Grand oral du bac : La pédiatrie
Publié le 13/11/2018
Extrait du document
Le nouveau-né
Le passage du monde protecteur intra-utérin au monde extra-utérin est brutal : quelques secondes après sa naissance, le nouveau-né commence à respirer ;
ce déclenchement se fait après une compression de la cage thoracique, une privation d'oxygène due à la section du cordon ombilical et un changement soudain de température entre l'utérus et l'air ambiant. Il pousse son premier cri quelques secondes après sa naissance et se met à respirer tout seul. Son oxygénation se fait désormais par les poumons, la circulation sanguine se modifie pour devenir définitive avec la différenciation entre les parties droite et gauche du cœur. À ces adaptations respiratoire et circulatoire s'ajoutent une adaptation rénale, une thermorégulation et une glycorégulation car la nutrition transplacentaire s'interrompt brusquement à la naissance. Ainsi, dès ces premiers instants (à 1 et 10 minutes de vie), cinq facteurs sont étudiés avec attention en salle d'accouchement :
LA CAUSE DE L'ENFANT
Le pédiatrie est la spécialité de la médecine qui s'attache à la santé de l'enfant et ce, à tous les stades de son développement de la naissance à la fin de la croissance. Sa spécificité est qu’elle s'adresse, contrairement à la médecine pour adultes, à un organisme en développement et en transformation permanente. De la naissance à l'adolescence, âge où l'enfant atteint sa maturité sexuelle, où la croissance est achevée, les consultations du pédiatre permettent de prévenir, et de guérir, des troubles tant physiologiques que psychologiques. De fait si la pédiatrie est une discipline à part entière relativement récente (XIXe siècle), la pédopsychiatrie n'a été développée que plus tardivement encore ; elle s'intéresse aux troubles divers de l’enfant (bégaiement troubles du sommeil, troubles de la latéralisation, anorexie, troubles du langage ou du comportement, énurésie, mais aussi psychoses, autisme ou schizophrénie).
Le premier Congrès international de pédopsychiatrie s'est en effet tenu à Paris en 1937 ; il illustre le souci croissant de considérer l'enfant comme un individu à part entière. L'enfance est une période de développements et de mutations de tout ordre ; le rôle du pédiatre est d'accompagner l'enfant dans ses évolutions et ses développements, et ce jusqu'à son autonomie.
La consultation du gynécologue pour la jeune fille marque ainsi la fin du rôle du pédiatre et l'entrée dans la vie adulte de l'individu.
LA NAISSANCE DE LA PÉDIATRIE
Certaines pathologies typiquement enfantines avaient été détectées bien auparavant. L'enfant était soigné dans les civilisations les plus anciennes, comme en témoigne la description de différentes maladies dès le IIIe siècle av. J.-C. par des médecins chinois.
Au xie siècle ap. J.-C., Jien Yin étudia la varicelle, la rougeole, la scarlatine et la variole. Si dans l'Antiquité grecque et romaine, l’enfant ne faisait pas l'objet d'une attention particulière, Hippocrate divisait déjà les premiers moments de la vie en plusieurs périodes. L'un de ses traités aborde par ailleurs la question des manifestations pathologiques chez l'enfant. Au IIe siècle après J.-C., Soranus d'Ephèse y a consacré plusieurs textes qui seront repris, et parfois critiqués, par Galien. Parmi les autres traditions, il faut aussi mentionner, dans la lignée mais aussi en rupture avec la pensée grecque, la médecine arabo-persane incarnée en particulier par Rhazès (ixe-xe siècle ap. J.-C.) et Avicenne (xe -xie siècles), dont les écrits abordent également les maladies infantiles. Exerçant à l'hôpital de Bagdad, Rhazès est l'auteur de textes fondamentaux dont un Traité sur la variole et la rougeole, le plus connu et le plus célèbre en Europe au xixe siècle. Mais en Occident, il faut attendre la Renaissance
pour que paraissent les premiers traités précurseurs de ce qui n'est pas encore la pédiatrie.
Ce terme ne sera effectivement forgé qu'en 1722 sous la plume du médecin suisse Theodor Zwinger. Parmi ces précurseurs figurent Paulus Bagellardus, professeur de médecine à Padoue (un des hauts lieux de la pédiatrie italienne encore aujourd'hui) en 1472 et l'Allemand Bartholomaeus Metlinger en 1473. Au siècle suivant paraît en Angleterre le Livre des enfants de Thomas Phaer, le père de la pédiatrie anglaise. Au xviie siècle, alors que l'abandon d'enfants devient une pratique de plus en plus courante -un sort que tenta de soulager Saint Vincent de Paul avec ses premières confréries de charité (1618), d'autres écrits paraissent en particulier De morbis acutis infantum de Walter
Harris (1689). Mais il faut attendre le siècle des Lumières pour que la discipline suscite réellement de l'intérêt. Elle reste d'ailleurs dépendante de la médecine générale jusqu'au xixe siècle. Le médecin suédois Niels von Rosenstein a contribué à la naissance de la pédiatrie comme discipline spécifique et l'Anglais George Armstrong, auteur d'un Essai sur les maladies les plus fatales aux enfants (1767), est à l'origine du premier hôpital pédiatrique en Angleterre.
Il est d'ailleurs intéressant de constater que la représentation picturale du corps des enfants évolue à cette même période. Auparavant les enfants ressemblent davantage à des hommes miniatures qu'à des bébés ; les proportions (longueur des jambes, du tronc) ne correspondent pas à la réalité et à la spécificité du corps du jeune enfant. Avec les grandes découvertes de la biologie, de la médecine et de l'hygiène, la pratique pédiatrique a évolué profondément au xixe siècle ; la néonatalogie a quant à elle fait son apparition. Parmi les grands pédiatres français du xixe siècle, on peut citer Charles-Michel Billard et Ernest Bouchut, à qui l'on doit notamment une étude sur les causes de la mortalité infantile. Cette forte mortalité a en effet eu un impact certain sur l'évolution des mentalités
«
Si
la fréquence et la gravité
des pathologies les plus aiguës
diminuent dans les pays les plus riches,
il faut cependant rappeler que
ces derniers ne sont pas à l'abri
de l'émergence de maladies chroniques
et de la persistance d'infections facilitée
par les phénomènes de résistance
aux antibiotiques.
Enfin, les leucémies
et les tumeurs restent une préoccupation
majeure malgré les progrès accomplis
ces dernières années.
Les maladies
carentielles (anémies, rachitisme,
hypovitaminose) ont presque disparu
des sociétés industrialisées étant donné
l'élévation du niveau de vie et
l'amélioration de l'hygiène.
Cependan�
on les retrouve encore dans les pays
les plus développés au sein des couches
de la population les plus défavorisées
mais surtout dans les pays les plus
pauvres.
!:ADOLESCENT
Période de fragilité surtout
psychologique, l'adolescence s'étend
environ de 12 à 16 ans.
Du point de vue
somatique, elle est caractérisée par la
maturation sexuelle, intellectuelle,
psychosociale et débouche sur l'âge
adulte.
On y observe un
développement du poids, de la taille, et
enfin des caractères sexuels primaires
et secondaires.
IMWatwl • A côté de la «pédiatrie génrrale »,
il existe, comme
pour la médecine
générale, un
ensemble très
diversifié de ..._,..._.
_ __.u
spécial�és : on peut
mentionner la cardiologie pédiatrique,
l'hématologie et l'Immunologie
pédiatrique,l'oncologie (étude des
tumeurs cancéreuses) pédiatrique, la
néphrologie (étude du rein)
pédiatrique, la neurologie pédiatrique,
la pneumologie pédiatrique,la génétique
pédiatrique, la pédopsychiatrie, ou
encore la pédiatrie tropicale.
Certaines
d'entre elles sont au croisement de
plusieurs disciplines et font appel à de
nombreux spécialistes et personnels.
Par exemple, l'hémato-oncologie
pédiatrique, une spécialité récente qui
traite les enfants atteints de leucémie, a
fait ses preuves puisque aujourd'hui,
entre 70 % et 80% des leucémies
aiguës lymphoblastiques (des cellules)
guérissent contre 30 %
au début des années 1970.
• La médecine néonatale et périnatale
est l'une des
spécialités les
plus connues
car elle
concerne
directement les
nouveau-nés et
les nourrissons.
Elle s'est
essentiellement développée dans
les sociétés les plus riches tandis
que dans les pays en développement.
la priorité reste encore la lutte contre
les maladies infectieuses les plus
graves.
En France, 90 % des naissances
se déroulent sans problème.
Pour
autant, 2% des enfants naissent en
situation de détresse vitale (selon un
rapport de l'INSERM, 2000} et doivent être
hospitalisés dans des services de
réanimation néonatale.
Ces situations
- défaillances d'organes ou de
fonctions vitales -peuvent être liées à
la grande maturité ou survenir chez des
enfants nés à terme.
Les chances de
survie sont variables, mais certaines
lésions cérébrales sévères laisseront
des séquelles neurologiques nécessitant
des soins lourds à vie.
La médecine
néonatale est donc essentielle dans la
prévention de ces risques.
La néonatalogie s'est imposée
progressivement à partir de la fin du
Xix' siècle en même temps que les
politiques natalistes.
Ce facteur social
a été primordial dans le développement
de la spécialité.
Mais ce sont aussi
les progrès techniques qui ont permis
son émergence et son
développemen�
depuis l'invention
de la couveuse
artificielle, de
l'échographie
jusqu'aux expérimentations
les plus récentes
en thérapie génique.
Le rôle des pédiatres spécialisés en
maternité est fondamental.
Aujourd'hui
le pédiatre néonatalogiste intervient
dès la période fœtale, depuis
l'avènement des techniques de
diagnostic anténatal.
Dès avant la naissance donc, le pédiatre
participe avec les obstétriciens et les
généticiens au dépistage et au conseil
génétique, ainsi qu'à la surveillance des
grossesses à risque.
La prise en charge
des nouveau-nés en détresse vitale
et des grossesses pathologiques,
tant sur un plan médical, social que
psychologique, est assurée par
des services hospitaliers spécialisés
ou des centres de néonatalogie tels
que l'Institut de puériculture de Paris,
fondé en 1919.
·La médecine de l'adolescence tient
une place particulière depuis quelques
années.
!:entrée dans la période de la
puberté est en effet un moment délicat
et certains pédiatres s'y sont
spécifiquement intéressés.
Des anomalies de
croissance peuvent être
observées, de
comportement alimentaire,
liés à des
problèmes
psychologiques
(anorexie et boulimie).
Des
transformations physiques et
psychologiques radicales s'opèrent à cet
âge, l'aptitude à procréer apparaî�
l'adolescent découvre la sexualité ; son
humeur est changeante, sa socialisation
évolue, et une certaine anxiété générale
est alors observée.
Des crises d'angoisse, des dépressions,
voire des tentatives de suicide peuvent
apparaître.
La deuxième cause de
mortalité chez les adolescents (après
les accidents de la route) est en effet le
suicide (près d'un millier de décès par
an entre 15 et 19 ans) et l'on estime
que 20 % des adolescents présentent
des signes dépressifs tandis que la
moitié des plaintes somatiques révèle
un mal d'ordre psychique.
Des services
ou unités dédiés aux adolescents existent
d'ores et déjà (à Paris, on peut
citer les hôpitaux du Kremlin-Bicêtre,
Jean Verdier, la Pitié Sal�trlère et
Robert Debré).
Mais de nouvelles
mesures sont prévues en France pour
renforcer une prise en charge médico
psycho-sociale donc globale.
Le
médecin généraliste peut jouer un rôle
avant le pédopsychiatre (de même que
le dermatologue pour les questions
d'acné, ou encore le gynécologue
et andrologue qui vont mettre à jour
d'éventuels dérèglements des caractères
sexuels tout en participant à la
construction identitaire sexuée
des adolescents).
Il existe par ailleurs
une formation univers�aire spécifique
en médecine et santé de l'adolescent
qui s'adresse aux généralistes,
psychologues, pédiatres, médecins du
sport, médecins scolaires ou éducateurs
spécialisés.
DE LA PEDI ATRIE
À LA PSYCHANALYSE
!:enfant peut manifester très tôt les
signes d'un mal-être parfois difficile
à cerner pour son entourage immédiat
À cet égard, les travaux du
psychopédagogue suisse Jean Piaget
- 1896-1980- sont essentiels.
Il a en
effet montré que les connaissances sont
progressivement construites et
élaborées selon une complexité
croissante.
Un retard de langage, des
problèmes scolaires, une agressivité
inattendue, un sommeil difficile ...
peuvent mener les parents à consulter
un pédiatre, voire un service de
pédopsychintrie.
Il est en effet
désormais reconnu que les troubles
obsessionnels compulsifs, la
dépression, l'hyperactivité, voire la
maniaco-dépression, peuvent atteindre
des sujets très jeunes.
Orientés vers des
services spécialisés, les enfants sur
lesquels ont été diagnostiquées ces
psychopathologies sont très rarement
traités par la psychothérapie en raison
de leur âge, mais avec des méthodes
spécifiques accompagnées si nécessaire
de prises de médicaments.
Le rôle de la
pédiatrie est avant tout de prévenir
l'aggravation des symptômes ou la
survenue à un âge plus avancé d'un
trouble enfoui ou non reconnu.
Ce souci a notamment été celui de
Françoise Dolto qui a eu en France une
influence indéniable sur de nombreux
professionnels s'occupant d'enfants.
• A la fois médecin et psychanalyste,
très proche de Jacques Lacan,
Françoise Dolto n'a cessé de plaider
« la cause des enfants »,titre de l'un
de ses derniers ouvrages se fondant sur
un certain nombre de principes
issus de la tradition freudienne et
sur son expérience de praticienne.
Le concept central qu'elle développe
est celui de « castration symboligène ».
Au cours de son développement.
de la naissance à l'âge de sept ans,
l'enfant vit une série de ruptures ou
de séparations qui mettent en jeu sa
relation symbolique et corporelle
avec sa mère : dès la première coupure,
celle du cordnn ombiliclll,
l'individu devra se séparer de sa mère
en se réappropriant un nouvel objet
symbolique d'identification pour
parvenir progressivement à l'autonomie.
La castration au stade dit« oral >>
permet à l'enfant de se séparer
du corps de la mère et d'accéder
au langage puis, au stade " anal >>,
de s'émanciper de la tutelle maternelle
et de parvenir à l'autonomie corporelle
(la marche et la propreté) tout en
tissant une relation avec le père ou son
substitut.
dont la présence est jusque-là
sentie comme perturbant la relation
première à la mère.
À la période
de l'opposition systématique (période
du " non >>) succèdera la phase
œdipienne et la dernière coupure.
Cette castration s'accomplit à partir de
l'âge de trois ans, pendant le stade dit
" phallique» lorsque l'enfant prend
conscience de son corps et de son
individualité sexuelle, puis sort du
cercle familial et commence à entrer
dans la société.
De la " réussite >>
de cette succession d'apprentissages
aidée par les parents- dépendra la
future relation à autrui.
Ce processus
pouvant être perturbé à chaque
moment du développement de l'enfant,
la tâche du psychanalyste ou du
thérapeute sera alors de détecter cette
faille pour tenter de la réparer.« C'est
encore un mérite de la psychanalyse
d'avoir montré que l'être humain
pouvait vivre symboliquement
des étapes manquées de son
développem ent>> écrit ainsi Françoise
Dolto.
Elle poursuit en montrant
que la psychanalyse peut libérer
progressivement les jeunes adultes
d'un certain nombre de troubles
psychologiques.
!:enfant pourra ainsi
atteindre l'autonomie d'un
comportement qui restait jusque-là
bloqué, et vouait cette autonomie, cette
indépendance à l'échec.
La psychanalyse,
toujours selon
Françoise
Dolto, cherche
par ailleurs à
étudier et mettre
en évidence les
"facteurs
spontanés et
provocateurs de
névrose dans l'enfance >>." Le champ
de recherches sur les interrelations de
dépendance humaine est ainsi
largement ouvert >>.
Françoise Dolto a
tenté d'appliquer ce principe dans ses
consultations et en fondant, à Paris, une
institution spécifique, baptisée la "
Maison verte », un lieu ouvert
accueillant enfants et parents.
Cette
expérience s'étendra et inspirera
d'autres structures de pédiatrie
communautaire dans le cadre de la
protection maternelle et infantile (PMI}
ou des centres médico-psychologiques
(CMP).
• Une autre figure importante de la
psychanalyse d'enfants est Donald
Woods Winnicott.
Également médecin
et pédiatre (au Queen's Hospital
for Children et au Paddington Green
Children's Hospital à Londres),
il s'orienta vers la psychanalyse après
sa rencontre avec James Strachey
(qui fut son premier analyste).
Influencé au début par les thèses
de Mélanie Klein, il s'en détachera
par la suite pour tenir un rôle important
dans le " groupe du Centre >> au sein de
la Société britannique de psychanalyse,
divisée depuis les années 1930
par la rivalité entre les disciples de
Mélanie Klein
et ceux
d'Ann11
Freud.
Winnicott est
surtout connu pour avoir
souligné le
rôle
des " objets
transitionnels >>
(doudous, chiffons,
couverture ...
) dans la petite enfance
puis du jeu (qui relève également
de cet " espace potentiel » entre
les mondes intérieur et extérieur,
entre soi et les autres) au cours
du développement.
Ces objets ont une valeur symbolique
d'union avec la mère permettant à
l'enfant de supporter d'être séparé
d'elle.
l:enfant peut ainsi se construire
en relation étroite avec son
environnement.
Dans cette relation,
les premiers gestes naturels de
la " mère suffisamment bonne »
("a good enough mother »),tenir
(" holding >>), manipuler(" handling >>),
prodiguer les soins(" taking care »),
sont essentiels pour éviter que naisse
chez l'enfant un clivage pathogène
entre son « vrai soi » et son " faux soi »,
ce dernier étant un moyen de
protection contre les éventuelles
carences de ce maternage.
C'est ainsi qu'à travers la capacité
croissante de l'enfant à s'adapter
à cette " défaillance >>(" failure >>),
cette interrelation fondamentale
évoluera d'une soumission totale
de la mère aux besoins de son enfant,
à l'échange et à l'autonomie.
En 1959, l'Assemblée générale des
Nations-Unies a adopté la Déclaration
des droits de l'enfant !:article 2 stipule
ainsi : " !:enfant doit bénéficier d'une
protection spéciale et se voir accorder
des possibilités et des facilités par l'effet
de la loi et par d'autres moyens, afin
d'être en mesure de se développer
d'une façon saine et normale sur
le plan physique, intellectuel, moral,
spirituel et social, dans des conditions
de liberté et de dignité.
>> Cette
reconnaissance est récente.
Sur le plan
strictemen t médical, la pédiatrie n'a en
effet pu s'imposer qu'à partir du
moment où une place à part entière
a été accordée à l'enfant présentant
des pathologies singulières..
»
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