Commentaire sur « San Bernardino » de Jules SUPERVIELLE

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Commentaire sur « San Bernardino » de Jules SUPERVIELLE Le sujet de ce commentaire est un poème de Jules SUPERVIELLE intitulé San Bernardino extrait du recueil Débarcadères. Jules SUPERVIELLE est un poète mais aussi un romancier du XXème siècles Franco-Uruguayen, né en 1884 à Montevideo et mort en 1960 à Paris. 1) Une composante d’un paysage exotique. Dans ce poème on peut observer que le poète parle a la première personne c’est comme si il raconter ses mémoire mais de manière lyrique car SUPERVIELLE évoque ses sentiments, ses souvenirs il nous plonge avec lui dans ses pense au cours de la lecture.

Il nous décrit ses souvenirs, souvenir sur passé mais de manière présente car il n’utilise pas d’imparfait mais simplement des déterminants devant des noms comme si il voyait ce dont il parlait, comme dans les vers 6 à 10 « Ces plantes à l’envi, et ces feuilles … Ces boules d’harmonies ».

Chaque souvenir qu’il nous décrit semble merveilleux, cet effet est dû à l’ajout de qualifications mélioratives.

Toute au long du poème SUPERVIELLE évoque un paysage exotique.

Pour commencer le titre nous transporte déjà ailleurs mais lorsqu’il dit qu’il « enferme en (s)a mémoire » « le parfum féminin des courbes colonies » où bien lorsqu’il nous parle de « cet enfant nu-fleuri » tout cela nous transporte dans un monde d’exotisme .

Le poète insiste beaucoup sur la nature dans ce poème en utilisant des termes comme « fleuri », « plantes », « feuilles », « oiseaux », « arbres » ou encore « palmes ».

Le poètes nous décrit l’exotisme du voyages en utilisant par exemple des mots évoquant des couleurs ou bien en utilisant ses sens comme l’odorat (« parfum féminins ») ou la vue.

Le dix neuvième vers de ce poèmes je cite : « Où je suis arrivé plein d’Europe et d’escales » on peut voir que le thème du voyage est très présent et que SUPERVIELLE insiste sur les différence entre le monde exotique et l’Europe. 2) Les sentiments que le poète associe à ce paysage et aux souvenirs qu’il garde. SUPERVIELLE parle de ses souvenirs mais aussi à ses souvenirs (« de vous, souvenir » vers 11).

Le poète insiste sur l’idée du besoin en utilisant l’anaphore de « J’en aurai besoin ».

SUPERVIELLE veux agir sur ses souvenirs, les façonner lorsqu’il dit « que je veux / Modelés dans le lisse honneur des cieux heureux ».

Dans ce vers le poète utilise les mots « lisse », « honneur », « cieux » et « heureux » qui sont des mots évoquant le bonheur, l’harmonie ou encore la splendeur.

Le poète ressent un besoin une volonté il veux que ses souvenirs soit beau.

Les souvenirs sont très importants pour le poète, le travail de sa mémoire l’apaise.

Il aime façonner ses souvenir de tels sortes qu’ils soit agréable a se remémoré.

Aux vers vingt lorsque le poète dit « ayant toujours appareillé » on peux comprendre par la une sorte de fatigue ou de lassitude du a la répétition de son quotidien.

Les souvenirs du poètes son plein d’exotisme cela doit être du a ses origine Uruguayenne.

Il donne un aspect grandiose à ses souvenirs en utilisant des hyperboles tels que « chaque arbre se hisse au dénouement » ou encore « mouille en l’infini »… En conclusion nous pouvons dire dans ce poèmes SUPERVIELLE nous exprime l’importance absolue de ses souvenirs, la perfection de ces derniers et étant donné qu’il est né en URUGUAY ses souvenir ont forcément un caractère exotique.. »