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Resumés et morales des Fables

Publié le 25/01/2015

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RESUME DES FABLES DE LA FONTAINE 1) Le loup et le chien (p.37) Un loup affamé cherchait à manger. Il croisa un chien de garde aussi puissant que beau qui s'était égaré. Le loup ne pouvait pas l'attaquer à cause de sa force, de sa taille imposante. Le chien lui conseilla de quitter les bois pour avoir une vie meilleure mais le loup remarqua le collier du chien. Il se rendit compte qu'il n'aurait plus de liberté si il écoutait le chien donc il refusa et s'enfuit. Morale: La liberté n'a pas de prix. 2) Le Rat de ville et le Rat des champs (p.38) Un Rat de ville avait invité un Rat des champs dîner. Ils avaient entendu du bruit pendant le repas et durent quitter la table avec précipitation. Le rat de ville proposa de continuer le repas après l'incident mais le rat des champs refusa car il ne voulait pas que cela se reproduise. Il invita le rat de ville à dîner chez lui le lendemain et rentra. Morale: « Fi du plaisir, que la crainte peut corrompre » = « Mieux vaut se passer d'un plaisir que d'en profiter dans la crainte. » En effet, on ne profite pas d'un plaisir altéré par la peur. 3) Le loup et l'agneau (p.41) Un loup qui avait faim rencontra un agneau qui buvait dans une rivière. Il l'accusait de « troubler » l'eau alors que le courant était descendant, il l'accuse ensuite l'agneau d'avoir dit du mal de lui l'an passé. L'agneau se défendait en lui rappelant que c'était faux car il n'était pas né. Le loup se montrait de plus en plus agressif et accusait le frère de l'agneau alors qu'il n'en avait pas. Il voulait trouver une excuse pour manger l'agneau et finit par dire que c'était l'un des siens (chiens,moutons ou bergers) qui avait dit du mal de lui donc il fallait qu'il se venge : il mangea l'agneau. Morale: « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». La Fontaine dénonce la justice à l'époque qui n'est en fait que violence et rapport de force. = semblant de procès, donne raison aux puissants. 4) Le chêne et le roseau (p.45) Le chêne plaignait le roseau à cause de sa petite taille et sa fragilité. Il disait que même un petit oiseau lui semblait très lourd, que le vent lui paraissait puissant, qu'il le faisait plier. Il déclara que la nature était injuste avec lui. Le roseau se défendit en disant que le vent était moins redoutable pour lui. Une tempête arriva et le roseau plia, le vent souffla plus fort et finit par déraciner le chêne alors que le roseau avait tenu bon. Morale: « je plie, et ne romps pas » = «Le plus fort n'est pas toujours vainqueur » (Les plus puissants et forts ne sortent pas toujours les meilleurs). 5) Conseil tenu par les Rats(p.51) Un chat semait la terreur parmi les rats, il n'y avait plus beaucoup de rats et le peu de rats qu'il y avait restaient cachés à cause du chat. Un jour où le chat était absent, ils se réunirent en conseil pour mettre un terme à cela. Ils décidèrent de mettre un collier à grelot au chat pour l'entendre quand il n'était pas loin. Tous les rats étaient d'accord, mais finalement personne n'eut le courage d'agir et la réunion se termina ainsi. Morale: « Ne faut-il que délibérer,La Cour en conseillers foisonne; est-il besoin d'exécuter, L'on ne rencontre plus personne.»= tjrs plus facile à dire qu'à faire 6) Le lion et le moucheron(p.53) Un lion agressa un moucheron en lui disant qu'il n'était rien. Le moucheron attaqua le lion pour lui prouver le contraire : il appela d'autres moucherons qui s'attaquèrent au lion et il finissent par l'achever. En fêtant sa victoire, le moucheron s'est pris dans une toile d'araignée et s'est fait manger. Morale : « Les plus à craindre sont souvent les plus petits;Qu'aux plus grands périls tel a pu se soustraire, Q...

« trouva plus son trésor: un fossoyeur avait remarqué les allers-retours de l'avare et avait deviné qu'il y cachait un trésor.

Un passant avait entendu les cris et les pleurs de l'avare et lui avait demandé pourquoi il était dans cet état.

Il lui expliqua la raison et dit même qu'il ne se servait pas de son trésor.

Le passant lui avait alors demandé pourquoi il était dans cet état si il ne l'utilisait pas et il avait ajouté de mettre une pierre à la place du trésor car elle vaudrait tout autant. Morale :« L'usage fait seulement la possession ». 11)  Le Laboureur et ses enfants (p.99) Avant de mourir, un paysan demanda à ses enfants de labourer son champs car un trésor s 'y trouvait.

Les enfants avaient labourés le champ mais ils n'avaient rien trouvés.

Leur travail leur avait rapporté beaucoup d'argent et c'était cela le vrai trésor dont parlait leur père.

Morale : « Travaillez,prenez de la peine :c'est le fonds qui manque le moins.

» «Mais le père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor ».

= Le trésor est la poursuite d'efforts 12)  Les animaux malades de la peste (p.122) Les animaux étaient malades de la peste.

Le lion, qui est le roi réunit les animaux en conseil.

Il propose de faire sacrifier l' animal qui avait commis le plus grave pêché dans le but qu'il y ait peut être une guérison commune.

Le lion commence à confier ses pêchés : il dit qu'il est très glouton et qu'il a déjà mangé des moutons et même des bergers.

Le renard parle et défend le roi : il fait un éloge.

Pour finir, l'âne confie qu'il a mangé de l'herbe dans un champ alors que cela était interdit, et après cette confession ; tous les animaux demandent le sacrifice de l'âne. Morale : « Selon que serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront noir ou blanc.

» 13)  Le héron, La fille  (p.125)  (2 PARTIES) a) Le héron : Un héron alla jusqu 'à une rivière pour manger.

Il commença par voir des gros poissons (carpe,brochet) mais ne mange a pas car il estim ait qu'il n'a vait pas encore assez faim.

Quand il eût assez faim, il ne trouva que des petits poissons et estima que ce n'était pas digne de lui, il se plaignait.

Il eût très faim et ne trouva plus aucun poisson ; il décida finalement de manger un limaçon. b) La fille : Une fille voulait trouver un mari parfait.

Elle rencontra d'abord les hommes de bonnes familles mais aucun n'était parfait à son goût.

Elle rencontra ensuite les hommes plutôt pauvres et n'en choisit aucun, elle se moquait d'eux.

La fille n'avait trouvé aucun amant et les années passaient.

Elle vieillissait et commençait à se dire qu'il lui fallait vite un mari : elle finit par choisir un malotru (personnage quelconque et disgracieux).

Morale : « Ne soyons pas si difficiles : les plus accommodants, ce sont les plus habiles : on hasarde de perdre en voulant trop gagner.

Gardez-vous de rien dédaigner, surtout quand vous avez à peu près votre compte.

» 1 4)  Les deux coqs (p.132) Deux coqs se battent pour une poule.

Le vainqueur chante sa victoire partout et, le vaincu reste caché dans son coin.

Pendant que le vainqueur se vante de sa victoire ; il se faire prendre par un vautour et disparaît.

Le coq qui était vaincu retourne auprès de la poule et obtient les faveurs de toutes les autres poules. Morale : « La fortune se plaît à faire de ses coups.

Tout vainqueur insolent à sa perte travaille.

Défions-nous du sort, et prenons garde à nous, Après le gain d'une bataille.

» 15)  Le chat, la belette, et le petit lapin (p.133) Une belette s'introduit chez Jean Lapin pendant qu'il est absent.

Quand il revient, il trouve la belette et veut qu'elle parte.

Elle lui dit que la terre est au premier occupant, elle veut savoir quelle est la loi qui l'interdit d'habiter ici.

Le lapin répond que c'est une coutume, une transmission de père en fils.Ils se disputent pour l'occupation, la belette voudrais que la nouvelle loi soit « le premier occupant ».

Ils vont voir le chat et le demande pour juge.

Le chat, rusé leur dit d'approcher pour mieux entendre et les dévore tous les deux. Morale : « Il faut se méfier des apparences et des puissants profiteurs ».

La dispute entre le lapin et la belette rappelle les conflits entre « petits seigneurs » qui font appel au roi (ici le chat) pour régler leurs problèmes.

Le chat,rusé, profite de la naïveté de la belette et du lapin pour satisfaire ses propres intérêts.

16)  Le Savetier et le Financier (p.137) Un savetier chantait du matin au soir.

Il était pauvre mais c'était un homme très joyeux.

Son voisin, un financier, au contraire ; était un homme très riche mais pas du tout joyeux.

Le financier ne dormait pas beaucoup et encore moins quand il entendait le Savetier chanter.

Il fit venir le savetier chez lui et lui demanda combien d'argent gagnait-il par ans.

Le savetier expliqua qu'il n'était pas très riche et le financier lui donna une grosse somme d'argent.

Le Savetier rentra chez lui pour enterrer l'argent dans sa cave.

Il avait arrêté de chanter, ne dormait plus et vivait dans la crainte.

Cela était insupportable : il retourna chez le financier et lui demanda qu'il lui rende sa joie, son sommeil et son chant puis il lui rendit son argent. Morale : « Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme, Et reprenez vos cent écus.

»= « L'argent ne fait pas le bonheur ».

17)  Les obs èques de la lionne (p.145) La lionne (reine), femme du lion (roi) est morte.

Le lion prépare ses obsèques et veut que tout le royaume soit présent.

Le peuple ne pense qu'à plaire au roi, ils agissent tous pareil.

Un cerf ne pleurait pas, il était même heureux de voir la lionne morte car elle avait autrefois tué son fils et sa femme.

Un flatteur accusa même le cerf. »

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