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Publier : le rôle de l'éditeur

Publié le 02/01/2020

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Faire connaître l'œuvre : le travail de promotion

L’attaché de presse doit argumenter pour convaincre des qualités de l’ouvrage qu’il défend et obtenir un «papier», sous forme de notes de lecture ou d’article de fond.

1. La promotion « de terrain »

I Le travail de promotion effectué par l'éditeur est capital, car sans cela, même un chef-d’œuvre littéraire peut passer à côté de ses lecteurs.

Un écrivain est suivi par un(e) attaché(e) de presse chargé(e) de contacter les journalistes et critiques littéraires, en leur envoyant des «services de presse» - exemplaires gratuits de l’ouvrage -souvent avant sa sortie, parfois sous forme d’« épreuves», en espérant un article dans la presse ou une interview de l'auteur dans une émission ou un journal.

L’ouvrage lui-même peut être signalé aux lecteurs par un ban-

deau coloré qui montre la photographie de l'auteur ou son nom quand il est déjà connu. La quatrième de couverture est aussi l'occasion de présenter l’œuvre et l’auteur pour donner l’envie de les découvrir.

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FICHES .

III Faire connaître l' œuvre : le travail de promotion 1.

La promotion« de terrain» L'attaché de presse doit argumenter 1 Le travail de promotion effectué par l'éditeur est capital, car sans cela, même un chef-d'œuvre littéraire peut passer à côté de ses lecteurs.

1 Un écrivain est suivi par un( e) attaché( e) de P-resse chargé( e) de contacter les journalistes et critiques littéraires, en leur envoyant des « services de presse » -exemplaires gratuits de l'ouvrage - souvent avant sa sortie, parfois sous forme d'«épreuves», en espérant un article dans la presse ou une interview de l'auteur dans une émission ou un journal.

pour convaincre des qualités de l'ouvrage qu'il défend et obtenir un «papier» , sous forme de notes de lecture ou d'article de fond .

1 L'ouvrage lui-même peut être signalé aux lecteurs par un ban- deau coloré qui montre la photographie de l'auteur ou son nom quand il est déjà connu.

La quatrième de couverture est aussi l'occasion de présenter l'œuvre et l'auteur pour donner l'envie de les découvrir.

1 Le travail de promotion et en quelque sorte de «publicité» de l'attaché de presse se fait aussi auprès des libraires , chargés d'attirer l'attention de leurs clients sur les livres qu'ils défendent.

En effet les libraires reçoivent ce qu'on appelle« l'office», livres envoyés arbitrairement par les éditeurs sans être choi­ sis ni commandés par les libraires.

1 L'éditeur peut aussi promouvoir un livre par des encarts publicitaires dans la presse ou les médias, parfois même sur des panneaux publicitaires dans les lieux de passage.

1 Enfin, les salons du livre, comme celui qui a lieu à Paris chaque mois de mars, sont l'occasion de faire rencontrer auteurs et lecteurs autour d'opéra­ tions de «signatures».

2.

Les prix littéraires 1 Il ne faut pas oublier les prix littéraires, tradition française dit-on à l'étran­ ger, de plus en plus nombreux, dont les plus prestigieux sont remis début novembre : le prix Goncourt, le prix Renaudot, le prix Médicis, le prix Femina, etc.

C'est le cas de 1 Ils permettent à l'auteur d'accéder à la célébrité mais ne sont pas une garantie de ventes plus importantes.

Certains auteurs ont accédé à la renommée sans prix littéraire , sans l'appui des médias ni même d'une grosse maison d'édition.

l'écrivaine Anna Gavalda, fidèle à sa « petite » maison d'édition.

Le Dilettante.

165. »

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