Vigny juge de Lamartine
Publié le 20/03/2011
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Matière. — A de Vigny écrivait en 1832 : « Je n'ai jamais lu deux Harmonies ou Méditations de Lamartine sans sentir des larmes aux yeux. Quand je lis tout haut, les larmes coulent sur ma joue. Heureux quand je vois d'autres yeux plus humides encore que les miens ! Larmes saintes ! Larmes bienheureuses, d'adoration, d'admiration et d'amour ! «. Pourquoi les contemporains de Lamartine ont-ils été si fortement émus par les vers du grand poète ?
Liens utiles
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