Devoir de Philosophie

Quelle est la fonction de ce passage dans le roman ? En quoi les idées débattues sont-elles représentatives du roman Les Faux-Monnayeurs et de la morale de Gide.

Publié le 26/09/2018

Extrait du document

morale

Edouard, un bon écrivain est celui qui explore des terres inconnues, qui veut aller devant, tout droit. Il oppose cela aux « Faux Monnayeurs », ceux qui se basent sur la mode, de ce qui va plaire sans être capable d'innover. Le passage pourrait être comme une mise en garde contre les écrivains qui soutiennent un engagement. Un écrivain est là pour innover et non pour servir une cause politique, mais la cause de l'humanité.

Edouard représente l'écrivain qui ne doit pas abdiquer sa liberté.

Conclusion

Ainsi, dans cet extrait de Les Faux-Monnayeurs, Gide pose le problème de l'engagement pour tout individu mais aussi pour l'écrivain.
Gide montre la difficulté de l'engagement, et c'est finalement le libre arbitre qui triomphe dans ce texte.

La fonction du passage dans le roman, on est presque au seuil de ce roman, Bernard ne réapparaitra pas et Gide tire la morale des aventures de Bernard, d'Olivier et d'Edouard qui va à l'encontre de la morale : il nous résume sa conception de l'existence en une sentence. Le passage pourrait être mis en écho avec tout le roman tant elle résume bien la morale de Gide.

morale

« Il tourne en dérision.

(L.30 -31) : « honneur national », « dévouement » (L.39) : Bernard quitte la réunion à cause de la tête des adhérents.

Il veut montrer que ceux qui adhèrent à ce genre d'idée sont des imbéciles, peu d'envergure individuelle. « abdiquer », « jugeote » : dépréciatif pour montrer qu'il ne faut pas ressembler à ces gens.

Il ne fait pas que critiquer, et propose une leçon à son lecteur. III- Une leçon de vie et de littérature Le passage apparaît comme un bon résumé de la morale gidienne.

Le passage montre bien ses idées défendues. a- Une leçon de vie Image de Christophe Colomb « avancer droit devant », l'homme doit avoir un idéal.

La réponse est en nous- mêmes.

On ne peut -être sous l'autorité d'autrui. « Tirer le meilleur de soi -même » L.

57-58 Chiasme.

Par le doute de Bernard, Gide répond que l'on est guidé par son instinct. (L.12) « Cette force » = instinct, Il faut suivre cette nature.

Gide nous invite à suivre notre pente, mais la pente ascendante. b- Une leçon de littérature Pour Edouard, un bon écrivain est celui qui explore des terres inconnues, qui veut aller devant, tout droit.

Il oppose cela aux « Faux Monnayeurs », ceux qui se basent sur la mode, de ce qui va plaire sans être capable d'innover.

Le passage pourrait être comme une mise en garde contre les écrivains qui soutiennent un engagement.

Un écrivain est là pour innover et non pour servir une cause politique, mais la cause de l'humanité. Edouard représente l'écrivain qui ne doit pas abdiquer sa liberté. Conclusion Ainsi, dans cet extrait de Les Faux-Monnayeurs, Gide pose le problème de l'engagement pour tout individu mais aussi pour l'écrivain. Gide montre la difficulté de l'engagement, et c'est finalement le libre arbitre qui triomphe dans ce texte. La fonction du passage dans le roman, on est presque au seuil de ce roman, Bernard ne réapparaitra pas et Gide tire la morale des aventures de Bernard, d'Olivier et d'Edouard qui va à l'encontre de la morale : il nous résume sa conception de l'existence en une sentence.

Le passage pourrait être mis en écho avec tout le roman tant elle résume bien la morale de Gide.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles