André Gide et « la Légende des siècles ».
Publié le 23/03/2011
Extrait du document
Matière. — André Gide écrit dans son journal (à la date du 26 octobre 1918) : « Ce matin, je reprends la Légende des siècles et j'ai fait un effort pour relire Éviradnus, consterné par la niaiserie gigantesque de ces vers sublimes... On n'imagine rien de plus creux, de plus absurde... ni de plus splendide. « Approuvez-vous ou désapprouvez-vous ce jugement, soit à propos d'Eviradnus, soit encore à propos de la Légende des siècles en général. Donnez vos raisons.
Liens utiles
- André Gide s'adresse ainsi à un jeune homme : « Ne cherche pas à remanger ce qu'ont digéré tes ancêtres. Vois s'envoler les grains ailés du platane et du sycomore, comme s'ils comprenaient que l'ombre paternelle ne leur promet qu'étiolement et qu'atrophie ... sache comprendre et t'éloigner le plus possible du passé. » Par ailleurs Renan a écrit : « Tous les siècles d'une nation sont les feuillets d'un même livre. Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un res
- Biographie complète d'André GIDE
- PROMÉTHÉE MAL ENCHAÎNÉ (le), d'André Gide
- Fiche de lecture : PORTE ÉTROITE (La) d'André Gide
- CAVES DU VATICAN (Les) André Gide - résumé de l'oeuvre