POÈMES d’Ennodius (résumé)
Publié le 12/09/2015
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Les Poèmes de Magnus Félix Ennodius (473-521), écrivain gaulois qui vécut surtout en Italie du Nord et devint évêque de Pavie en 513, furent partagés par les commentateurs en deux livres, le premier renfermant les textes les plus longs (entre autres douze Hymnes), le second les épigrammes. La plupart des poèmes du premier livre (à l’exception des Hymnes) sont des pièces de circonstance : on y trouve un épithalame polymétrique pour Maxime, la seule poésie qui soit d’inspiration exclusivement chrétienne. Viennent ensuite trois panégyriques : le premier en 170 hexamètres, avec une préface en prose, dédié à l’évêque Épiphane, sur lequel Ennodius écrivit également une biographie ; le second, également polymétrique et avec une introduction en prose, dédié au poète Faustus,
«
CORRIGÉ SEMI-RÉDIGÉ
Introduction
On constate à la fois, de nos jours, une prolifération
de films et de spectacles comiques,
correspondant à un
renouveau du genre dû notamment au café-théâtre, et
une présence plus
grande de l'angoisse aussi bien dans
nos vies
que dans nos villes.
Ces deux phénomènes sont
ils contradictoires ? Un auteur contemporain, Ionesco,
déclarait
pour sa part dans Notes et contre-notes: « Le
comique
n'est comique que s'il est un peu effrayant.))
Nous essaierons de montrer qu'il n'y a là qu'un para
doxe apparent, que rire et frayeur sont deux mécanismes
qui se
sont toujours répondu l'un l'autre: le rire peut-il
s'affranchir totalement de la peur ?
Première partie : y a-t-il une limite repérable
entre le rire et la peur?
• Les catégories de la critique classique distinguent tra
ditionnellement la comédie -dont le but est de faire
rire
-, de la tragédie -dont le but est de provoquer
l'horreur ou la pitié.
• Cela dit, avant d'interroger la littérature, chacun n'a
t-il pas fait l'expérience dans la vie quotidienne de
situations qui
se prêtent aussi bien au rire qu'à la
frayeur (chutes, maladresses, grimaces ...
)?
• On distingue bien dans l'œuvre de Molière les comé
dies de pur divertissement (Le Médecin malgré luz) des
pièces (dites
« grandes comédies ») qui s'éloignent de la
farce pour presque rejoindre la tragédie comme
Dom
Juan.
En effet, dans cette pièce, la frontière entre le rire
et l'angoisse
se déplace continuellement, aussi bien
dans l'action que dans la psychologie des personnages:.
»
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