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Structure Milan Kundera L'immortalité

Publié le 26/04/2013

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Structure Kundera Le roman selon Kundera : Le roman n'examine pas la réalité mais l'existence. Pour Kundera, il faut que le lecteur se rappelle du commencement de l'histoire sinon le roman devient informe. => début avec Agnès et la piscine est une image qui va rester au lecteur tout le long du récit jusqu'à la dernière page. Pour lui, le roman est une manière de saisir la complexité de l'existence dans le monde moderne. Ellipse est une nécessité-> exige d'aller au coeurs des choses => lien avec la musique. Kundera s'inspire de la musique dans ses romans. Effectivement la littérature et la musique ont un lien étroit : (thème, développement, variations, transitions, etc.) Roman lui aussi est encombré par la technique, par les conventions qui travaillent à la place de l'auteur (exposer un personnage, décrire un milieu, introduire l'action dans une situation historique, remplir le temps de vie des personnages avec des épisodes inutiles, chaque changement de décor exige de nouvelles expositions, descriptions, explications. Et comme Janacek pour la musique, ce compositeur dont il s'inspire énormément, il veut débarrasser le roman de l'automatisme de la technique romanesque et le rendre plus dense. Construction des romans de Kundera en général: Construction sur 2 niveaux : 1er niveau : composition de l'histoire romanesque 2ème niveau : développement des thèmes. Thèmes sont travaillés sont interruption dans et par l'histoire romanesque. Pour K. si un roman abandonne ses thèmes et se contente de raconter l'histoire, il devient plat. Cela n'empêche pas un thème d'être développé seul en dehors de l'histoire. Exemple : Son geste a alors éveillé en moi une immense, une incompréhensible nostalgie, et cette nostalgie a accouché du personnage auquel j'ai donné le nom d'Agnès. Mais l'homme ne se définit-il pas, et un personnage de roman plus encore, comme un être unique et inimitable ? (...) Si notre planète a vu passer près de quatre-vingts milliards d'humains, il est improbable que chacun d'eux ait eu son propre répertoire de gestes. « Ici, il abandonne complétement l'histoire pour ne s'intéresser uniquement au thème du geste. C'est un roman très atypique. Dès l'ouverture, l'auteur-narrateur prend la parole. Il attend son ami, le professeur Avenarius, et, pour tromper le temps, observe par la fenêtre une femme qui prend des leçons de natation. À la fin du cours, lorsqu'elle prend congé du maître-nageur, elle se retourne et fait à ce dernier un geste de la main, leste, élégant, empreint d'une jeunesse insoupçonnée. À partir de ce geste, l'auteur s'amuse à inventer une vie à cette femme qu'il ne connaît pas. Poursuivant ses délires, encouragé par les conversations qu'il a avec son ami professeur, il développe sans cesse ces vies fictives qu'il se plaît &agra...
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« de 417 imprimeurs en 1500.

En 1476, une grammaire grecque est imprimée entièrement en caractères grecs à Milan, et une Bible hébraïque est imprimée à Soncino en 1488.

Également en 1476, l'imprimerie est introduite en Angleterre par William Caxton, tandis qu'en 1539 Juan Pablos installe une presse dans la ville de Mexico, apportant par là même l'imprimerie au Nouveau Monde. Les imprimeurs du nord de l'Europe produisent principalement des livres religieux, des bibles, des psautiers et des missels.

Les imprimeurs italiens impriment, quant à eux, surtout des livres profanes, des classiques grecs et latins, des récits d'écrivains italiens et des travaux scientifiques de savants de la Renaissance.

Un premier usage important de l'imprimerie est la réalisation des pamphlets qui, lors des controverses religieuses et politiques des XVI e et XVII e siècles, sont largement diffusés.

La réalisation de ces pamphlets donne un travail considérable aux imprimeurs de cette époque. Avec la technique de l'impression, les artistes gravent leurs dessins dans du bois ou du métal, ce qui permet aux imprimeurs de la Renaissance de reproduire aussi bien des images que du texte sur leurs presses.

Parmi les plus remarquables artistes de la Renaissance à avoir illustré des livres, il faut citer l'Italien Andrea Mantegna et les Allemands Albrecht Dürer et Hans Holbein le Jeune qui, par la reproduction massive de leurs œuvres, ont influencé le développement de l'art de la Renaissance. 5 PRESSES TYPOGRAPHIQUES La machine utilisée pour transférer de l'encre d'une plaque (ou forme) d'impression sur une feuille est appelée une presse.

Les premières presses typographiques en bois, comme celles du XVI e siècle, fonctionnent avec un système de vis de serrage conçu pour exercer une pression sur la forme d'impression, placée face vers le haut sur un plateau horizontal, le marbre.

Le papier, généralement humecté, est appuyé contre les caractères par une surface mobile, appelée platine.

Les parties supérieures des montants de la presse sont généralement bloquées contre le plafond de sa cavité.

Après l'encrage de la forme, la platine est vissée vers le bas, jusqu'à ce qu'elle touche la forme.

La presse est équipée de rails grâce auxquels la forme peut sortir de la presse puis revenir sur le marbre, sans qu'il soit nécessaire de relever la platine très haut.

L'opération est cependant longue et fastidieuse, et une telle presse ne peut produire qu'environ 250 impressions par heure, et sur une seule face à la fois. Au XVII e siècle, des ressorts sont ajoutés à la presse pour permettre de relever la platine plus rapidement.

Les presses en acier sont introduites vers 1800, et à la même époque, des leviers sont substitués aux vis qui descendent la platine sur le marbre.

Les leviers sont par nécessité plutôt complexes.

Le déplacement de la barre de levier se déroule en deux phases : la première fait baisser la platine sur la majeure partie de la course, tandis que la seconde déplace la platine sur la fin de la course, tout en appliquant une forte pression.

Bien que les meilleures presses manuelles de cette époque ne réalisent que 300 impressions à l'heure, elles permettent d'utiliser des formes beaucoup plus grandes que ne peuvent le faire les presses en bois.

Par conséquent, l'opérateur de la presse fabrique beaucoup plus de pages à chaque impression.

L'impression du livre produit des formats in-folio, in-quarto, in-octavo (nommés ainsi selon le nombre de pliages de la feuille), ainsi que des pages multiples encore plus grandes. Jusqu'au XIX e siècle, de nombreux et magnifiques œils de caractères sont créés et le travail de presse est perfectionné.

Vers 1800, les progrès commencent à se concentrer sur l'augmentation de la vitesse de l'impression.

Charles Stanhope fabrique, en 1800, la première presse typographique entièrement en acier.

Balzac l'évoque dans les Illusions perdues (1837-1843) en opposant un vieil imprimeur typographe de province à son fils, formé aux ateliers Didot à Paris : « Tu vas voir si vos inventions de méchante serrurerie manœuvrent comme ces bons vieux outils éprouvés » déclame le père, car, comme l'écrit Balzac en tête du roman : « À l'époque où commence cette histoire, la presse de Stanhope et les rouleaux à distribuer l'encre ne fonctionnaient pas encore dans les petites imprimeries de province […].

L'imprimerie arriérée y employait encore ses balles en cuir frottées d'encre, avec lesquelles l'un des pressiers tamponnait les caractères.

Le plateau mobile où se place la forme pleine de lettres sur laquelle s'appliquait la feuille de papier était encore en pierre et justifiait son nom de marbre.

Les dévorantes presses mécaniques ont aujourd'hui […] bien fait oublier ce mécanisme.

» En 1803, à Londres, les frères Henry et Sealy Fourdrinier installent leur première machine de fabrication de papier.

Ils fabriquent un rouleau continu de papier et répondent alors à une demande grandissant sans cesse.

Enfin, en 1814, la presse typographique à vapeur est inventée par Friedrich König, ce qui révolutionne toute l'industrie de l'impression et rend obsolète la presse à bras traditionnelle.

Les éditions massives, ainsi devenues possibles, sont encore améliorées en 1829 par l'utilisation de clichés, grâce auxquels on peut dupliquer les plaques d'impression contenant les caractères. Le XIX e siècle connaît donc une véritable révolution typographique, qui favorise l'impression de masse.

La presse à vapeur, la presse à rouleau, utilisant un rouleau en rotation pour appuyer le papier contre une forme d'impression plane, la presse rotative dans laquelle le papier et une plaque d'impression arrondie sont supportés par des cylindres et la presse en retiration, qui imprime sur les deux côtés d'une feuille de papier simultanément, ont un impact considérable.

Les journaux quotidiens à fort tirage ont besoin d'un grand nombre de ces presses alignées côte à côte et imprimant des feuilles identiques simultanément.

En 1863, l'inventeur américain William A.

Bullock dépose un brevet pour la première presse à journaux alimentée par rouleaux de papier et non par feuilles.

En 1871, l'imprimeur américain Richard March Hoe perfectionne la presse à rouleau continue.

Sa machine produit 18 000 journaux à l'heure. En 1886, les équipements de composition sont encore perfectionnés de telle façon que l'assemblage d'un texte ne prend plus qu'une fraction du temps nécessaire à sa préparation manuelle.

Finalement, la photographie contribue au développement des procédés photomécaniques modernes. 6 PHOTOCOMPOSITION Dans les années cinquante, les premières machines de photocomposition font leur apparition.

Elles fabriquent des images photographiques des caractères au lieu de les mouler dans le métal.

Ces images sont photographiées avec une caméra pour produire des négatifs de film qui sont alors utilisés pour constituer des plaques lithographiques.

Des améliorations de la technologie des plaques dans les années cinquante et soixante, combinées à la photocomposition, marquent la fin du règne cinq fois centenaire de la typographie.

La composition typographique par procédé au métal chaud disparaît quasiment, mais les procédés d'impression en relief sont encore largement utilisés.

De nos jours, la plupart des plaques d'imprimerie en relief sont faites directement par des appareils photomécaniques. Les ordinateurs utilisés aujourd'hui dans les bureaux peuvent générer des images pour l'imprimerie, ce qui réduit le temps et les dépenses nécessaires pour produire des surfaces d'impression pour tous les principaux procédés.

Les ordinateurs sont maintenant utilisés couramment pour créer des œuvres d'art, définir des caractères, scanner et retoucher des photographies, puis réunir tous ces éléments sur un simple morceau de film ou directement sur une plaque d'impression. Pour les techniques contemporaines, on se référera avec profit aux articles : techniques d'impression ; composition typographique ; matériel de composition ; photogravure.

Pour un aperçu des techniques, consulter xérographie ; lithographie ; caractères.

Pour une recherche plus générale, se référer aux articles livre ; journaux ; arts graphiques ; techniques d'écriture. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation.

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