Voltaire et Candide : léger mais consistant

« dérisoire les pouvoirs de Dieux (dans Candide par exemple) et se pause cette question qu'il laisse sans réponse : « Pourquoi existe-t-il tant de mal, tout étant formépar un Dieu que tous les théistes se sont accordés à nommer bon ? ».

De plus, Voltaire a une morale humaniste.

En effet, plusieurs de ses œuvres sont un combatcontre le fanatisme et l'intolérance.

Pour finir, la dernière visée éthique de Voltaire est la justice.

En effet, Voltaire s'est passionné pour plusieurs affaires et s'estdémené afin que justice soit rendue, L'affaire Calas en 1762, celle de Sirven en 1764, celle du chevalier de La Barra en 1766 puis l'affaire Lally-Tollendal en 1776. B) L'idéal voltairien D'après Voltaire, certains principes demeurent fermes et constituent la base d'un nouvel édifice.

Il a tout d'abord un idéal politique.

En effet, il condamne l'arbitraire.Pour lui le monarque doit céder sa conduite aux exigences de la raison.

C'est à dire qu'il ne doit pas faire ce que bon lui semble mais faire ce qui est bon pour lepeuple.

Ensuite il a un idéal religieux.

Il condamne clairement les religions établies.

Pour lui la raison prouve l'existence d'un Dieu qui est la seule explication possibledu monde.

C'est un Dieux architecte et ouvrier qui peut se révéler comme un Dieu justicier, rémunérateur et vengeur.

Pour finir, Voltaire a un idéal moral, ilcondamne les théories métaphysiques, il dispute sur la nature de l'âme, sur l'existence du mal, sur la destinée de l'homme.

Il n'est pas pessimiste il veux justeenseigner la sagesse pratique.

Pour lui l'homme doit construire son propre bonheur et aider son prochain à être heureux.

Pour lui la plus belle vertu est la bienfaisanceainsi que le travail, d'ou la maxime : « il faut cultiver son jardin » dans Candide.. »