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Les hommes et les épidémies

Publié le 16/03/2012

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On sait, actuellement, que les divers bacilles se répandent de façon différente. Le virus de la grippe, par exemple, se répand par la toux ou les éternuements de la personne atteinte. Le virus pénètre dans l'organisme du nouvel hôte par le nez, la bouche et les poumons. Lorsque la vie sociale est bouleversée par une guerre ou une famine, les bacilles peuvent avoir prise sur la population d'un important territoire. On parle alors d'une épidémie.

« sables de la peste, du choléra et de bien d'autres mala­ dies; les rickettsies, encore plus petites, provoquent le typhus et les virus, à peine visibles au microscope, causes de l'influenza (grippe), de la petite vérole et de la fièvre jaune.

On sait, actuellement, que les divers bacilles se répandent de façon différente.

Le virus de la grippe, par exemple, se répand par la toux ou les éternuements de la personne atteinte.

Le virus pé­ nètre dans l'organisme du nouvel hôte par le nez, la bou­ che et les poumons.

Lorsque la vie sociale est bouleversée par une guerre ou une famine, les bacilles peuvent avoir prise sur la popula­ tion d'un important territoire.

On parle alors d'une épidémie.

Il arrive très rarement qu'une épidémie se répande dans le monde entier: il s'agit alors d'une pandémie.

Une très forte attaque de ces bacilles peut provoquer la mort de millions de personnes.

Dans le corps de ceux qui survi­ vent, certains organes comme le foie, la rate et diverses glandes créent des produits appelés anticorps.

Ces anti­ corps sont déversés dans la circulation sanguine et com­ battent les agents pathogènes.

Dans de nombreux cas, les anticorps offriront une résistance à toute nouvelle atta­ que de bacilles de l'espèce qui a provoqué leur formation.

La personne est de ce fait immunisée contre cette maladie déterminée.

La formation des anticorps est favorisée par la vaccina­ tion des personnes au moyen de bacilles morts ou rendus inoffensifs.

On obtient de cette manière une immunisa­ tion artificielle contre des bacilles, qui, autrefois, étaient mortels.

La vaccination à grande échelle a permis de ju­ guler la petite vérole.

Il arrive souvent que les maladies infectieuses soient im­ portées par des immigrants.

Les services d'immigration placent, dans un endroit isolé, les personnes soupçonnées d'être porteuses d'une maladie infectieuse dangereuse.

Cet isolement s'appelle quarantaine.

Cette méthode s'ex­ plique par le fait qu'une certaine période d'incubation est nécessaire entre le moment où une maladie est contractée et l'apparition des symptômes caractéristiques.

Il existe actuellement des médicaments et d'autres Ci-dessus: Echantillons de terre considérablement agran­ dis.

Ils sont utilisés au cours de recherches d'antibiotiques.

A gauche: Photographie de la puce, véhicule de la peste, vi­ vant sur le rat noir .

Différen­ tes sortes de puces répandent des agents pathogènes (ci­ dessous), qui se multiplient dans son tube digestif et sont transmis à l'h6te suivant par une morsure de la puce.

moyens de lutte contre les maladies infectieuses.

La meil­ leure protection cependant est de se tenir à l'écart de la contagion.

C'est la raison pour laquelle l'Organisation mondiale de Santé, créée en 1946, couvre le monde entier et est desti­ née à donner l'alarme à temps, lorsqu'une maladie infec­ tieuse grave est signalée quelque part.

Il est donc intéres­ sant de lire quelques récits anciens à propos d'épidémies.

On peut y voir ce qui se passait lorsqu'il n'y avait encore aucun moyen de guérir ou même de prévenir les épidé­ mies et les pandémies.. »

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