Plan

« Revenant de l’Eldorado, Candide et Martin débarquent en Europe avec beaucoup d’argent et de richesse.

Avant de rejoindre Cunégonde et Cacambo à Venise, Candide décide de faire un détour vers Paris.

Le chapitre XXII est pour Voltaire un moyen de régler quelques comptes personnels et de dénoncer la corruption dans la société parisienne vivant dans le luxe, l’hypocrisie et la recherche de l’appât du gain.

Candide étant malade se fait envahir par des parasites attirés par son argent.

C’est avec une ironie et de l’humour que Voltaire présente les problèmes de son époque avec de la satire et de l’absurdité des situations. Ce chapitre remplit de contraste d’opposition qui ressemble drôlement à une scène de théâtre burlesque.

L’opposition entre les idéaux de Martin et de Candide est un parfait exemple.

D’un côté, on retrouver une pensée plus simpliste basé sur acceptation qui est beaucoup plus mou.

«Candide répondit qu’il n’était point homme à la mode».

(L.30) Le clercs ne sassent point de les importuné lui et Martin.

Candide ne voulant pas choquer évite tous type de vocabulaire qui pourrait être offenseur ou personnel.

Les tournures passives projettent l’ignorance du personnage puisque le clerc est seulement intéresser par sa richesse.

Candide ne peut pas croire que le clerc soit une mauvaise personne.

D’un autre, on retrouve une pensée terre à terre qui est beaucoup plus ferme.

«Martin jura qu’il enterrerait le clercs s’il continuait [...] ».

(L.32).

Par ses propos, il est inévitable que Martin n’a pas passé en quatre chemin pour livrer sa façons de penser.

Il trouve inacceptable le comportement du clerc et le menace de l’enterrer vivant.

À l’opposé de Candie, Martin dégage de l’émotion par ses propos menaçants.

En opposition, Martin comprend la situation absurde alors que Candide est aveuglé et croit que tous est beau.

Il est important de comprendre que Voltaire s’oppose à la réalité de son époque.

Cette réalité ne se retrouve pas seulement dans la pensée, mais aussi dans les organisations.

Par ailleurs, un de ses nombreuses oppositions que Voltaire dénonce sont les institutions de son époque.

Pour ce faire, l’Académie française est dénigre en critiquant la raison d’être de l’académie.

-« [...] [L] ’Académie des sciences de Bordeaux, laquelle proposa pour le sujet du prix de cette année de trouver pourquoi la laine de ce mouton était rouge ; et prix fut adjugé à un savant du Nord, qui démontra par A plus B, moins C, divisé par Z, que le mouton devait être rouge, et mourir de la clavelée ».

(L.5-9) La réalité est que le mouton rouge viens de l’Eldorado et non pas à cause d’une maladie quelconque.

Cette réalité connue du lecteur ridiculise fortement l’académie des sciences.

En plus, le vocabulaire simpliste utilisé démontre le peu de crédibilité des connaissances que l’académie possède sur les sciences.

De plus, les médecins sont attaqués comme étant des parasites attirés et profiteur qui sont attiré uniquement par l’appât du gain.

« Cependant, à force de médecines et de saignées, la maladie de Candide devint sérieuse ».

Les docteurs ne le lâchent pas et prétend pouvoir le soigner, mais son état s’aggrave en fonction qu’on le soigne d’avantage.

À vrai dire, on pourrait penser que les médecins sont vus comme des sangsues avec lors technique de saignement pour guérir tous les maladies du monde. En résumer, Voltaire critique non seulement rang social, mais aussi le peu de conscience qui habite les parisiens.

Ces derniers sont aveuglés par le pouvoir de l’argent.

Tous leurs actions désirs semblent tournés en fonction de l’appât du gain et de profiter des faibles.

De plus, l’optimiste est véritablement dérègler et les explications, n’ayant ni queue ni tête, poussent le lecteur à comprendre que la réalité et la théorie sont deux chose complètement différent.

En plus, Voltaire met l’emphase sur l’inexpérience et l’ignorance de Candide qui lui cause d’innombrables problèmes.

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