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Tartuffe

Publié le 11/02/2013

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I. L'auteur L'auteur, Jean-Baptiste Poquelin est un auteur du XVIIème siècle (1622-1673) réputé aujourd'hui pour ses pièces de théâtre, et plus particulièrement pour ces comédies. Après avoir fait des études de droit, il fonde la compagnie l'Illustre-Théâtre et prend le nom de Molière. C'est avec cette troupe qu'il fit ses débuts dans le théâtre en tant qu'écrivain metteur en scène, et acteur. Il entreprend une tournée de plusieurs années en province, notamment dans le sud de la France. C'est aussi à cette période que Molière rencontre des personnages avec qui il entretiendra des relations notamment frère du roi ; cela lui permet alors de jouer à Paris en 1658 devant le s...

« que l'on va arrêter sur ordre du roi.

On assiste alors à la victoire inespérée et inattendue d'Orgon l'homme de bien sur le personnage hypocrite de Tartuffe, comme Molière l'annonçait dès sa préface.

Et selon le modèle traditionnel de la comédie, « Le Tartuffe ou l'Imposteur » s'achève sur une fin heureuse notamment le mariage entre Valère et Marianne. Axe 2 : L'éloge au roi Par ailleurs, cette ultime scène est un véritable hommage au roi Louis XVI, le roi Soleil.

Celui-ci est déjà largement invoqué, indirectement grâce à l'emploi de termes tels que "aveuglement" v.

1914, "briller" v.

1914, et "vive clarté" v.

1919 qui font allusion au soleil et donc à Louis XIV : le Roi soleil. Cette ultime scène présente donc de nombreuses métaphores de la lumière qui met en valeur le rayonnement du Roi qui incarne la vérité, l'ordre et la justice.

Cette justice viens mettre fin aux agissements des imposteurs tels que Tartuffe. Puis Molière, organise un véritable hommage, un éloge au roi.

La perfection du roi est valorisé par la mise en relief de la noirceur du roi.

Il lui attribue plusieurs qualités distinctes : - c'est un homme qui n'est pas dupe (« un prince dont les yeux se font jour dans les c½urs », « et que ne peut tromper tout l'art des imposteurs ») - Il est intelligent (« d'un fin discernement sa grande âme est pourvue, sur les choses toujours jette une droite vue »).

C'est donc un homme qui fonctionne non pas à l'affectif mais à l'intellectuel - Ensuite il est droit et juste (« prince ennemi de la fraude », « l'équité suprême ») - Il est mesuré (« sage » l.16, c'est un « grande âme ») - Enfin il est reconnaissant car « il donne aux gens de bien une gloire immortelle ». Nous avons donc là un dénouement heureux qui met en valeur la personne du roi.. »

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