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Slam

Publié le 22/10/2014

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Putain d'école J'ai 17 ans, je suis assis sur mon bureau et j'écris ce slam Et si j'ai choisi ce sujet c'est parce qu'on ne contrarie pas son âme Je suis là pour vous parler de ce qu'on appele l'école Cet endroit ou on rencontre amis, ennemis, mais aussi pots de colle Cet endroit qui mêle la mélodie des beaux souvenirs, de l'enfance Et la tragédie des douleurs, tristesses et des souffrances Je vais pas vous mentir, je ne suis pas là pour faire des compliments Ca serait trop simple et puis je ne veux pas être un con qui ment Si je rends hommage a ce lieu, c'est parce que c'est là Ou j'ai fais la meilleure de mes rencontres On l'a tous connu, on l'a tous vu et on est jamais contre Je vous parle de ce sentiment familier qu'est l'amitié Celui ou on agit librement sans avoir peur de faire pitié Mais le problème de l'école c'est que ce n'est pas une bonne école de la vie On m'a pas appris dans les sciences de la vie Comment réagir quand on aime C'est dommage,...

« Je suis entré dans cette école je ne savais même pas ce que c’était On m’a même pas demandé mon avis mais j’ai du commencer, et c’était l’été Je ne dis pas que je regrette ou que je veux quitter Mais y’en a d’autres qui en ont besoin, je vous dis ca histoire d’équité Parce que y’en a qui pour aller à l’école doivent se taper 10 km Dieu merci moi j’ai de la chance, je ne fais que 15 km A cause de l’école, j’ai du quitter le meilleur des colocataires Je peux même plus lui envoyer des sms, je dois me taire Je vous parle de cet ami commun qu’est la vie sociale Et à cause des études, j’ai emménagé chez réseau social Vous moquez pas de moi parce que vous faites pas mieux Et qu’à part deux, trois petits plans vous n’avez pas touché les cieux Vous êtes privé de cette liberté que vous aurez aimé qu’on vous livre Mais au lieu de ca vous êtes coincés entre bouquins et livres Et je vous comprends, on appele ca l’envie de vivre Vivre les souvernis que vous conterez à vos mômes comme des délires de jeunesse Ces souvenirs ou vous voudrez montrer qu’à votre époque vous n’avez pas connu la tristesse Et vous mentirez en disant qu’à notre époque personne ne connaissait l’ivresse Mais la vérité, si je ne loue pas l’école c’est que je suis un grand mytho Cet endroit qu’on quitte malheureusement trop tôt Ou j’ai appris qu’il est plus facile de découvrir un cancer que l’amour Et que si tu l’es pas encore, ca viendra avec les jours Moi j’ai été touché par la flèche de Cupidon j’en suis sure Mais le problème c’est qu’elle elle n’a pas de blessure J’ai peur que la flèche ne l’ai que juste effleuré Et que toute cette histoire n’est qu’un mirage Et qu’à la fin j’aurais envie de pleurer Après cette sensation faite de déception et de rage C’est déjà la fin, en français on appelle ça la conclusion Je dois le faire même si je suis plus à l’aise avec la physique et les ions J’aimerais bien parler plus parce que j’ai oublié Plusieurs choses qu’on apprend grâce à nos polycopiés Je vous laisse sur ce vers qui vaut la peine d’être écrit J’ai pas tout dit, mais vous inquiétez pas, j’écris. »

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