Commentaire
Publié le 15/03/2018
Extrait du document
«
Tout d’abord, charlotte Delbós, propose un incipit in medias res,
cet incipit oblige le lecteur à faire face a l’horreur des camps et à la
situation qu’elle et son entourage sont entrain de vivre.
Cette
technique aussi utilisé dans Madame Bovary de Gustave Flaubert ou
encore dans le procès de Franz Kafka permet au lecteur
d’immédiatement s’imaginer le cadre et l’ambiance environnante de
l’œuvre .
Les thermes employés sont froid et tranchant « toutes ces
chaires qui avaient perdu la carnation et la vie », nous sommes face au
début de la deshumanisation de la femme, avec une métaphore du
corps humain.
Le lieu est introduit par une description détaillé qui
dans ce cas créé une atmosphère assez sombre et pesante avec la
« boue séchée en poussière » ainsi que « les chaires flétries » et les
descriptions sur près de cinquante trois lignes de l’état des cadavres et
leurs apparence physique.
Le texte est essentiellement basé sur la
description des corps calciné en putréfaction qui jonchent le sol, dans
cette description prédomine le champ lexical du corps et de la mort.
Ce champ lexicale du corps et de la mort, à travers une gradation
descriptive, peut être assimilée a une échelle, tant de la douleur que
vivent les femmes occupant ce camp tant de par la cruauté des actes
et du traitement qu’elle et son entourage subissent.
Le roman est une
autobiographie ainsi qu’une biographie, Charlotte Delbó ne raconte pas
uniquement son histoire mais aussi celle de on entourage.
Cette
histoire peut être comprise comme un récit destiné aux époux des
victimes car.
d’une certaine manière elle informe les maris du
traitement que subissent leur femmes.
Pour ce faire Charlotte Delbó
commence son récit avec une métaphore, des mots crus ? VOIR
TRANCHANT mais qui ne choque pas, nous pourrions qualifié ce début
de poétique.
puis au fur et à mesure de notre avancé dans l’histoire
l’auteur ne MACHE plus ses mots.
une sorte de timidité se dégage de la
façons d’écrire de madame Delbo, une timidité qu’elle parvient a
vaincre, qui petit a petit disparais pour lasser place a tout ce que
charlotte a sur le cœur.
Les thermes employées dans cette gradation
descriptive vont nous permettre DE Distingué l’idée principale du texte.
L’idée prédominante ce texte est la déshumanisation de la femme,
tout d’abord cette idée de deshumanisation est subtilement glissée dés
le début du texte, avec « perdu la carnation de la vie » puis avec la
dégradation de la couleur des corps flétris « brunâtre, violacées,
grise ».
« Elles se confondaient si bien avec le sol » montre que la
femme, ne possède plus l’un des premiers critères qui caractérise
l’Homme, sa couleur.
Un autre caractère propre a la femme cette fois
ci, sa poitrine étant symbole de la jeunesse et de la vigueur chez une.
»
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