Thérèse Desqueyroux De François Mauriac

« d'importance de leur relation .

Lorsqu'Anne qui a le "calibre 24 qui ne repousse pas "(l.20) visa "le soleil comme pour l'eteindre" , cela fait encore référence à leur amitié avec "le soleil" comme symbolique de leur relation . Thérése est symbolisée par l'oiseau que blesse Anne .

Cette dernière "l'étouffait précautionneusement " faisant référence à l'étouffement de thérese.

.Mais avec la phrase "le serrait d'une main précautionneuse", "le" faisant référence à Thérese , Anne nous montre qu'elle peut se montrer "gentil" même dans la mort en opposition avec son "impatience " de tuer les alouettes . Argelouse est représenté comme "le pays de la soif "(l.1) ,"pas le moindre filet d'eau"(l.3) ,"il faut marcher longtemps dans le sable avant d'atteindre les sources du ruisseau"(l.3-5) ,Il y a aussi le champ lexical de la nature "filet d'eau"(l.3), "le sable"(l.4), "les sources"(l.4) "ruisseau"(l.4),"prairies"(l.6),"racines"(l.6),"eau glacée"(l.7) .Tout cela nous  montre , qu'Argelouse est un lieu inhospitalié et isolé du monde qui l'entoure .On note aussi la présence d'une opposition entre "eau glacée" et la chaleur du sable traduisant une opposition de caractère entre Thérése et Anne.

Il ya aussi la présence d'un lexique assez sombre "crèvent"(l.5),"bas-fond"(l.5),"obscur"(l.11), "insensibles"(l.7),"tuer"(l.17),apportant  une atmosphére lugubre et lourde   , nous plongeant violemment dans l'univers du texte .  Dés la premiere phrase, l'atmosphére lugubre est présente avec " le pays de la soif " puis avec "accueillait comme naguére le salon obscur " , nous plongeant dans un univers sombre et isolé   , dans l'univers voulu et créé par l'auteur   .

Il y a aussi la présence d'une atmosphère lourde avec "aucune parole "(l.11) , "les minutes fuyaient"(l.11-12) Il y a aussi une opposition entre "innocentes" et "fuyaient" créant une impression étrangement lourde, pesant .

"Un cri ivre"(l.23) ,faisant référence au coup de carabine , interrompant   le silence pesant de la partie de chasse nous plongeant dans une ambiance sordide créé aussi par "les jeunes filles songeassent plus à bouger que ne bouge le chasseur lorsqu'à l'approche d'un vol, il fait le signe du silence "(l.13-15).. »