Maladie mentale

« nostic direct de nombreuses maladies, soft d'en apporter Ia confirmation sur Ia base de resuftats chiffres.

Cette approche est rendue possible par le fait que les desor- dres organiques modifient generalement le metabolisme normal en changeant Ia composition des fluides ou des tissus.

Cette objectivation de Ia maladie par ('analyse chi- mique manque dans le cas des maladies mentales, don- nant ('impression souvent trompeuse que des desordres physiologiques ou biochimiques ne soue-tendent pas les troubles mentaux.

Or la proliferation des traumatismes craniens lies aux accidents de Ia circulation, l'apparition de certaines tumeurs cerebrales, les intoxications dues a l'alcool ou aux drogues, les dereglements endocriniens, les accidents vasculaires du cerveau sont autant d'agres- sions graves du systerne nerveux central qui se tradui- sent par des alterations plus ou moins profondes du comportement.

De plus, des facteurs genetiques semblent impliques dans certaines affections mentales. 5 Affections generalement irreversibles, les psychoses sont parmi les plus graves des maladies mentales.

Que ce soit Ia schizophrenia, oil le malade sombre dans un univers a part qui le coupe progressivement des autres, ou la paranoia, 00 le patient se construit une logique personnelle et agressive dirigee contre l'environnement. Les novroses peuvent devenir tout aussi graves lorsqu'elles se compliquent ou entrainent un Mat depresslf pouvant conduire au suicide.

Mais ce sont le plus souvent des affections courantes : le malade est la prole de l'angoisse ou de certaines obsessions mais reste plus ou moins lucide at coherent.

Les nevroses peuvent donner lieu au traltement psychanalytique avec desresultats variant d'une personne a une autre.

nostic direct de nombreuses maladies, soit d'en apporter la confirmation sur la base de résultats chiffrés.

Cette approche est rendue possible par le fait que les désor­ dres organiques modifient généralement le métabolisme normal en changeant la composition des fluides ou des tissus.

Cette objectivation de la maladie par l'analyse chi­ mique manque dans le cas des maladies mentales, don­ nant l'impression souvent trompeuse que des désordres physiologiques ou biochimiques ne sous-tendent pas les troubles mentaux.

Or la prolifération des traumatismos crâniens liés aux accidents de la circulation, l'apparition de certaines tumeurs cérébrales, les intoxications dues à l'alcool ou aux drogues, les dérèglements endocriniens, les accidents vasculalres du cerveau sont autant d'agres­ sions graves du système nerveux central qui se tradui­ sent par des altérations plus ou moins profondes du comportement.

De plus, des facteurs génétiques semblent impliqués dans certaines affections mentales.

5 Affections généralement irréversibles, les psychoses sont parmi les plus graves des maladies mentales.

Que ce soit la schizophrénie, où le malade sombre dans un univers à part qui le coupe progressivement des autres, ou la paranoïa, où le patient se construit une logique personnelle et agressive dirigée contre l'environnement.

Les névroses peuvent devenir tout aussi graves lorsqu'elles se compliquent ou entraînent un état dépressif pouvant conduire au suicide.

Mais ce sont le plus souvent des affections courantes : le malade est la proie de l'angoisse ou de certaines obsessions mais reste plus ou moins lucide et cohérent.

Les névroses peuvent donner lieu au traitement psychanalytique avec des résultats variant d'une personne à une autre.. »