavérique, sous plusieurs statues reposent des charognes, de ce que fût de magnifiques animaux peuplant le jardin, de monsieur Pistolet.

Le jardin est recouvert de vieilles plantes séchées et rêches.

Le jardin des dieux est négligé par son propriétaire.

George Pistolet, par son manque de fond avait décidé de laisser tomber certains entretiens et aussi parce qu’il se faisant vieux.

Les reliefs du terrain lui demandaient beaucoup de temps et d’énergie.

Monsieur Pistolet étant lui aussi autant délabré que sont jardin, porte des harnois 5 religieux qu’il avait trouvés dans la mâle de son oncle religieux de métier.

Il arborait une chemise bien trop petite pour lui, ou les boutons semblaient tenir les pans de la chemise avec peine et misère.

Son pantalon quant à lui, laissait voir à plusieurs endroits la peau du vieil homme.

L’homme arborait des traits de sévérité, ses multiples rides semblent aussi crasseuses que de son commerce.

Sa peau semblait faite de pelure d’orange, brunie par endroit et toute crevassée par les méfaits de l’alcool, qu’il a dû ingurgiter.

En effet, George Pistolet est un vieil homme aux convictions non religieuses, bien en chaire.

Comme son jardin Pistolet dégage des odeurs d’humidité et de décomposition, peu importe son humeur, il semble blafard.

Ses mains son crevasser de tout part et ses cheveux sont aussi rêches que ses plantes, composant sont jardin.

Même l’air fétide composant l’air ambiant de son commerce défraîchi remplit d’impureté les poumons du vieil homme déjà épuisé par la vie.

L’homme qu’il est représente en totalité les raisons de l’apparence négligée de son jardin des dieux. 700 mots 55 Synonyme de Vêtements, anciennement.. »